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3,11

sur 168 notes

Critiques filtrées sur 2 étoiles  
Du fameux club on n en aperçoit pas un bout ! Une rombière , rentière ,quadra qui meuble son temps en d inutiles études. Des philosophes ( tu parles ) en mal d'édition dans une revue en dessous du confidentiel , elle déambule dans un monde de fric, d'art , totalement Hors Sol , sa préoccupation principale étant de rabibocher sa nièce avec son ex petit ami , (même si celle ci s en tape). En fait mamie ( oui là à 40 ans je suis méchant ) c'est elle qui veut se le faire le mignon ( cougar va ! ) 20 ans de moins . Donc dans ce monde ouaté côtoyant des amis et connaissances très bourgeois et cultivés petits doigts en l' air et tableaux de maîtres pourvus d 'une domestique Ultracrépidarienne ( oui je sais c est exprès pour que comme moi vous cherchiez ) voilà notre bobo intello lancée dans une enquête Au vrai non il n y a pas d enquête , juste des pages de remplissage verbeux parfaitement superfétatoire qui ne veulent pas dire grand chose voire absolument rien Il y a des Gremlins comme celui ci qui devraient être interdits d 'écriture pour éviter de tuer des arbres
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Il y a quelque chose de réussi dans le club des philosophes amateurs, mais il y a aussi quelque chose de profondément raté, alors que le titre et le quatrième de couverture annonçaient d'une part un club qui n'existe pas, la seule philosophe es la directrice de la Revue d'esthétique appliquée, et une intrigue policière qui ne ne pourra que décevoir les lecteurs qui s'attendaient à trouver autre chose après 300 pages qui leur feront dire qu'ils ont été menés en bateau pour bien peu.

Si le roman avait été présenté comme un roman psychologique ou même un roman de moeurs puisqu'y est décrite avec un regard acéré la vie qu'on mène dans la très respectable ville d'Édimbourg, laquelle n'a rien à voir avec les scandales qu'on peut trouver à Glasgow et à Londres, j'aurais été beaucoup moins déçue. Car tout l'intérêt du livre se situe là, dans les détails concernant le qu'en-dira-t-on, dans les réflexions philosophiques de la narratrice, dans la vie de cette petite ville et non pas dans l'enquête que celle-ci mènera après avoir été témoin de la chute mortelle d'un jeune homme alors qu'elle était au concert.

Alexander McCall Smith a le sens des descriptions. C'est ce qui séduit ici. Mais pour ce qui en est de l'enquête policière, du moins pour ce qui en est du Club des philosophes amateurs, c'est nettement plus faible, ce qui nous incite à citer Shakespeare. En effet, « Beaucoup de bruit pour rien ».

Mais qui a envie d'un roman dont l'action se déroule en Écosse y trouvera son compte. le roman d'Alexander McCall Smith donne envie à ses lecteurs de visiter Édimbourg.
Lien : http://lalitoutsimplement.co..
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Alors qu' Isabel Dalhousie, célibataire cultivée et fortunée, assiste à un concert à l'Usher Hall, un jeune homme tombe de la balustrade juste devant elle, et meurt sur le coup. Choquée par cet incident, elle décide de mener sa propre enquête pour savoir ce qui est vraiment arrivé. Pour parvenir au fin mot de l'histoire, elle va devoir compter sur son intelligence, sa culture et les personnes de son entourage !

