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« Les morts appartiennent à ceux, parmi les vivants, qui les réclament de la manière la plus obsessionnelle ».

Cette citation en exergue de James Ellroy annonce la couleur : le Quatuor de Los Angeles est LA référence assumée de François Médéline. Référence qui pourrait être écrasante mais qui ne l'est jamais tant cet auteur français joue sa propre partition comme un brillant improvisateur de jazz le ferait sur un morceau connu de tous. Sous ses mots, Lyon devient L. Confidential, le dahlia se transforme en orchidée, le noir se trempe de rouge.

L'auteur se joue des codes du polar trash en poussant les curseurs des stéréotypes habituels très loin : héros borderline fracassé par la vie, crimes odieusement macabres, serial killer corsé, moeurs brutales de flics à la dérive hors des procédures, justice corrompue, extrémistes de tout poil ( le GUD côté extrême-droite, des anars côté extrême-gauche ) ... Si on aime ce genre de polar ( c'est mon cas ), on apprécie, même avec un air de déjà-vu.

Et c'est là, sur cette sensation familière, que François Médéline frappe très fort. Dès la première scène, spectaculaire, qui en met plein les rétines et perdure durant toute la lecture : 1998, un radeau sur la Saône, un cadavre crucifié, émasculé, la peau du visage écorchée, une superbe orchidée peinte sur l'abdomen. L'écriture stroboscopique, quasi épileptique par moment, explose à la face de lecteur, le laisse K.O. et le happe, créant une ambiance nerveuse et dérangeante.

Au-delà de sa remarquable prose, ce qui frappe également, c'est la façon dont le personnage principal, le commandant Alain Dubak qui mène l'enquête, est mis en scène, assailli, lorsqu'il est en proie à la drogue, par des visions hallucinatoires qui fourragent ses obsessions personnelles et un passé intime qui ne passe pas . L'enquête en mode course contre la montre pour stopper le tueur à l'orchidée se mue alors en traque peuplée de fantômes et de cauchemars dans lesquels chacun est au bord de perdre son âme. Car Dubak n'est pas seul, toute son équipe est brillamment campée, à commencer par les deux personnages féminins principaux : Mamy, la capitaine accro aux bonbons Haribo et à la castagne, aussi bien amie fidèle que mère bourrue débordant d'affection; et Véro, la reine des procédures, touchante mère d'un enfant malade qui reste droite dans ses bottes malgré la boue qui l'entoure.

Un polar très ambitieux, à l'envergure certaine, qui ravira les amateurs de romans sombres et furieux.
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Une barque dérive sur la Saône et s'échoue dans Lyon. A son bord git le cadavre d'un crucifié. La victime a été castrée et son bourreau lui a arraché la peau du visage. Une orchidée est peinte sur son torse.
Le commandant Alain Dubak est chargé de l'enquête. Avec son équipe, ils vont remonter aux sources de l'horreur, partir à la poursuite d'un monstre, ange déchu du paradis des hommes, écartelé entre sa folie meurtrière et son appétit de vengeance…
François Médéline a imaginé avec beaucoup de talent cette histoire qui regroupe tous les bons éléments pour en faire un excellent polar. Ses personnages principaux ont une personnalité haute en couleur et leurs défauts font la qualité principale de ce roman.
Malheureusement, l'écriture de l'auteur, son style pour le moins surprenant, gâchent le plaisir que l'on a à lire « L'ange rouge ». C'est une suite ininterrompue de phrases courtes, parfois répétitives, qui martèlent la narration de cette histoire. On a l'impression de lire une interminable liste de courses. le procédé entraîne le lecteur à la limite de l'aliénation. L'auteur a-t-il voulu expérimenter un style d'écriture ? L'expérience tourne au cauchemar pour le lecteur, c'est un ratage complet.
À dévorer sans aucune retenue pour l'histoire, certainement pas pour le style de l'auteur.
Editions La Manufacture de Livres, 506 pages.
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Un polar complexe et ténébreux.
Un cadavre écorché, mutilé et dessiné.
Il faut se concentrer, les personnages affluent mais il faut s'accrocher ; ce roman en vaut la peine.
D'une écriture acérée et intense, François Médéline nous entraîne vers la noirceur de l'âme humaine.
C'est une course contre la montre haletante dirigée par un commandant border-Line.
Si vous avez encore un doute, je vous assure que rien que les 10 dernières pages méritent que ce roman soit lu.
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Printemps 1998, la bonne ville de Lyon est en émoi. Un crucifié a descendu la Saône sur une barge le dimanche des rameaux. le cadavre émasculé et défiguré venait d'avoir trente-trois ans. Pas besoin d'être grand clerc pour faire un parallèle avec un certain Jésus, surtout dans la ville du Primat des Gaules. Serions-nous devant l'oeuvre d'un serial-killer en puissance se demande le commandant Alain Dubuk ?

