My dear f***ing prince

Ce livre est sympa, mais sans plus, un roman pop-corn à lire entre deux ouvrages bien qu'il soit un peu gros.
La romance est évidente dès le début et hélas il n'y a pas de suspens dans cet ouvrage ce qui est fort dommage, on sait d'avance comme cela va se finir.
Malgré cet aspect, le livre se lit vite et la plume est fluide ce qui permet de tourner les pages assez facilement.
Certaines scènes traînent un peu en longueur, mais pour les puristes de la romance cela ne devrait pas poser de problème

C'est avec un avis assez mitigé que j'ai terminé ce roman : des chapitres bien trop longs, des passages qui tirent en longueur à certains moments qui ont parfois failli me décourager.
Un peu déçue de la rapidité de l'aspect "enemies to lovers" entre Alex & Henry. La romance arrive bien trop vite à mon goût, on sait bien qu'ils vont finir ensemble mais j'aurais préféré que le suspens nous tienne en haleine plus longtemps.
De plus, leurs ébats étant répétitifs (sans vraiment d'autre connexion entre eux au début) on peut avoir la sensation finalement d'un amour peu profond et d'une relation surtout basée sur le sexe. C'est assez dommage, j'aurais aimé que les sentiments amoureux soient plus développés et qu'ils apprennent à se connaître de manière moins superficielle.

J'ai beaucoup aimé les doux échanges de 📧 entre les 2 personnages, ce sont de jolis moments marquants de leur complicité au vu de leur relation à distance compliquée.
Mon passage adoré restera celui où Alex retrouve Henry à Londres après quelques jours sans nouvelles (Pas de spoilers), j'ai littéralement ressenti les émotions de nos deux jeunes hommes à cet instant. C'était touchant.

Des répliques assez drôles et sarcastiques fusent tout au long de l'histoire, il y en à même qui ont réussi à me faire sourire (Notamment cette bougon de Zhara !). J'ai apprécié finir le livre sur une belle fin "feel good" pleine de tolérance, d'amour et de Happy end à tous les niveaux.

Pour résumé, ce n'est pas un coup de coeur pour moi mais "My Dear F***ing Prince" a le mérite d'être un New Adult sympathique et original du fait de l'aspect politique / royauté qui y est développé. Les personnages sont touchants et leur amour est rafraîchissant : ça donne envie de tomber amoureux ! L'autrice réunit tous les codes d'un bon livre "doudou" comme on les aime ! L'histoire va d'ailleurs être adapté en film prochainement et je trouve que le choix des acteurs est plutôt bon.

Je viens de terminer la lecture de My Dear Fuck***g Prince, roman de Casey McQuiston et je suis bien content. 😌

J'avais l'impression qu'il ne voulait pas se terminer, ce livre (tellement de longueurs).
J'ai eu l'impression en lisant ce roman qu'en fait je regardais un film, du moins d'après la traduction française par Céline Morzelle et Sarah Dali aux éditions Lumen. Qui plus seraitle genre de film que tu aurais a l'époque sur Disney Channel.
J'ignore si c'était l'effet escompté de l'autrice mais c'était bien trop flagrant et la lecture n'était pas réellement fluide.

J'ai dû relire les 8 premières pages pour réellement comprendre ce que je lisais pour vous dire à quel point ce fut un gros effort de le lire et c'est seulement après 120 pages que j'ai réellement été embarqué et je me suis habitué au style.

J'ai beaucoup aimé les références a la littérature anglo-saxonne surtout celle britannique, et les références d'auteurs.trices comme Jane Austen et plein d'autres. On ressent d'ailleurs une grosse influence de Jane Austen a travers la plume qui se dégage du livre.

Réellement, j'ai apprécié suivre le trope " ennemies to lovers" d'Alex et Henry.
J'apprends qu'une version cinématographique est préparation sur Amazon Prime video, prévue pour 2023, je compte bien la regarder.

J'ai quelques fois été touché par le roman, d'autres fois j'ai plutôt et fatigué.
Je conseille de le lire, il est palpitant, pas très profond, ce qui est dommage pour un récit de 600 pages. cela dit, ça reste bien divertissant malgré une digestion éprouvante.