Ce roman est plaisant à lire ! L'intrigue est parsemé de références culturelles et fait part d'une réflexion philosophique assez intéressante sur certains sujets liés à l'enquête. La galerie des personnages dépeints est intéressante et Isabel est un personnage attachant et sympathique.
Par contre l'enquête est un peu cousue de fils blancs et possède quelques longueurs et digressions inutiles( par moments on fait tout un plat de quelques miettes! ).
Et puis le fameux club des philosophes amateurs n'existe pour ainsi dire pas : on pourrait croire qu'il va jouer un rôle dans la résolution de l'enquête, mais ce n'est pas le cas, puisqu'il en est à peine fait mention !
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Premier tome d'une série consacrée à une héroïne toute particulière, Isabel Dalhousie, présidente du Club des philosophes amateurs dans cette belle ville d'Édimbourg. Isabel dirige également une revue très spécifique, c'est le moins que l'on puisse dire, qui s'intitule La revue d'éthique appliquée qui ne compte guère de lecteurs. Dans ce premier tome l'intrigue est simple est s'articule autour d'une mort terriblement suspecte lors d'une soirée à l'opéra, un jeune homme tome d'un des balcons et Isabel décide d'enquêter plus profondément sur cet accident qui semble bien avoir été provoqué délibérément.
Doit-on empiéter sur la vie des autres? Fouiner dans la vie des gens? En voilà une belle question d'éthique qui aurait permis une belle réflexion philosophique dans ce club dont on a finalement que le nom dans le titre du roman et dont j'espérais retrouver un peu de cet amusement rencontré dans cette célèbre série TV où un club se forme autour d'incidents intrigants d'une petite ville. L'enquête ici n'en est pas vraiment une et ne permet pas comme dans un polar de se rendre compte des tenants et aboutissants qui ont permis de connaître le fin mot de l'histoire.
Un peu déçue de cette lecture qui aura juste eu l'avantage de présenter les personnages.
Lien : http://stemilou.over-blog.co..
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Des abricots au fond d'un sac, une relecture imprévue, beaucoup de dégâts

Je dois beaucoup à Alexander McCall Smith. J'ai commencé par sa série Mma Ramotswe sans accrocher. On m'a alors conseillé 44 Scotland Street qui m'a beaucoup plus plu et m'a surtout permis de découvrir Armistead Maupin et ses chroniques de San Francisco (d'où l'importance d'être reconnaissant).
Et puis il y a eu la série des Isabel Dalhousie, piochée au hasard et dont j'ai très vite aimé la lecture. Un effet de lecture sur un fauteuil sans âge, au coin d'une cheminée d'une demeure poussiéreuse et cossue. Ajouté à cela, l'impression que l'on a tout le temps, celui de la reflexion: se poser des questions sur l'existence, sur les autres, sur soi. Toute une ambiance.

Et donc voyant ce livre mis en avant en librairie parmi les autres polars, je pensais qu'un nouvel opus était sorti, d'où mon achat (de mémoire je n'ai pas lu les 2-3 derniers tomes encore). Or, premier tome oblige, ce ne fut qu'une relecture. Relecture qui ne fut pas un plaisir pour autant. Je l'ai trouvé imbue, privilégiée, hors monde et un peu trop sentencieuse cette Isabel. Si lectures et auteurs sont à l'honneur j'ai eu un peu plus de mal avec la suffisance. Par exemple motscroisétesque. du genre solives et Montaigne en onze lettres ? Mais bien sûr Palimpseste, trop facile, lolilol. Mais bon. Passons. C'est là l'essence du mot croisé n'est-ce pas ? Égarer le voyageur au stylo.

L'Opus a terminé d'ailleurs, une fois lu, ses jours coincé derrière les volets d'une rue pavée. Il voyageait avec moi pour aller au travail. Et des abricots faisant aussi le voyage au fond du sac (quelle idée), le livre fut très vite tâché de volutes oranges, collantes, poisseuses et parfumées. ingardable.
Relecture en demi teinte donc mais j'ai quand même bien envie de reprendre la lecture des autres tomes de la série.
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Isabel Dalhousie, philosophe fortunée et célibataire, vit à Édimbourg où elle dirige la Revue d'éthique appliquée. Son défaut ? Une incroyable tendance à s'intéresser aux problèmes des autres. C'est ainsi qu'elle décide d'enquêter sur la mort soudaine d'un jeune homme tombé du paradis sous ses yeux, un soir d'opéra…

