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Critiques filtrées sur 4 étoiles  
1936 : Annabelle, infirmière, fuit Londres et son père pour se réfugier chez sa tante à Paris. Elle y fera la connaissance de jeunes artistes, en particulier Henri et Étienne, deux amis originaires du pays basque. Mais la guerre fait rage en Espagne et les trois amis partent là-bas, combattre pour les deux hommes, soigner pour Annabelle.
1956 : Eugénie la fille d'Amélie vient à Paris pour suivre des études d'art et rencontre le Basque, peintre célèbre qui s'intéresse de près à son travail.
L'auteure nous présente une épopée romanesque, sur deux époques différentes, nous montrant toute l'horreur et l'absurdité de la guerre en Espagne et en parallèle la beauté et l'importance de l'art, en particulier la peinture. Ses personnages, quoiqu'un peu stéréotypés, sont attachants, se livrant sans retenue à leur destin. Secrets de familles et amours brisés apportent au roman une dimension romanesque que les pages plus sombres sur la guerre ne parviennent pas à occulter.
Un bon moment de lecture pour lequel je remercie Mylène et les éditions de l'Archipel #LESÉCHOSDUSOUVENIR #NetGalleyFrance
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Un récit romanesque qui plaira aux amoureux des arts et de jolies histoires sur fond historique. Un hymne à l'art, à la passion et au courage.
Parfait pour célébrer le printemps et les couleurs qui refleurissent.

Plusieurs destins s'entrecroisent: ceux d'Annabelle, Etienne, Henri, Annie, George et plus tard Eugénie dans une fresque romanesque qui nous emporte sur une vingtaine d'années, des années folles insouciantes à Paris (1936) en passant par les horreurs des massacres de la guerre civile en Espagne et puis de celles du nazisme de la seconde guerre mondiale pour ensuite nous ramener 20 ans plus tard (1956) au berceau de cette histoire, de l'Art, à Paris.

Malgré les épisodes assez sombres de l'Histoire dans l'histoire, l'auteure a réussi à garder tout du long une lumière quasi artistique éclairant les moments les plus durs d'une touche d'espoir et de coloris expressifs ainsi qu'un certain suspens --- jusqu'au mot 'End': qui est donc ce "Basque", peintre mystérieux, enseignant à la jeune Eugénie, tout nouvellement débarquée à Paris en 1956 ?

Récit vivant & chatoyant grâce à des personnages hauts en couleurs, comme Annie, Etienne, Henri, non seulement artistes dans l'âme et l'esprit, mais également porteurs de belles et fortes convictions. A Belle, égale à elle-même, prenant soin des autres comme sa vocation d'infirmière, sa nature profonde l'y poussent.
A George, médecin, mari et père qui réussit à passer outre bien des aléas qui auraient laissé plus d'un homme sur le carreau et à rester "gentleman" jusqu'au bout.
Et enfin, à Eugénie, reprenant à son tour le flambeau, 20 ans plus tard.

Une lecture agréable. Quelques longueurs par moments n'entravent pas le plaisir car elles conviennent ici pour visualiser la richesse de l'atmosphère de l'époque, de certains intérieurs bohèmes tout comme pour décrire & (dé)crier les horreurs survenues sur les champs de bataille,... avec une touche alliant le so british, le so chic au so artistic français.

Les échos du souvenir de Tamara McKinley sort le 1er avril 2021 aux éditions de l'Archipel que je remercie du partage via NetGalley.

Couleur supplémentaire en fin de récit, la note de l'Auteure qui explique d'où lui est venue l'idée de ce roman: "Ah Paris, la Seine et son Pont-Neuf"

Dommage que certains éditeurs ne préviennent pas en amont qu'il ne faut pas poster sur FB les retours avant la date de parution officielle de leurs romans, on se sentirait un peu moins 'con' (enfin moi)
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Une histoire a double temporalité, qui se croisera forcément. D'abord, nous sommes en 1936. Annabelle, infirmière, fuit Londres et son père pour se réfugier chez sa tante à Paris. La vie semble douce. Elle se fait de nouveaux amis, des artistes. Henri et Étienne sont originaires d'Espagne. La guerre civile y règne. Et tous trois décident d'y aller. Les deux hommes pour combattre, et Annabelle, pour soigner. En 1956, Amélie est à Paris pour étudier l'art. Elle y rencontrera un homme basque, qui s'intéresse de près à son oeuvre. McKinley nous raconte donc les ravages de la guerre, mais parle également de l'importance de l'art, sa beauté, son mandat de figer sur une toile l'histoire. Une histoire bourrée d'amour, de secrets de famille et d'amitié. Une bonne lecture.
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Sur fond de contexte historique au cours de la guerre d'Espagne et par la suite bifurquant sur celle de la seconde en France, Annabelle Blake, une jeune femme anglaise, infirmière de métier est contrainte de quitter son Angleterre natale pour rejoindre sa tante à Paris. Au fil de ses rencontres artistiques, car Paris est sans contexte, la ville des inspirations poétiques ainsi que picturales pour nos amoureux des Beaux-arts, Annabelle va donc de son côté oeuvrer pour soigner les malades et blessés de guerre lors de son périple vers l'Espagne.

