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Critiques filtrées sur 3 étoiles  
Rien ne va plus pour Cyr, qui nous confie sa récente histoire : elle vient de perdre son travail, mais ceci n'est que l'aboutissement d'un long chemin de drames, la perte de sa soeur puis de sa mère pour finir avec la disparition brutale et tragique de celui qui était son meilleur ami, à qui elle s'adresse tout au long de sa narration, comme pour prolonger sa présence, et refuser d'admettre qu'il ne partagera plus rien des événements de sa vie à venir.

La cérémonie du dernier adieu approche, et la famille et la petite amie du défunt demandent à Cyr de participer aux hommages rendus, sous la forme d'un discours, qu'elle est incapable d'écrire, pour de multiples raisons dont on peut imaginer que le déni y participe.

Autour de l'amitié, avec la question de ce que représente cette relation entre personne de sexes opposés, le roman aborde aussi de nombreux sujets de société, sur le monde du travail, sur les deuils et leurs séquelles, sur les rites qui marquent l'adieu aux morts.

Le propos est cependant parfois léger, avec un humour souvent limite, qui contraste avec l'état dépressif manifeste, et justifié. Cette façon d'aborder la situation ne renforce pas l'empathie qui devrait être le premier sentiment vis à vis de la jeune femme.

Lecture agréable, avec un personnage dont les contradictions sont la preuve de son désarroi, dans un style actuel, qui peut rencontrer son public.

304 pages Les Avrils 8 mars 2023
#LaPireAmiedumonde #NetGalleyFrance
Lien : https://kittylamouette.blogs..
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Le meilleur ami de Cyr, jeune femme trentenaire vivant à Amsterdam, meurt lors d'un séjour en Thaïlande, victime d'un accident de plongée. Comme on peut s'y attendre, elle accuse le coup. N'étant pas au mieux de sa forme, elle se fait virer de son travail. Alors, pour passer le temps et s'occuper les mains et l'esprit, elle monte des meubles IKEA. Pourquoi pas ... Et pour couronner le tout, on lui demande d'écrire un discours pour les obsèques, ce qui lui procure une tension extrême. Va-t-elle y arriver ou pas ?

L'autrice a choisi de raconter l'histoire à la première personne du singulier en faisant parler Cyr. Celle-ci s'adresse souvent à son meilleur ami défunt en le tutoyant. J'ai trouvé que la narration manquait de fluidité, ce qui m'a un peu gêné dans ma lecture.

Côté construction, nous voguons entre présent et souvenirs dans lesquels son meilleur ami, jamais nommé, on ne connaîtra pas son prénom, est souvent présent. Il y a donc de multiples digressions. J'ai mis un moment pour apprivoiser la construction de ce récit.

L'histoire tourne autour du deuil de façon générale et plus particulièrement du deuil d'une amitié. On commence le livre avec la disparition du meilleur ami et on le termine avec ses obsèques, le discours plus ou moins en filigrane. le thème ne manque pas d'intérêt, mais dans cette histoire là, j'ai trouvé Cyr particulièrement agaçante, ingérable et très nombriliste. Sa souffrance doit être supérieure à celle des autres. Certes, quand une personne à laquelle on tient disparaît, ça renvoie à plein de souvenirs et de moments qu'on avait laissés de côté. Un tsunami émotionnel nous submerge. Chacun à sa propre représentation de la mort et chaque deuil est différent.
"C'est dur de dire au revoir aux personnes qui nous relient à notre passé". Mais ici, j'ai trouvé que le personnage principal en faisait beaucoup trop, quitte à se décrédibiliser.

Je pense que cette histoire y aurait gagné à être un peu plus resserrée, un peu plus nuancée. J'ai vraiment commencé à prendre plaisir à cette lecture vers le dernier tiers du livre. La fin est émouvante, pleine de tendresse et d'amitié. Au final, une lecture inégale et mitigée.

Merci à Babelio et aux Editions Les Avrils pour l'envoi de ce livre dans le cadre d'une opération masse critique.