Nous sommes à Lyon, la ville aux deux collines, celle qui travaille et celle qui prie, et l'on prie avec ferveur chez les intégristes de Saint-Georges et les étudiants du GUD, comme on travaille beaucoup à préparer des attentats chez les anarchistes squatteurs des souterrains de la Croix-Rousse.

L'enquête avance vite, mais le tueur a toujours un cadavre d'avance, et oui Dubuk tu es bien à la poursuite d'un serial-killer.

Bon, ok des cadavres christiques et une enquête menée par un flic sacrément borderline, on a déjà vu ça dans pas mal de polar, mais il faut reconnaitre à François Médéline un savoir-faire indéniable.

Un style direct, rapide et précis dans le déroulement de l'enquête, des personnages à la psyché très fouillée et surtout une habile utilisation du décor urbain de Lyon.

On se croirait chez Ellroy et pourtant nous ne sommes pas à L.A, mais la cité des Gaules vaut bien la cité des Anges, d'ailleurs, n'est-ce pas entre Rhône et Saône, que le cinéma a été inventé?

Un crucifié port Rambaud, un autre place Gerson, un pendu dans un dépôt désaffecté de la Guillotière, et quelques cadavres en plus à l'ile Barbe, bref j'ai lu un polar trash et lyonnais.
Lien : http://www.baz-art.org/archi..
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"C'était la tempête et j'ai voulu tuer. Oui, j'ai voulu tuer. Je voulais tuer, exterminer, pendre. Et j'ai deviné l'ombre derrière moi, une ombre mouvante. Et j'ai entendu les pas. J'ai pivoté, tiré. Mon oeil était vivant. J'ai tiré. le canon de mon Beretta a craché le feu. le feu qui prend la vie. La détonation m'a brûlé les tympans. le projectile a fendu l'air. Avec le feu et pendant le bruit. Vite."

Le commandant Dubak, du SRPJ de Lyon et son groupe mènent une enquête sur un assassinat.

L'affaire de leur vie : le tueur aux orchidées.

C'est un polar scénarisé, concentré, calibré rythmé, cash.

Je découvre cet auteur avec ce roman !

Je lirai avec intérêt et plaisir tous ses autres romans, c'est certain !
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L'enquête qui est confiée à Dubak et à son groupe, c'est du lourd. La mise en scène choisie par le meurtrier est pour le moins baroque. La pression est d'autant plus forte que l'équipe n'est pas forcément très soutenue par la hiérarchie, que l'affaire est sous les feux de l'actualité… et tout cela alors qu'Alain Dubak ne s'est pas encore remis de sa rupture avec Alexandra, que Mamy est toujours dévastée par la mort de son mari Christian, que Véro sent son couple péricliter et que chaque coup de téléphone peut être celui qui lui apprendra la mort de son enfant, malade…

On est, d'emblée, plongés dans une histoire âpre, rude, vue au ras des chairs, des humeurs et des fluides corporels. Désir, sexe, mort, sang, drogue, jalousie, violence, sont au rendez-vous. Et chaque personnage se débat pour survivre, pour ne pas tomber.

Très vite, l'équipe est « renforcée » par l'arrivée de Monique Chabert, psychiatre à l'Office central de la police judiciaire (OCPJ), chargée de travailler sur le profil du meurtrier, mais que Dubak voit arriver comme un chien dans un jeu de quilles. Finalement, ce dernier passe autant de temps à regarder par dessus son épaule, en espérant voir les coups bas arriver, que devant lui pour avancer !

L'intrigue donne l'occasion à François Médéline de nous faire voyager dans toute l'agglomération lyonnaise, de la très chic Charbonnières-les-bains aux souterrains de Fourvière et de la Croix-Rousse. Mais il nous fait également naviguer parmi toutes les détresses humaines.