Amours brisées, secrets de famille sont les maîtres mots à découvrir pour mieux comprendre la raison de son existence, lorsque 18 ans plus tard, Eugénie la fille d'Annabelle vient vivre à Paris le temps d'une année d'études à l'école des Beaux-arts.

Nous allons donc crescendo avancer dans notre lecture et pouvoir comprendre tout ce qui s'est déroulé sur vingt ans pour notre miss Annabelle.
J'ai trouvé le début très lent à démarrer jusqu'à la moitié du roman et une accélération par la suite pour une fin très vite exploitée... j'avoue être arrivée à la fin assez brusquement et là j'aurais espéré un peu plus de pages bien que le dénouement soit tout à fait convenu.
Une agréable lecture, pourvu que le souvenir ne s'envole pas trop vite.
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Annabelle Blake est une jeune infirmière anglaise qui se voit contrainte de quitter son pays où elle ne peut plus travailler suite aux soins prodigués à un patient. Elle part pour la France, où elle trouve refuge chez la soeur de sa mère, sa tante Aline, qui est artiste peintre. Elle intègre vite ce milieu bohème et fait la rencontre de Henri et Etienne, deux jeunes hommes originaires du pays basque. Henri, peintre également, tombe rapidement amoureux d'Annabelle et les sentiments sont réciproques. Etienne, poète et écrivain, a quelques difficultés à voir son ami lui échapper. Les deux jeunes hommes ont toutefois un projet en tête, aller combattre les fascistes en Espagne. Annabelle, qui peine à trouver un travail d'infirmière en France, les suit dans leur voyage....
Vingt ans plus tard, la fille d'Annabelle vient à Paris pour y intégrer l'école des Beaux Arts, elle cherche également des réponses sur son passé....
J'ai beaucoup aimé ce roman. le début m'a semblé assez long, assez lent, et dès l'arrivée en Espagne, le rythme s'est accéléré et je n'ai plus envie de le lâcher. Comme à chaque fois Tamara McKinley ne tombent pas dans des histoires trop fleur bleue, elle arrive à apporter de l'émotion et du drame de manière équilibrée.
Merci à Netgalley et à Archipel pour cette lecture.
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Tamara McKinley est une de mes autrices préférées dans le genre historique/voyage/romance. L'indétrônable roman au sommet reste encore et toujours La dernière valse de Mathilda. A ce jour, j'ai lu Lune de Tasmanie, La route de Savannah Winds et deux tomes de la saga du Bord de mer. Et j'ai toujours pour projet de lire tous ses romans, tous sans exception ! Je ne pouvais donc décidément pas passer à côté du nouveau bébé de l'autrice et je n'ai pas hésité à le demander à la maison d'édition avec laquelle je suis partenaire.

Annabelle, infirmière, n'a plus d'avenir en Angleterre à cause de son père qui lui aura mis des bâtons dans les roues. Elle débarque donc en France, chez sa tante Aline, pour commencer une toute nouvelle vie. Mais les portes se ferment également devant elle mais pas celle de l'amour. Car elle tombe alors profondément amoureuse d'Henri, un jeune homme d'origine basque, peintre et dessinateur. Les jeunes gens, accompagnés d'Étienne, le meilleur ami et presque frère d'Henri, partent alors pour l'Espagne en pleine guerre civile où Annabelle oeuvrera comme infirmière sur le terrain et les deux jeunes hommes combattront pour la liberté du pays. Leur si belle histoire d'amour se terminera abruptement, sur un malentendu. Annabelle refera sa vie auprès de George, un proche ami en Angleterre et ne soupçonnera pas qu'Henri a survécu, bien qu'handicapé et toujours amoureux d'elle. de leur union naît Eugénie, aussi belle que sa mère et talentueuse que son père biologique et cette dernière se mettra en quête de la vérité à Paris...

C'est une jolie surprise dans le sans où cette fois l'intrigue ne se déroule pas en Angleterre et en Australie, comme la grande majorité des romans de l'autrice mais principalement en France et en Espagne. ça change! Et c'est appréciable. le contexte historique m'a plu et je ne le connais que trop peu, j'aimerais d'ailleurs en savoir plus, je vais donc mener des petites recherches pour ma culture générale.