C'EST LONG. Tout est long, le livre déjà, avec plus de 600 pages, mais surtout ses chapitres qui ne font jamais moins de 50 pages, moi qui adore les chapitres courts, me voilà servi. le problème avec cette mise en page, c'est que je rechigne à débuter un nouveau chapitre lorsque j'en termine un. C'est d'ailleurs à cause de cela que ma lecture a tant duré, ce livre a cassé mon rythme de lecture que j'ai réussi à trouver en janvier et j'ai énormément eu de mal à en voir la fin.
Pourtant, l'histoire avait tout pour me plaire et je n'ai pas non plus détesté l'univers. L'histoire d'amour est vraiment intéressante et l'impossibilité politique est assez bien développée, mais le tout est trop lent et trop long. L'amour à la Roméo et Juliette avait tellement de potentiel, mais la carrière politique d'Alex a, pour moi, pris beaucoup trop de place dans cette romance.
Un autre point noir dans cette lecture ne concerne que mon ressenti personnel et est en lien avec l'omniprésence de scènes à caractère sexuel. J'ai longtemps eu l'impression que leur romance était uniquement développée autour de leurs ébats et ce n'est pas ce que je recherche lorsque je lis. Oui, ceci est l'avis très personnel d'un.e asexuel.le.
Pour résumer le tout, je pense que j'aurais conservé les 200 premières pages et les 200 dernières pour que ce livre réponde un peu plus à mes attentes de lecteurice.

Partie avec spoilers : Toutefois, mon petit coeur en sucre est comblé par cette fin heureuse

Le début de ce livre est amusant. Fan de À la Maison-Blanche et de The Crown, je n'ai pas boudé mon plaisir. Passionné par les réseaux sociaux et leur impact, j'ai pris plaisir à voir le jeu sur Instagram et Twitter. Jusqu'à la moitié, le roman m'a happé. Je voulais en savoir plus sur les deux héros à la Shakespeare qui ne peuvent pas s'aimer et qui pourtant… Mais vers le deuxième tiers, le livre tourne selon moi à la romance Disney, avec ses intrigues cousues de fils blancs. J'ai tellement tout vu arriver que j'ai fini par m'ennuyer et me lasser. Les bons sentiments sont tellement lourds que j'ai fini écoeuré.
Lien : https://lgbtheque.fr/livre/r..

Lire anglais est un de mes objectifs depuis l'année dernière.

Suite à de bons retours concernant cette Romance j'ai décidé de le lire en VO pour bosser mon anglais l'air de rien et car le titre en français est carrément à ch*er il faut le dire.

Je lis peu de livre de ce genre mais je l'ai trouvé charmant. Alex est un personnage assez drôle donc c'était agréable de voyager dans sa tête même si l'attachement pour Henry a été plus long.

Il y a un côté très addictif dans ce livre grâce à cet humour bienvenu et la création tous en douceur de cette relation. Voilà longtemps que je n'avais pas eu cette incapacité à poser un livre.
Cependant il y a un gros ventre mou dans le dernier tiers, je pense qu'il aurait bénéficié d'être plus court pour éviter cela: il y a trop de répétitions, les scènes intimes qui apportaient jusque là quelque-chose car elles illustraient l'évolution de leurs sentiments deviennent inutilement graphiques, gratuites et suivent le même schéma sur qui est haut, les râles de plaisir et le nombre de coup de reins.

De plus, alors que le système politique US est clairement représenté il y a un manque flagrant de recherches sur le système politique en UK et particulièrement sur la famille royale. Henry ne pourrait être the Prince of Wales en étant le 2nd petit fils de la reine en titre et étant le benjamin d'une fratrie de 3 il n'aurait pas de pression pour se marier au contraire de ses aînés (coucou Prince Harry) donc les tergiversations de Henry apparaissent inutiles et témoignent d'un manque de recherches.

Cette la BRF a des codes anciens mais là c'était too much et faisait un peu trop téléfilm de l'après midi. La séance photo pour illustrer la courtship de Alex envers Henry c'était le pompon (sérieux "courtship" qui emploie encore ce terme?!) et c'est dommage car jusque là cette romance avait évité pas mal les écueils de la caricature que l'on voit bien trop souvent dans les romances et surtout du même genre.

Bref, malgré ces agacements c'est une histoire touchante qui illustre le chemin tortureux que certains doivent emprunter car ils aiment en dehors des cases pré établi par la norme.

Tout le monde en parlait et...
Voilà j'ai été bien déçue en faite, tout le côté politique des USA ne m'a vraiment pas conquise, et c'est dommage. Parce-que le Prince et le fils de la présidente auraient pu me conquérir, mais la politique pour moi à gâcher mon plaisir.