On ressent presque physiquement le rythme de l'enquête, du moins c'est l'impression que j'ai eue. le démarrage est un peu lent, on pose le décor, on découvre les premières failles des uns et des autres. Puis une première piste se dégage, la pression extérieure augmente, tout semble s'accélérer, le rythme devient plus haché. Et puis la pression retombe. Toute l'équipe est convaincue que le premier suspect n'est pas le bon. le doute s'installe, l'enquête semble flotter. Dubak doute – et François Médéline nous le fait clairement savoir. de la page 192 à la page 194, s'enchaînent toutes les questions qui lui trottent dans la tête.

Et puis le rythme accélère à nouveau. Les phrases deviennent hachées, souvent très courtes, parfois répétitives. On sent que l'enquête s'emballe, que plus personne ne contrôle rien.

Deux bémols cependant. Sur le fond de l'histoire d'abord, on est un peu surpris de voir, notamment à la fin – sans rien révéler – plusieurs des personnages s'embarquer seuls dans des explorations, au risque de se retrouver face à face avec le meurtrier.

Sur la forme ensuite. J'évoquais la dimension répétitive de certaines phrases – de certains paragraphes -, notamment à la fin du livre. Certaines expressions reviennent : pratiquement à chaque interrogatoire, on apprend que l'un des personnages en a « calibré » un autre ; un passage assez long et répétitif autour du schéma que l'équipe essaye de construire à partir des éléments de l'affaire.

Mais, là où, pour certains, il créera un sentiment d'urgence, de tension, totalement en concordance avec l'histoire, pour d'autres, il sera essentiellement pesant. J'avoue avoir, par moment, basculé dans la deuxième catégorie, face à ce systématisme.

Lien : https://ogrimoire.com/2022/0..
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Départ pour Lyon dans cette deuxième lecture du Prix du meilleur polar POINTS 2023.

Une enquête tordue, menée tambour battant, une course contre la montre pour arrêter un serial killer qui prend plaisir à exhiber ses victimes sur des croix de bois, des victimes qu'il a pris soin de décorer de belles orchidées.

Un polar d'enquête assez classique donc avec une équipe singulière menée par le commandant Dubak… un flic au bord du gouffre, qui mène cette enquête comme un combat à la vie à la mort.

François Médeline nous plonge dans la tête de son enquêteur. Des phrases courtes, saccadées, répétitives, un style sec et musclé, qui impose un rythme trépidant, usant, hallucinatoire. Un style à la Ellroy, pas forcément toujours agréable à lire mais immersif…

Une deuxième découverte que ce roman intéressant si on supporte cette écriture qui pourra en rebuter quelques uns…
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Le Hibook a lu « L'ange rouge » de François Médéline . Lyon sous le règne de Barre (Premier et dernier) . Un tueur sadique et artiste met la police locale sur les dents par des meurtres aux mises en scène spectaculaires. Au coeur de l'enquête ,le commandant Alain Dubak , en lutte contre diverses addictions (drogue et amour perdu) et son équipe ( bien typés ,tous , on sent la préparation d'une série type Vargas) . Enquête à tiroirs , multiplication des pistes et des suspects , guerre des polices . C'est assez classique mais remarquablement mené, intrigue complexe mais bien tenue ( mieux que dans ses polars précédents) , rythme d'enfer , forte présence de la ville (lieux , cuisine, us et coutumes ,histoire) , on avale les 500 pages sans coup férir. Enfin le style trépidant et virtuose ne vous laisse pas respirer : on a envie de dire « Ellroy sort de ce corps ! » : phrases mitraillettes , leitmotive (« je l'ai calibré ») , provocation. Mais c'est plaisir … On attend la suite avec intérêt car le talent est là .
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Service de presse.

A lire les romans de François Médéline on ne peut s'empêcher d'éprouver une espèce de perte de contrôle avec des récits intenses comme La Politique du Tumulte (La manufacture de livres 2012) parfois étranges comme Les Rêves de Guerre (La manufacture de livres 2014) voire même déjantés à l'instar de Il Faut Tuer Jupiter (La manufacture de livres 2018) mettant en scène l'assassinat du président Macron. Comme à l'accoutumée, avec une écriture vive et un style tranchant qui donne le vertige, le lecteur, malmené dans la fureur du récit, va retrouver cette sensation de perte de contrôle dans son dernier opus, L'Ange Rouge dont l'action se situe à Lyon en mettant en scène un groupe de la brigade criminelle de Lyon traquant un tueur en série dont la particularité consiste à peindre une orchidée sur le corps de ses victimes. Flics borderlines, serial killer, à l'image des livres d'Ellroy dont il revendique l'influence, François Médéline nous concocte une intrigue aussi trouble qu'insensée dont l'ambition va bien au-delà des standards d'un thriller à la trame usée jusqu'à la corde, pour nous livrer un ouvrage ambitieux qui oscille entre le roman noir et le polar procédural.