Pour ce qui est des personnages, nous avons différents points de vue : celui d'Annabelle, de sa tante Aline, de George, d'Henri, d'Étienne et d'Eugénie. Annabelle m'a bien plu dans l'ensemble et elle m'a grandement surprise à la fin; je peux comprendre les choix d'Aline qui ont en quelque sorte tout bouleversé; j'ai eu peur qu'Étienne soit un personnage nocif mais je me suis complétement trompée à son sujet. George a un rôle important à jouer et je l'ai trouvé admirable. Quant à Henri, son amour pour Annabelle était vraiment magnifique et Eugénie est une jeune femme très attachante.

Il y a beaucoup, beaucoup, beaucoup de descriptions, de narration. C'est le bagage de Tamara McKinley. C'est un point fort car c'est plus réaliste, plus travaillé, plus détaillé mais c'est à double tranchant parce que le rythme est plus lent, la lecture plus lourde. Disons qu'ici, c'est un juste milieu.

J'avoue que j'ai mis du temps pour le lire, il faut dire que la période n'était pas très propice à la lecture au regard de ma vie professionnelle et personnelle mais j'en suis quand même venue à bout. J'ai aussi eu du mal à entrer dans l'histoire, qui ne me passionnait pas au début. Il aura fallu attendre que les personnages rejoignent l'Espagne pour que ça devienne vraiment intéressant et captivant.

Une fois de plus, c'est une belle histoire d'amour sur fond de guerre et d'art, avec des secrets et de tristes malentendus. J'ai trouvé la fin douce/amère et j'ai même failli versé ma petite larme! La fin est parfaite, il n'y a pas à dire.

En bref, je ressors assez conquise de ma lecture. J'ai eu quelques doutes au début mais ils se sont vite envolés ensuite. Tamara McKinley a vraiment un don pour écrire de si belles histoires!

Je tiens à remercier Mylène et les éditions de L'Archipel pour la lecture du nouveau roman de Tamara McKinley.
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Un roman de Tamara McKinley, c'est toujours un bon moment de détente agréable, et une lecture difficile à abandonner.
Celui-ci ne sera cependant pas dans mes préférés.
Je suis plus attirée par l'Australie, comme dans Lune de Tasmanie, et j'avais bien aimé aussi L'avenir nous appartient, de la saga La Pension du Bord de mer.
Ici, j'ai eu un peu un effet yoyo, beaucoup aimé certaines parties, d'autres moins.
J'étais intéressée par l'évocation de la guerre d'Espagne. Ces jeunes gens, qui bien que vivants en France se sentent quasiment obligés d'aller tenter de défendre la démocratie espagnole, sont la génération de mes parents, certains de leurs amis y sont partis, on en parlait un peu (rarement) quand j'étais petite.
Mais j'ai vraiment du mal, et encore plus en ce moment où j'ai besoin de douceur, à lire un récit des horreurs de la guerre. Je ne m'y attendais pas vraiment de cette autrice.

J'ai apprécié la découverte du Paris de l'entre-deux guerres, même si j'ai trouvé dans la première partie beaucoup de longueurs dans les descriptions : les fanfreluches du logement de sa tante détaillées sur des pages, puis l'atelier du peintre, tout ce qu'on trouve sur le marché, etc. L'autrice a aimé connaître Paris, et nous le fait partager (à quelques décennies près !) mais c'est un peu trop à mon goût.

Par contre ensuite, et notamment à partir de l'arrivée d'Eugénie, j'ai vraiment accroché à l'histoire, j'ai dévoré la suite, comme les autres romans de Tamara McKinley.
Paris comme le centre du monde artistique, un secret de famille, un amour fou et un amour tendre, un très beau roman finalement.
Lien : https://livresjeunessejangel..
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La première chose à dire, c'est que la plume de Tamara McKinley est très douce. Il est vraiment agréable de s'y plonger et de suivre les aventures des personnages sous ses mots. Les descriptions de Paris font affleurer toutes les caractéristiques de la ville et laissent entendre l'émerveillement du nouveau venu pour cet endroit riche en histoire et cher aux artistes. C'est un Paris bohème et poétique qui transparaît donc, un Paris idéalisé, sans doute, mais un Paris qui parle au coeur et qui peut tout à fait correspondre à une époque et à la découverte enthousiaste de quelqu'un. Une large part de cette narration est donnée aux Arts aussi : l'écriture, la peinture, la description de tableaux. Cela m'a plu car cela apporte un petit supplément au livre. Pour autant, il n'y a pas de cours d'histoire de l'Art ou d'avis de spécialistes, la lecture n'est donc absolument pas entravée pour le lecteur même s'il n'est pas spécialement intéressé par l'Art. La tante d'Annabelle, Aline, est d'ailleurs la figure de l'artiste bohème. Fantasque et surprenante, elle est très attachante. Elle est également très humaine, et dans la deuxième moitié du roman, elle se charge d'une gravité et d'un sérieux qui l'ancrent profondément dans notre coeur, et nous amènent à la plaindre et à l'apprécier encore plus.

