Quand on se rendait compte de ce que la vie avait à vous offrir, et que cela ne risquait pas de s’améliorer… il y avait de quoi abattre les plus solides.
La paranoïa était considérée comme une maladie mentale capable d’infecter des foules entières, avec les conséquences mortelles que cela supposait.
Tes soi-disant révolutionnaires et « représentants des masses » sont aussi susceptibles d’être corrompus que les dictateurs et leurs larbins.
Si les habitants des bidonvilles de Macao avaient quelque chose en commun, c’était bien leur aversion pour les étrangers.
C’était l’ennui quand on vivait parmi les clodos : les secrets circulaient, même ceux qu’on ne voulait pas connaître.