Alexander McCall Smith s'est fait connaître en France avec les enquêtes de Mma Ramotswe, détective botswanaise de caractère. Son enquêtrice écossaise n'a pas tout à fait le même charisme et sa première aventure, dont le scénario n'est qu'un prétexte, n'est guère convaincante. Pourtant, une atmosphère cosy et un univers bien sympathique s'y dessinent, laissant supposer que la série pourrait se bonifier dans les prochains tomes. Mais le Club des philosophes amateurs n'est pas l'ouvrage à piocher en priorité pour découvrir le travail d'Alexander McCall Smith.
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D'emblée, on entre dans le vif du sujet car l'action du roman commence au théâtre, où un corps est jeté du balcon du "paradis", dernier étage de la salle de concert. Puis Isabel Dalhousie, notre héroïne, décide d'enquêter sur cette mort étrange et subite. Ensuite, c'est long... long... long... très long car on se perd dans les réflexions et pensées et les questionnements moraux d'Isabel Dalhousie.
Une action ou un dialogue commence dans un chapitre, les protagonistes se séparent et le même dialogue ou la même action se poursuit en flash back dans le chapitre suivant, non sans être, entre temps, passé par diverses considérations philosophiques accessibles au lecteur, certes, mais longues à digérer et totalement à coté du sujet. Réflexions de l'héroïne, elle même rédactrice en chef d'une revue, réflexions de Grace, son employée de maison, et de Cat, sa nièce et d'untel, et d'un autre etc...

J'ai souffert... J'ai même sauté quelques passages qui n'avaient rien à voir avec la scène en question et n'apportaient absolument rien à l'enquête, car on s'égare dans la vie des proches d'Isabel... C'était bavarder pour bavarder, soporifique à souhait, je me suis ennuyée et pourtant ce roman est intelligent, sans compter qu'il fleure bon le thé bien chaud et les cookies au beurre.
Outre la plume agréable à lire (malgré quelques coquilles mal corrigées) les personnages sont sympathiques, mais l'enquête quasi inexistante. Beaucoup de charme se dégage pourtant de ce récit, car nous somme en Ecosse, à Edimbourg, un cadre enchanteur, cela a suffit pour retenir mon attention, mais au final, après le "dénouement", mon impression est "tout ça pour ça"...
Lien : https://lecturesdartlubie.bl..
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Une jolie couverture, un titre prometteur (un clin d'oeil à une autre cercle, celui des amateurs d'épluchures de patates ?), une enquête féminine et à l'humour so british, à la manière d'Agatha Raisin ?
Bref, autant de promesses de lectures que je m'étais faite avant de me plonger dans ce roman. Je crois que j'en attendais trop : je suis restée insensible à l'histoire, j'ai eu du mal à rentrer dedans. L'intrigue policière est légère, le personnage de l'héroïne n'invite pas plus que ça à la sympathie, la philosophie apparaît entre deux réflexions, mais finalement, le titre en annonce plus qu'il n'y en a.
Le plus ? L'ancrage de l'intrigue à Edimbourg : l'occasion de voir retrouver l'Ecosse du John Rébus de Ian Rankin, sous un jour bien plus riant !
Un peu déçue par cette lecture, je ne poursuivrais pas la découverte de cette série policière.
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Ce roman n'est pas transcendant. Je me suis ennuyée par moments. Cela décolle seulement à la page 100...D'ailleurs, l'intrigue retombe à plat. Je dirais même que la fin est décevante...Je ferais peut-être une autre tentative avec ses autres romans mais pas avec Isabel Dalhousie et son club inexistant.
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L'enquête d'une presque vieille dame éprise de philosophie ou d'une Edimbourg utopique, ce n'est pas toujours clair... c'est bien écrit mais globalement peu crédible, le propos et les digressions sont parfois intéressants mais l'intrigue sans intérêt.
Le club des philosophes n'existe pas en tant qu'acteur du roman, les personnages pas vraiment non plus.
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