La part de romance est bien entendu très présente. Au travers d'Annabelle, de George, d'Henri mais aussi d'Etienne, nous avons une multitude d'amours : des amours heureuses – un temps du moins, des amours déçues, des amours complexes, des amours- amitié exclusives, des amours tout en retenue et en sagesse. La romance déploie donc ici son plein potentiel en se parant de multiples facettes sans pour autant user des artifices que je déteste. Cela permet aussi de ne pas saturer le lecteur avec des atermoiements amoureux à la « je t'aime – moi non plus » qui peuvent être pesants. Ici, nous avons des tragédies, des amours contrariées par la marche de l'Histoire, par le « qu'en dira-t-on », par la vie et ses déboires. Il y a bien entendu quelques scènes d'amour, bon, ce ne sont clairement pas mes passages préférés, mais sincèrement, ils n'étaient ni si nombreux que ça, ni insoutenables pour l'allergique aux romances que je suis.

Ce que j'ai particulièrement apprécié, c'est la retenue et l'élégance morale d'un certain nombre de personnages. Dans ce roman, il n'y a pas vraiment d'auto apitoiement, même lorsque les personnages sont cruellement frappés par le destin. Chacun reste digne lorsque son tour de souffrir vient. Il serait même possible de dire qu'autant de dignité est parfois peu probable ! En effet, sur l'ensemble des personnages, aucun n'est réellement excessif face aux affres de la passion ou du désespoir lié à un amour perdu ou déçu. Je ne suis pas sûre que dans la vie ordinaire, tous nos proches aient autant de sel control. L'avantage, très clairement, c'est que cela donne une romance équilibrée et agréable, émouvante et touchante sans être lourde, pesante ou clichée.

La relation parent-enfant tissé dans les familles est elle aussi intéressante, et la temporalité du roman 1936 / 1956 permet de ne pas voir s'essouffler la dynamique. le récit ne tourne pas en rond, ne souffre pas de lourdeur. Au contraire, la bascule avec le présent d'Eugénie permet de redynamiser l'ensemble, de résoudre un certain nombre de points laissés en suspend dans l'histoire de ses parents et de créer suffisamment de tension et de non dits pour maintenir la curiosité du lecteur en haleine. Les rebondissements sont donc légion et nous permettent de ne pas nous ennuyer.

Ainsi, Les Echos du souvenir est une lecture très agréable, qui se lit à merveille et qui sait nous toucher et nous émouvoir. C'est une romance douce et équilibrée.
Lien : https://lesreveriesdisis.com..
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Un roman qui mêle contexte historique et destins contrariés. Annabelle Blake, jeune infirmière contrainte de fuir Londres à cause d'un père qui n'apprécie pas ses choix de vie, débarque à Paris en 1936. Hébergée par sa tante, elle va être au contact de jeunes artistes notamment Étienne, poète et Henri, peintre. Mais ces jeunes, loin d'être insouciants, décident de partir en Espagne alors que la guerre civile fait rage. Nous suivons donc le périple d'Annabelle, femme courageuse qui va montrer par son caractère qu'elle est loin d'être une petite bourgeoise sans cervelle. Vingt ans plus tard, Eugénie, sa fille, débarque à Paris et va faire ressurgir les fantômes du passé. Ce roman composé de deux parties se lit d'une traite. L'atmosphère d'entre deux guerres à Paris au milieu des artistes m'a beaucoup plu. Les personnages sont intéressants et attachants. Bref, une bonne intrigue et un style fluide font de ce roman un bon moment de lecture. Une chouette découverte. #LESÉCHOSDUSOUVENIR #NetGalleyFrance
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Merci aux éditions de l'Archipel et à Net Galley pour l'envoi de ce roman. J'ai pu redécouvrir l'univers de Tamara Mc Kinley à travers ce nouveau roman, "les échos du souvenir".
Auteure de #ladernièredansedemathilda, roman que j'avais particulièrement apprécié.
Cette fois encore, je me suis laissée emportée par cette histoire aux personnages attachants et au courage exemplaire. J'ai aimé cette plongée dans ce Paris des années trente. Un roman chargé d'émotions
Un très bon moment de lecture pour ma part!
Lien : https://www.instagram.com/do..
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