Sur le papier, l'histoire donne envie. Un amour interdit, LGBT, à distance… mais seulement voilà, j'ai trouvé que parfois il y a avait trop de longueurs et ça m'a déconcentrer de ce livre qui est pourtant magnifique. J'ai quand même bien aimé mais je ne peux pas mettre de trois étoiles.

Bon et bien c'est un bof.... mais je voulais le livre avant ma fille de 15 ans.

C'est l'histoire d'Alex le fils de la présidente des états unis et d'henry petit fils de la reine d'Angleterre, ces deux là ne peuvent clairement pas se voir en peinture. Tu le vois arriver le fameux "ennemies to lovers".

Ce que J'ai aimé dans ce livre c'est les références a la littérature, et aux autrices comme Jane Austen par exemple. J'ai aimé l'humour "so british" de Henry

Toutefois je n'est pas trouvé cette histoire très profonde et cette romance très palpitante, J'ai quelques fois été touché mais dans l'ensemble ce roman m'a laissé insensible, c'est divertissant quoi!.

Bref un bof, une lecture que je ne vais pas garder en mémoire .
Ah et c'est Ok pour un/une ado de 15 ans.

Avec ce titre, nous faisons la connaissance d'Alex, fils de la présidente des Etats-Unis, et Henry, petit fils de la Reine d'Angleterre. Tous deux sont amenés à se croiser, mais ils se détestent ! A tel point qu'ils sont à deux doigts de créer un incident diplomatique. Les voilà contraints de faire croire à la presse qu'ils s'entendent à l'occasion d'un week-end durant lequel ils vont devoir faire semblant d'être amis malgré l'animosité ambiante.

Voilà un ennemies to lovers qui semble somme toute très sympathique, je me suis immédiatement retrouvée plongé dans cette ambiance. J'ai adoré faire la connaissance de ces personnages aussi touchants qu'attachants, j'ai aimé suivre l'évolution d'Alex, le voir se poser de nombreuses questions, tout en douceur et en tendresse.
Avec ce titre, nous plongeons au coeur de la Maison Blanche, dans une famille merveilleuse, soudée, unie et ouverte d'esprit. Mais aussi au sein de Buckingham avec une famille bien évidemment moins ouverte, mais avec quelques personnages tout aussi sympathique dont j'ai adoré faire la connaissance.
Il n'y a pas à dire, même s'ils sont séparés par un océan, Alex et Henry sont réellement bien entourés. La complicité qu'ils entretiennent avec certains personnages m'ont régulièrement fait sourire, je dirais même que les liens entre les personnages sont le point fort de ce titre.
J'ai aussi adoré la façon dont le côté politique est mis en avant. Cette part de l'histoire a une place importante sans pour autant écraser l'histoire naissante entre les deux protagonistes.

Si j'ai aimé cet ennemies to lovers, que je me suis attachée à ces personnages, à cet univers, je dois bien avouer que je me suis aussi, malheureusement, un peu ennuyée. le côté ennemi disparaît très vite pour laisser apparaître une solide amitié entre ces deux personnages qui ont bien plus en commun que ce qu'ils pensaient au départ. Une fois que l'animosité n'est plus, leur relation évolue doucement, à son rythme vers autre chose. le problème pour moi est que leur complicité arrive à son apogée environ à la moitié du roman. Ça veut donc dire que nous avons de nombreux chapitres qui nous servent simplement à suivre leur quotidien, le tout dans des chapitres très longs.
Je dirais que ça rend le rythme assez inégal. Certains chapitres de cette seconde moitié sont drôles, touchants, intéressants, d'autres sont plus lents et manquent d'intérêt. C'est dommage.

Dans le fond, je ne peux pas dire que je n'ai pas aimé cette lecture, j'ai tellement aimé les personnages que j'ai passés un bon moment à leur côté. Je regrette juste qu'il soit aussi long, il aurait gagné à être plus court.

Concernant l'édition collector, les écritures sur la couverture s'effacent très vite, pour la qualité, on repassera… En revanche, le chapitre bonus est un épilogue qui nous permet de savoir ce qu'il advient de nos personnages quelques années après la fin du roman ça, j'adore !

Au final, il s'agit là d'un titre bienveillant et inclusif qui mérite d'être lu et mis en avant. J'ai désormais hâte de voir le film pour retrouver les personnages, je ne doute pas qu'il ne peut qu'être réussi s'il gomme toutes ces longueurs.