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4,04

sur 1071 notes
Ce livre est un diamant que j'ai croisé sur ma route. Je suis sortie profondément bouleversée de cette lecture. Quelle histoire magnifique, splendide et émouvante ! Quelques larmes ont coulé ! Des souvenirs resteront gravés dans ma mémoire. Si vous aimez les histoires d'amours impossibles, les sagas familiales sur plusieurs générations, ce livre est fait pour vous !
Tout au long de ce récit, nous allons suivre Meggie Cleary depuis son plus jeune âge. Tout commence par une existence rude en Nouvelle-Zélande où elle est la seule fille au milieu d'une ribambelle de frères qui ne cessent de la tourmenter. La misère est le pain quotidien de la famille mais leur quotidien bascule lorsqu'ils partent en Australie auprès d'une riche tante. Là-bas, sur l'immense domaine de Drogheda, ils vont mener une vie d'éleveurs de moutons. Sur place, Meggie se prend d'affection pour un jeune prêtre, Ralph de Bricassart. Au fur et à mesure des années qui passent, ce doux sentiment se transforme en passion dévorante.
L'auteur aborde plusieurs thèmes avec finesse et tout en douceur. Avant tout, il s'agit ici d'une histoire d'amour impossible entre un prêtre et une jeune femme : dévoré par son ambition et enchaîné à vie par son devoir de prêtre, le père Ralph choisit sa vocation au détriment de Meggie. Certaines parties de la vie de Meggie sont poignantes mais ce ne sont que les multiples conséquences de cet amour défendu. L'auteur égratigne au passage les règles strictes de la religion catholique, notamment celui sur le célibat des prêtres.
Il est question aussi des relations familiales : on sent l'amour que les membres de la famille se portent entre eux, mais c'est très sobre, sans effusions ni mots tendres. Comme nous les suivons sur plusieurs générations, on a une belle et longue saga familiale qui permet de s'attacher à tous ses personnages.
On découvre aussi la rude vie des propriétaires terriens australiens. Ces derniers vivent sur un climat aride et sec où l'intégralité du patrimoine peut être dévastée à la moindre longue sécheresse, incendie ou orage violent.
Le style d'écriture est limpide, fluide avec de magnifiques descriptions de la campagne australienne. On s'y croirait presque. Pour ma part, durant cette lecture, c'était comme si une partie de moi déambulait à Drogheda et vivait avec la famille Cleary, partageant leurs joies et leurs peines.
Pour conclure, un roman que je recommande vivement à toutes les personnes qui aiment les romans sentimentaux!
Lien : http://leslecturesdehanta.co..
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Ce que je craignais arriva, je suis tombé sur un énorme pavé (en anglais), une version longue d'un genre littéraire qui ne me passionne pas. J'ai sauté quelques chapitres… bon d'accord un bon tier du bouquin de vide abstrait. Je partais avec un apriori négatif, sur la quatrième de couverture il est mentionné comme étant la réponse australienne à Autant en emporte le vent. Il a été un de mes pires cauchemar de lecture, et Thorn birds aussi malheureusement.

L'histoire raconte celle de … je m'y suis perdu après 200 pages, le gros problème dans ce livre c'est qu'à chaque personnage j'ai eu droit à l'arbre généalogique complet. Les détails pas vraiment utiles du style Cormac ressemble à son frère Connor, je n'ai pas la moindre idée de la tête de son frangin ni de lui du coup. J'ai détesté, ce qui est rare.

Si un jour je vais en enfer, il sera dans ma bibliothèque.
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Un livre dont j'attendais beaucoup et qui ne m'a cependant pas captivée du tout, je me suis ennuyée pendant les trois quart du livre et j'ai trouvé cette histoire bien plate finalement
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Une histoire dépaysante qui propulse le lecteur aux antipodes, en Australie et en Nouvelle-Zélande, parmi les éleveurs de moutons à la vie rude au début du XXème siècle.
Ce livre est une grande saga familiale qui s'étend sur tout le siècle, mais aussi une histoire d'amour entre une jeune fille et un prêtre ... J'ai beaucoup apprécié la première moitié du roman qui fait découvrir d'autres horizons et présente tous les personnages de cette famille hors norme, un peu moins la 2ème moitié qui est plus triste
Lien : https://lastreetlaplume.word..
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J'ai dévoré ce roman en anglais en une douzaine d'heures tout au plus que j'ai à peine vu passer.

The Thorn Birds est un de ces romans qui à l'instar d'Autant en emporte le vent sont des romances sans être eau-de-rose, avec des personnages extrêmement riches démontrant d'une grande finesse de la part de l'auteur. Mais contrairement à celui-ci qui ne quitte pas Scarlett avec un centrage de l'action exclusivement sur celle-ci, ici nous sommes plus proche de la saga familiale puisque que l'on se détache occasionnellement de notre héroïne principale pour suivre d'autre member de sa famille, et on également des aperçus des ressentis de ceux-ci, donc une perspective multiple sur l'histoire.

L'autre grande différence est aussi bien sûr que là ou Scarlett et Rhett forme un couple qui “s'ignore” du moins côté Scarlett, Maggy et Ralph forme un couple déchiré car connaissant un amour partagé impossible du fait des voeux divins de celui-ci.

