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3,88

sur 2399 notes

Critiques filtrées sur 1 étoiles  
Pfff.
Même pas fini.
Mon Dieu, un Harlequin amélioré.
Pas de style, des clichés en veux-tu en-voilà, des ficelles grosses comme mon poing, on se doute bien de ce qui va arriver à Ava et Sacha....
Aucune logique, le mari accidenté qui change du jour au lendemain....
Et puis ce titre ronflant, la résilience, qu'on emploie à tort et à travers, comme "psychose" ou "deuil", alors que ce sont des mots bien précis en psychiatrie et en psychanalyse.
Ah oui, j'oubliais, Madame est psychologue.... c'est bien, elle a trouvé un vrai filon.
Tout ça n'est pas très sérieux.
J'ai voulu réessayer cette auteur portée aux nues par tous les lecteurs, mais décidemment, non.
Le livre est facile à lire, trop facile.
Mais cela plaît de ne pas faire d'effort, de sombrer dans cette facilité déconcertante, d'avaler tout sans esprit critique.
Je l'ai déjà dit, mais on donne à manger aux gens ce qu'ils ont envie de manger.
Moi, désolée, mais je préfère un autre menu, avec d'autres nourritures.
Je sais que je vais me faire incendier, tant ce genre de "littérature" plaît, mais je m'en moque.
La sincérité est mon maître mot.
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Je n'avais jamais rien lu de cette auteure, pourtant croisée maintes fois ici ou là. Très vite, j'ai été aspirée par ma lecture, les premières pages décrivant l'absence de l'être aimé sont très belles. Mais très vite, ce souffle littéraire s'est dissipé. J'ai cependant continué ma lecture, espérant retrouver la puissance des premiers mots, mais hélas je n'ai plus rencontré que platitude et resucée d'émotions, et ai vu très rapidement se dessiner l'intrigue somme toute banale. Quelle déception !

J'étais en fait au bal masqué : sous le déguisement d'Agnès Martin-Lugand se cachait Barbara Cartland. Certes, le camaïeu de rose était moins flagrant, la romance plus discrète, l'époque bien actuelle, mais au final c'était la même histoire d'amourette. Juste un petit zeste de questionnements sur l'identité et la construction du couple pour pimenter l'histoire.
Non, vraiment ce genre de lecture n'est pas ma tasse de thé. En plus, je n'aime pas le thé. Je suis une inconditionnelle du café. Fort.

Après un grave accident de moto, la vie de Xavier et Ava connaît elle aussi une sortie de route. Est-ce à dire que la vie ne sera jamais plus comme avant ?
Tin tin tin tin tin tin, vous le saurez si vous lisez ce livre... même pas, vous vous doutez tout de suite de la fin.
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Mais comment peut-on continuer à apprécier ce genre de littérature guimauve totalement artificielle ? Ces histoires de couples ou plus exactement pseudo histoires de couples qui ne correspondent à rien du monde réel ?
Ce n'est pas l'éditeur ni l'auteure qui sont à blâmer, le filon est visiblement juteux mais c'est dramatique pour la littérature.
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J'ai beaucoup de mal à comprendre le succès de cette autrice... Je n'avais pas une très bonne expérience de ma 1ère lecture avec elle, néanmoins, j'ai voulu renouveler l'aventure en lisant la 4ème de couverture car une phrase m'avait interpellée : "Etrange, cette notion d'avant et d'après." Je m'attendais donc à quelque chose de fort.

Ava est galeriste; elle a repris la galerie de son père, et son père avant lui. Elle est mariée à un vétérinaire, Xavier, passionné d'animaux sauvages, qui part tous les ans pendant un mois aider à soigner des animaux dans une réserve. En rentrant, il a un terrible accident de moto qui le cloue à l'hôpital quelques mois. Il a en fait voulu éviter une cycliste et l'a envoyée également sur un lit d'hôpital. Pour le couple, pour les couples, la vie bascule.
Dit comme ça, ça a l'air sympathique. En + il y a évidemment tous les clichés: le père aimant; la meilleure amie foldingue; le peintre nouvel arrivé dans la tribu; la mère hippie et absente... Tout ce petit monde manque cruellement de profondeur.