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Comment appréhender la mort de son meilleur ami ?
Pour Cyr c'est du domaine de l'impossible. Lorsqu'elle apprend que M a eu un accident de plongée en Thaïlande alors qu'il était en vacances, son monde s'écroule.
La jeune femme s'enfonce dans une profonde dépression, elle perd son travail, dépense son argent en commandant des meubles Ikéa qu'elle monte en quelques heures avant de les abandonner sur le trottoir.
Elle se donne l'impression d'exister encore un peu en commandant ses repas, ça la rassure de savoir qu'un livreur Uber Eats est en route pour elle.
Les larmes sont rares malgré le chagrin, ce qui la décide à commander un tube à essai sur Internet, bien décidée à le remplir.
« Je me disais qu'il fallait que j'arrive à pleurer au moins ça. Au moins le volume de ce tube. »
Le pire est à venir lorsque Maud, la compagne du défunt lui demande d'écrire un hommage qu'elle lira lors des obsèques.
Va-t-elle y arriver ? Les phases de chagrin se mêlent aux souvenirs joyeux, ce qui donne un peu de légèreté au propos.
J'ai compris le chagrin de la narratrice, mais il ne m'a pas touchée. Je n'ai pas été émue par cette histoire de deuil.
J'ai trouvé l'écriture sans originalité, j'ai été gênée par de trop nombreuses digressions.
J'avais beaucoup aimé le premier roman d'Alexandra Matine, je suis plus réservée sur celui-ci.
Merci à Babelio et aux Editions Les Avrils pour cet envoi.

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La trentaine, Cyr - expatriée à Amsterdam - apprend le décès de son meilleur ami. Alors qu'elle sombre lentement, elle est virée de l'agence de pub où elle travaillait jusqu'à présent. Et alors qu'elle fait face à ces vides immenses qui emplissent soudainement sa vie, on lui demande d'écrire un discours pour les obsèques. Alors que les jours qui la séparent de la cérémonie s'égrainent, Cyr semble couler et ne pas trouver la force de se confronter au monde qui l'entoure, préférant monter des meubles Ikea. Eux, au moins, ne déçoivent pas. Ne meurent pas. La notice et les pièces sont là. A défaut de tous ces êtres qu'elle a aimés et perdus. Pourtant, afin d'espérer tourner la page, il faudra que Cyr s'ouvre aux autres et ose enfin affronter la vie en face.

Mauvaise pioche pour moi avec ce roman dont l'anti-héroïne m'est absolument et totalement sortie par les yeux. Je n'ai pas réussi à avoir une once d'empathie pour Cyr, cette trentenaire qui semble abonnée aux deuils et dans l'incapacité totale de cesser de se morfondre. Ne me demandez pas pourquoi, je n'en sais rien. Deux semaines après l'avoir terminé, je n'arrive toujours pas à pointer du doigt ma réaction si virulente à son encontre. Outre son stoïcisme et sa complaisance dans le malheur (m'a-t-il semblé), c'est aussi son histoire de vie qui me semble bancale et difficilement crédible. J'ai eu le sentiment de rester en surface. de lire un roman qui voulait parler du deuil, sans jamais réellement y parvenir avec profondeur. J'en suis la première désolée car le thème de la perte est un sujet cher à mon coeur en littérature.

Il ne me reste plus qu'à découvrir le précédent roman d'Alexandra Matine qui avait envoûté tant de lecteurs à sa sortie. Nul doute que "La pire amie du monde" trouvera ses lecteurs, seulement, il n'était pas pour moi, voilà.
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Je suis un peu déçu de la pire amie du monde d'Alexandra Matine, que j'ai lu grace à Masse Critique Babelio qui me fait confiance depuis bien longtemps et à qui je dois de belles découvertes. Les grandes occasions explorait le thème constant des conflits de famille, et plutôt bien. La pire amie du monde est un peu trop shoegazing à mon gré. Et c'est volontairement que j'emploie un mot anglais. L'auteure a parsemé son roman de nombreux mots dans la langue de Shakespeare, qu'elle a cependant écrits en italique. Curieuse démarche. Mais nous sommes dans un milieu branché, forcément in.

L'héroîne s'appelle Cyr. Plusieurs personnages féminins sont nommé d'un diminutif peu explicite sur leur sexe. J'ai cru y voir un signe des temps. Mais soyons justes, La pire amie du monde n'est pas sans intérêt. Bien sûr cette génération de trentenaires m'énerve profondément et beaucoup de leurs codes me sont inaccessibles. Je cesse maintenant de maugréer. Cyr doit écrire et lire pour les obsèques de son meilleur ami tragiquement disparu en Thaïlande. Est-ce mieux qu'à Saint Brévin les Pins? Excusez-moi, ça me reprend. Elle a quelques jours pour ça, le corps prenant du temps pour être rapatrié.

C'est cette sorte de vacance que nous vivons avec elle. Variation sur le deuil, finalement assez intéressante, un peu déstabilisante, Cyr d'adressant à son ami mort, joli témoignage qu'on maîtrise au fil du livre. Et puis les nombreux retours dans le passé, douloureux, Cyr ayant perdu sa soeur et sa mère à quelques mois d'intervalle, quelquefois tragi-comiques. Les substances prohibées jouent leur rôle, la mode, pardon, la fashion, les rencontres hype, la vie à Amsterdam. Quelques belles idées dont une diablement originale, Cyr est accro aux montages Ikea. Ce monde m'est totalement exotique mais pourquoi pas.