Bref essayons de reprendre l'histoire du début. Qui commence avec les quatre ans de Maggy Cleary, dans la Nouvelle-Zélande ou elle a vu le jour et ou sa famille mène une vie dure du fait de leur grande pauvreté. Famille assez large composée d'un père adorant une femme dont les origines sont de bien plus haute extraction que celui-ci, et semble porter un lourd chagrin résigné. Arrive ensuite l'aîné Frank, qui adore sa petite fille et vit à couteau tiré avec son père dont il juge la tutelle étouffante. Bob, Jack, et Hughie des garçons un peu turbulents, et Stuart, plus silencieux et doux. Et enfin Maggy, seule fille de la fratrie et notre protagoniste principal.

Suite à la dépression économique suivant la première guerre mondiale, la famille voit ses ressources diminuer lus encore lorsque Paddy Cleary (le père) reçoit une offre de sa soeur plus âgée qu'il a à peine connue, qui sentant venir le vieil âge et la solitude, lui propose de venir travailler pour elle sur ses terres en Australie.

Sur place, ils sont accueillis par le prêtre local, Ralph, qui rêve alors d'une carrière ecclésiastique reluisante. Tout de suite il remarque la petite Meggy dont il deviendra le protecteur, le confident et l'ami… jusqu'à la troublante transformation de l'enfant en femme et un changement dans leur sentiment respectif.

Je n'irais pas plus loin par peur d'en dire trop.

Même si oui, la romance compose le coeur de l'intrigue, on a aussi le droit à un véritable rendu de la vie que l'on pouvait mener à l'époque sur des domaines fermiers, avec les aléas comme les sècheresses, les incendis, la guerre et la maladie, tous ne se terminant pas de la manière la plus heureuse. Car oui, ce roman, même s'il a une teinte finale un peu plus légère, m'a fait verser plus d'une larme

La condition féminine de l'époque est abordée en filigrane, avec une grande amertume de la part des divers personnages féminins tout au fil du roman. le thème principal est le conflit entre amour et ambition, souffert par de multiples personnages au fil du roman, l'ambition étant généralement choisie, condamnant les femmes (mais pas que) à l'attente et la solitude.

Que dire de plus sinon que j'ai passé un moment de lecture merveilleux, et que je le recommande vivement ?

PS: j'ai lu ce roman en anglais, je conseille un niveau plutôt solide pour s'y lancer, mais pas de difficulté majeure non plus.
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l'un des livres préférés d'une collegue ..qui ne m'a jamais attiré ...je l'ai lu pour lui faire plaisir .. il est prenant , la naration n'est pas trop descriptive .. une bonne surprise ... comme quoi ..il ne faut jamais dire jamais !!!
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Terminé a l'instant ce très jolie roman.
J'ai adoré, mais cette auteure est une valeurs sûre ses livres sont géniaux.
Meggie , une jeune fille tellement attachante et belle
Lien : https://m.facebook.com/story..
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Les oiseaux se cachent pour mourir est devenu un de mes romans préférés à l'instant où j'ai découvert cet amour invincible entre Meggie et Ralph, qui a été en quelque sorte leur tragédie également.
L'histoire est tellement touchante qu'il nous est impossible de ne nous identifier à aucun des deux personnages, pour vivre en même temps qu'eux cet amour impossible. D'un côté, il y a Meggie qui, depuis toute petite, voue une admiration sans bornes à Ralph qui se mue au fil des années en une passion profonde et vraie. de l'autre, Ralph est un homme ambitieux qui ne saura pas choisir entre l'amour divin et l'amour d'une femme. Cela constituera, pour eux deux, le plus grand combat de leur vie.
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Les oiseaux se cachent pour mourir est une saga familiale et une histoire d'amour tragique.
Nous avons tout d'abord le clan Cleary, Irlandais immigré en Nouvelle-Zélande qui vont être accueilli par une vieille tante richissime dans son domaine Australien : Drogheda. Parmi eux la petite Meggie, 9 ans, va subjuguer le père Ralph de Bricassart et donner naissance à l'amour interdit entre une jeune femme et un prêtre.

Collen McCuillough a plutôt une belle plume et sait nous retranscrire la vie de famille dans ce début de XX ème siècle, en Australie. Tout comme elle sait planter le décor des vastes plaines chaudes. Je regrette tout de même des descriptions qui prennent trop de place, s'étalent sur des longueurs parfois ennuyeuses. Au détriment des personnages qui m'ont paru fades et aux dialogues ampoulés.
Malgré les avis enthousiastes sur cette romance, je n'ai pas réussi à adhérer à cette histoire d'amour. Je n'ai pas réussi à rentrer dans leur malheur ni dans leur passion. J'ai trouvé au final le coté saga familial, sur trois générations, avec le domaine australien comme point central bien plus intéressant que l'histoire d'amour. Et les démêlés de Meggie avec ses enfants, à la fin du roman, bien plus riche en émotion que les longueurs sur leur amour platonique et les choix que nécessite l'ambition.
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Comment pour l amour de dieu il a quitte son aimante pour attendre la mort on ne trouve pas un conflit entre l amour humain el l amour de dieu
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