Le 1er chapitre dépeint la vie amoureuse du couple Ava/Xavier, merveilleusement heureux et soudé. Puis, dans le 2ème chapitre, d'un seul coup, elle est fâchée, amère, et il a tous les défauts du monde. Je n'ai pas compris le truc... le personnage principal, Ava, est absolument insupportable. Les autres personnages ne sont guère plus attachants. L'histoire est plate, totalement irréaliste, et l'écriture est médiocre. On voit que l'autrice fait des efforts pour faire de belles phrases pleines de bons sentiments, mais ça ne prend pas (du moins, pas avec moi). Pas l'ombre d'une émotion. Et puis, cette faute de vocabulaire ("quarantenaire" au lieu de "quadragénaire", je suis désolée mais ça me hérisse).
Voilà, pardon pour cette critique acerbe, mais c'est mon ressenti. En revanche, j'ai laissé une étoile pour la fin, car elle est plutôt réussie.
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Roman facile (trop facile) à lire pour raconter comment deux familles (parfaites, au statut social très aisé, appartenant toutes deux au monde de la culture...) affrontent le choc terrible d'un accident de la circulation qui provoque un bouleversement dans leurs vies.
Les blessures physiques ne sont rien face aux blessures psychologiques qui les affectent te remettent tout en question : leurs valeurs, leur travail, leurs amours.
La cellule familiale risque l'implosion et les clichés abondent : la remise en question des valeurs familiales idéales, le rapprochement des deux conjoints meurtris, l'abnégation, les grands sentiments, la résilience qui n'en est pas vraiment une au regard du traumatisme vécu...
Le texte est fluide mais n'embarque guère le lecteur. Cette découverte de l'autrice Agnès MARTIN-LUGAND ne m'incite pas à lire d'autres titres !
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bof, bof. le premier sera le dernier. pas de profondeur, tout est cousu de fil blanc, les bons sentiments qui dégoulinent, l'intrigue est banale, sans épaisseur, les personnages sans relief. une gentille petite famille, avec son chien et son chat, les enfants sont sages, le brillant mari vétérinaire qui a soif de grands espaces en Afrique se contente ici de soigner les toutous et les matous ! l'incohérence est a chaque page. à éviter.
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J'ai trouvé ce roman très long à démarrer...Je n'ai pas comprit de suite où l'auteure voulait nous mener, puis, tout s'illumine et tout coule de source.

J'ai trouvé le personnage principal, Ava, trop mou, trop ''je laisse passer''. On parle d'un couple à la dérive, suite à un événement tragique, et de ce fait, le personnage de Xavier devient exécrable,froid,distant,et j'en passe, malgré une Ava pliée en quatre pour son mari. Mais Ava... Elle ne dit rien !!!! Elle encaisse et se laisse faire, ça m'horripile. Bref, je n'aime pas du tout ce genre de perso qui s'écrase, tout ça parce que ''Bah c'est l'amour de ma vie, le père de mes enfants...'' GneuGneuGneu ! J'avais envie de lui mettre une paire de claque !!

Pourquoi dans les romans il faut que la femme fasse office de carpette pour leur mari/conjoint/amant ? J'aurais aimé un personnage féminin avec plus de force de caractère, plus combative pour SA survie, sa féminité, ses désirs. Et moins dans le remords !!

Le récit et l'intrigue ont été intéressants. Même la fin m'a plû et m'a tiré une larmichette. J'ai aimé l'écriture de l'auteure même si les chapitres étaient trop longs à mon goût. J'ai apprécié la description des sentiments qu'Ava traverse, du calvaire psychologique par lequel elle passe. Mais définitivement et à regret, le caractère d'Ava m'a empêché de réellement apprécier le potentiel de cette lecture. Je reste assez mitigée à savoir si je re-lirai un roman de l'auteure, pas de suite je pense.
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En effet, un livre fácil à lire, une petite vie caricaturale !
Parler de résilience pour des gens qui connaissent à peine quelque épreuves de la vie ! Se faire tan de mal, il ne me paraît pas cohérent avec le titre, puisque la résilience je la défini autrement.
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J'avais déjà été déçue par "Les gens heureux lisent et boivent du café", qui m'avait énervée par sa platitude et son manque d'émotions. On m'a recommandé celui-ci qui différait des autres opus de cette auteure et je déteste rester sur une mauvaise impression... grand mal m'a pris de lire ces "Résiliences" !

C'est l'histoire d'une bourgeoise quarantenaire qui n'a jamais rien vécu de sa vie, qui est bien entourée, avec un beau mari et de beaux enfants et qui découvre que... wow ! Quand les gens voient leur vie bouleversée par un accident, ils ont ce qu'on appelle... des émotions ! Qu'ils mettent du temps à s'en remettre et qu'ils ne lui obéissent pas au doigt et à l'oeil pour que tout rentre bien dans sa petite case de belle famille dans son petit monde !

Non, mais sérieux ?! J'ai lu seulement les dialogues (ce qui suffit amplement pour comprendre l'histoire) à partir de la page 232 où, dans l'édition broché, "l'héroïne" dit littéralement de "faire des efforts" à son mari qui est au fond du trou à l'hôpital. le seul "résilient" du bouquin est bien le mari qui a bien du courage de vivre avec cette pauvre cruche qui ne trouve rien de mieux qu'aller voir ailleurs parce qu'il ne fait pas ce qu'elle veut pour une fois dans sa vie. Désolée pour le spoil, mais ça aussi, on le sent venir à trois kilomètres...

Non, vraiment, ce roman n'a rien pour me plaire. Même la plume manque d'une petite touche de poésie, ne serait-ce qu'une petite métaphore un peu stylée de temps en temps. Là, non. Alors que le sujet - comment faire face à des événements qui bouleversent notre vie - est propice à faire ressentir au lecteur quelques émotions, le faire vibrer au fil des réflexions de ses personnages, je n'ai absolument pas été émue... mis à part à la fin, lorsque j'ai fermé ce livre et que je me suis dit : "ah, oufff ! Enfin fini !"
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Nul comme les autres. Je ne réitère pas mon expérience Lugand ça dégouline de bons sentiments, c'est creux sans style. Même certains arlequins sont mieux écrits. Comment de tels livres peuvent ils avoir du succès. Histoire niaise à mille lieu de la réalité
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