Le problème n'est pas de savoir comment on s'imagine un bonheur autre,mais de savoir si l'on est heureux aujourd'hui.
Comme le temps passe...comme les gens souffrent...Dieu pleurt dans mes bras.
Toutes ces histoires des six jours de la création plus le jour de repos - c'est une tentative d'explication qui remonte à une époque ou vous étiez démunis face au mystère de la vie. Mais la vie n'est pas un mystère, elle n'est en quelque sorte, qu'une logique de la matière.
Peut-être que le plus important n'est pas l'amour, mais la personne qui nous apprend à aimer.
Avoir un enfant c'était déplacer le centre du monde de soi vers quelqu'un d'autre.
Comme dit le proverbe, peu importe le flacon pourvu qu'on ait l'ivresse. Derrière le comptoir de ce flacon de vice, je m'enivre de la douceur de ses lèvres, de la chaleur de notre étreinte. De ces quelques gorgées de bonheur.
Ces deux-là fonctionnent sur le même mode, le on-est-des-enfants-mais-on-prévoit-tout-sans-les-adultes. Quand je leur dis que Chloé et Léo sont des prénoms qui se ressemblent beaucoup, les trois lettres de Léo se retrouvant dans Chloé, ça leur fait très plaisir au vu du grand sourire qu’ils s’échangent. Ils m’avouent même qu’ils n’avaient jamais remarqué. Eh oui, c’est moi l’adulte.
l'amour,c'est moi,la poésie c'est moi,la vulgarité c'est aussi moi,la littérature c'est moi,la musique c’est moi l'humour c'est moi....
J'ai aimé ce livre... le seul problème c'est qu'il se lit beaucoup trop vite !
Non, je n’ai pas créé les Hommes. D’ailleurs tu ne me l’as jamais demandé tellement cela te paraissait évident, tellement ce cliché est ancré en toi, en vous. […] Déçu ? Je comprends tu sais, mais toutes ces histoires des six jours de la création plus le jour de repos – comme si je n’étais pas capable de bosser sept jours d’affilée – c’est une tentative d’explication qui remonte à une époque où vous étiez démunis face au mystère de la vie.