Parfois on s'éloigne de Cyr, pas un modèle d'empathie, ni de modestie. Mais la poésie s'invite de temps en temps, ne serait-ce que ce plongeur de canal qui s"engage à retrouver une alliance, en trois tentatives, pour 40 euros, qui la retrouve effectivement et s'en va en refusant 20 euros de plus. Quant au vocabulaire déjà évoqué c'est parfois snobement snob, parfois plutôt sympa, comme le verbe friendzoner, qui dit bien ce qu'il veut dire. de temps en temps on s'interroge. Ainsi que pensez-vous de Quand tout le monde a pris place un croquemort avec une tête de caviste spécialisé en vin nature monte sur l'estrade? Il y a aussi oversized, highlighter, steel drum, hard feelings, push-up, payroll. But we do with
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La pire amie du monde, c'est Cyr. C'est comme ça qu'elle se voit. Elle vient de perdre son meilleur ami dans un accident de plongée en Thaïlande. La perte. Elle réalise que plus jamais elle ne pourra rire, partager un verre, avoir une conversation avec lui. le vide. Dans la foulée, elle perd son travail à Amsterdam. Pour combler ses journées, elle se prend de passion pour le montage de meubles Ikea qu'elle finit par laisser dans la rue.

Maud, la petite amie du défunt la contacte pour lui demander d'écrire un texte pour la cérémonie d'adieu. Tout le monde le dit, elle écrit bien. Ca ferait plaisir à tout le monde, a lui surtout. Mais Cyr ne parvient pas à écrire un mot, elle ne parvient même pas à pleurer et à gérer cette tristesse coincée à l'intérieur.

Les sujets de ce livre, vous l'aurez compris sont : l'amitié et le deuil.
L'amitié fille-garçon passé vingt ans est-elle possible ? Comment est-elle perçue par notre société faite de cases ? où un homme plus une femme qui s'apprécient et aiment passer du temps ensemble = un couple. Pas pour Cyr. Cette relation était différente.
Dans le cadre d'un décès, qui a le droit d'être le plus triste ? Est-ce une compétition sur l'échelle du chagrin ? Les parents ? La petit copine de quelques moi qui imaginait un futur avec cet homme ? Cette amie de quinze ans ? L'ami qui était sur les lieux de l'accident ?

Le fond du roman est intéressant et nouveau. J'ai trouvé le sujet bien choisi. On parle souvent de la perte d'un conjoint, d'un enfant. de cette douleur incommensurable. Jamais trop de la perte d'un ami de toujours. de plus, le récit nous dresse un portrait assez crédible d'une génération actuelle. Ces jeunes adultes égocentrés, occupant des bullshits jobs, où tout le monde se regarde le nombril et n'en a que faire des tracas de chacun.

Le style est intime et franc. C'est ce qui plait et qui nous pousse à continuer la lecture. On aimerait s'attacher à Cyr, à sa descente aux enfers; on a envie qu'elle pleure et qu'elle communique sa peine. Mais bien souvent, elle se place face à des situations stupides, des remises en question primaires. Elle aussi au final, ne pense qu'à elle. Et ça ne marche pas. Parce qu'on a envie que ça décolle, qu'il se passe quelque chose de vrai et d'intense.

Il y a de beaux passages, des liens qui se nouent entre ces personnages qui partagent cette perte. Des croyances sont effacées lorsqu'on se rend compte que Maud au final, n'était pas, si jalouse de cette relation entre Cyr et son compagnon. La fin est belle. Mais ce que l'on retient, ce sont les longueurs, le nombrilisme des personnages et quelque chose qui nous transporte vraiment... qui ne vient malheureusement jamais.
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LA PIRE AMIE DU MONDE ALEXANDRA MATINE LES AVRILS 2023
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Dans un récit à la première personne Cyr nous raconte son mal être. Mal être car son meilleur ami est mort accidentellement en Thailande, mal être car elle s'est faite virer.
Pour tenter de palier à sa morosité/dépression elle se met à monter des meubles Ikea (elle se balade tout le long du livre avec sa clé Allen !). Pensant se vider la tête mais « on » lui a demandé d'écrire et de dire quelques mots lors de la cérémonie dédiée à son ami décédé.
Alors les souvenirs affluent, la mort de sa soeur, la mort de sa mère, son amitié, son déménagement à Amsterdam. Et le discours ne vient pas. Est elle légitime à s'exprimer ?
Ça parle de deuil, d'amitié et particulièrement d'amitié Homme/Femme. Est-ce possible ? le chagrin est il concevable quand on n'est qu'une « amie » et non « une petite amie » ?
Le livre est bien écrit, mais j'ai eu du mal à m'attacher au ressenti de Cyr, à la description de sa vie. Est-ce le fait que ce milieu de trentenaires parisien me semble décalé par rapport à mon vécu ?
Pourtant j'avais beaucoup aimé le premier roman d'Alexandra Matine « les grandes occasions ».
Ici, j'ai eu l'impression que l'auteure oscillait entre légèreté et réflexions plus profondes sans se décider pour un genre ou un autre. Seule la dernière partie m'a faite vraiment vibrer.
Livre reçu dans le cadre de masse critique de Babelio. Que je remercie.

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J'ai lu : La Pire Amie Au Monde .
Comme un roman de Vie .
Comme un monde qui s'écroule .
A la mort de son meilleur , Cyr perd pied .
La douleur la terrasse .
Le chagrin la submerge .
Inconsolable, blessée, elle fuit .
Comme un chemin d'évènements douloureux .
.
Une jolie analyse de l'amitié particulière homme femme , si belle, unique et si particulière , si forte .
J'ai malheureusement beaucoup plus aimé « les grandes occasions » l'an passé . J'ai ressenti peu d'empathie pour Cyr . J'ai un peu survolé cette lecture du coup ….
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Cyr s'est installée à Amsterdam, dans les pas de son meilleur ami. La jeune femme a été embauchée dans une agence de publicité. Mais son meilleur ami vient de mourir, victime d'un accident alors qu'il était parti en vacances. le monde de Cyr s'écroule alors. Elle perd pied jusqu'à se faire renvoyer de son emploi. Alors qu'elle essaie tant bien que mal de refaire surface, elle se voit en plus chargée d'écrire un discours pour l'enterrement de son ami. Une mission dont elle se serait bien passée et qu'elle n'arrive pas du tout à mener à bien.

Voici le second roman de l'auteure de Les grandes occasions, roman familial plein d'émotion. On quitte ici les relations familiales pour explorer celles de l'amitié. Cyr est une jeune femme blessée, déjà éprouvée par la perte et le deuil puisqu'elle a perdu sa soeur et sa mère. La relation quasi exclusive et fusionnelle qu'elle entretient avec son meilleur ami est donc pour elle ce qui la maintient dans la vie, son point d'ancrage. Cette mort est pour elle inacceptable. Et écrire un discours une véritable épreuve car cela l'oblige à mettre des mots sur une histoire qui s'achève.

Avouons-le, il n'est pas aisé pour le lecteur d'entrer réellement dans ce livre. le personnage de Cyr n'est étrangement pas très attachant et on tourne assez rapidement en rond dans le désespoir de la jeune femme. On sent quelquefois comme une sorte de complaisance dans la souffrance, comme si elle seule pouvait ressentir le drame de la perte du jeune homme qui était son ami et qu'elle niait la peine des parents, de la petite amie et des autres amis du mort. On se trouve face à quelqu'un de finalement assez égoïste, incapable de partager, totalement centrée sur elle-même et, disons-le, on finit par la trouver agaçante dans ces poses dramatiques qu'elle semble prendre.

La fin vient heureusement redonner un peu d'émotion à l'ensemble, quand, enfin, Cyr accepte de partager la peine et s'ouvre aux autres.
Une lecture en demie teinte donc, et qui donne envie de découvrir un troisième roman de l'auteure pour confirmer les très bonnes impressions du premier roman.
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Je viens de refermer ce roman avec les larmes aux yeux en lisant les dernières lignes.

Mais je dois être franche, j'ai lu ce roman en diagonale. J'ai eu beaucoup de mal à m‘accrocher à Cyr et à l'histoire qui part dans tous les sens.

Le meilleur ami de Cyr est en vacances. Il ne va jamais revenir. Un accident lui ôte la vie. Comment faire face à cette nouvelle ? Comment réagir ?

L'amitié est pour moi le plus bel acte d'amour. La plus belle des promesses.

Cyr est prostrée. Elle perd goût à la vie. N'arrive pas à avoir la moindre émotion. Elle se fait licenciée. Son seul refuge ? Construire des meubles IKEA dont elle n'a jamais besoin et qu'elle dépose sur le trottoir. Chacun sa manière d'affronter les choses. Certains ne vont plus manger tandis que d'autres mangeront leurs émotions.

Cyr doit écrire un discours pour son dernier au revoir à son meilleur ami. Mais cela la paralyse. Elle repousse le moment.

Je dois avouer que j'ai lu ce roman en diagonale. Il y a trop d'informations. J'aurais aimé être juste dans le présent et suivre l'évolution de Cyr face à son deuil, à son acceptation de la réalité. Je n'ai été prise qu'à la fin lorsqu'elle décide enfin de mettre les mots.

J'aurai tellement aimé lire son discours.
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