Lyon 1998. Alors que la nuit tombe, on distingue un étrange radeau dérivant sur les flots sombre de la Saône. Eclairée de torches enflammées, on peut distinguer sur l'embarcation un corps mutilé sur lequel on a peint une orchidée avant de le placer sur une croix en bois. Elaborée, macabre, la mise en scène marque les esprits pour celui que l'on appelle désormais le crucifié de la Saône devenant ainsi une affaire spectaculaire qui échoit au commandant Alain Dubak et à son groupe de la brigade criminelle. Pression hiérarchique et médiatique, le groupe livre désormais une course contre la montre en traquant un tueur déterminé et audacieux qui les contraindra à violer les toutes les procédures tout en mettant leur intégrité physique en danger. Ils risquent bien d'y perdre aussi la raison.

Que l'on se le tienne pour dit, L'Ange Rouge va bien au-delà des stéréotypes du thriller avec cette sempiternelle confrontation entre un serial-killer forcément retord et un enquêteur borderline dont le passé tourmenté ressurgit à mesure de l'avancée de ses investigations. François Médéline bouscule donc les codes à la façon d'un James Ellroy en nous offrant un récit extrêmement bien calibré où l'on retrouve, plus que le style syncopé, répétitif qu'il emploie, une intrigue à la fois adroite et profonde avec cette sensation de folie et parfois même de génie qui fait forcément référence au maître du polar américain. Pavé nerveux de près de 500 pages de ce qui s'avère être une série à venir, L'Ange Rouge s'articule autour de l'ensemble d'un groupe de la criminelle dont les protagonistes sont soumis bien évidemment aux aléas des investigations qu'ils doivent mener collectivement mais également aux pressions de la hiérarchie et des instances judiciaires dont on découvre toutes les arcanes et les enjeux que François Médéline décline avec rigueur et précision sans que l'on éprouve cette lourdeur d'une exactitude outrancière des procédures policières avec à la clé un mariage réussi en fiction et réalisme qui comblera les lecteurs les plus exigeants. Même si l'on découvre l'ensemble des membres qui compose ce groupe de la brigade criminelle de Lyon, il va de soi que l'on va se focaliser sur deux enquêteurs atypiques que sont Alain Dubak, commandant dudit groupe secondé de Mamy, son adjointe inamovible de la vieille école qui se gave de sucreries et sait manier le tonfa avec dextérité lui permettant de "dialoguer" avec les prévenus les plus mutiques. Un duo détonant qui compose avec les autres membres du groupe ainsi que les services d'appuis de la police qu'ils soient scientifiques ou psychologiques qui vont intervenir dans cette enquête qui risque à tout moment de s'enliser dans les méandres des fausses pistes. Personnage central du récit, on appréciera ce commandant Dubak, forcément borderline, mais pas trop, qui oscille entre certitudes et doutes en le faisant parfois basculer du côté de "procédures" qui ne sont pas forcément conformes aux directives policières. Issu de la brigade des stupéfiants où il a été affecté trop longtemps en consommant les produits qu'il saisissait, Dubak est un homme blessé, fragile qui tente de se remettre de ses excès, même si la démarche se révèle plutôt difficile tant les tentations sont nombreuses. Mais cette fragilité devient une force avec cette capacité à se retrouver sur le seuil de la folie qui devient un atout dans le cadre de cette traque au tueur en série.

Et puis avec L'Ange Rouge il y a cette ville de Lyon et sa région que l'on découvre au gré d'un récit qui fait la part belle aux particularismes de la cité que ce soit sur le plan géographique bien sûr, mais également avec la dimension sociale et politique nous permettant de nous glisser dans les méandres des milieux extrémistes qu'ils soient de droite ou de gauche mais également dans le monde estudiantin de l'art. Natif de la région, François Médéline nous immerge ainsi avec quelques petites touches bien équilibrées dans le cadre de cette capitale de la Gaule que l'on parcoure dans tous les sens au détour du charme de ses traboules mais également d'endroits plus glauques comme les égouts de la ville abritant quelques sympathisants anarchistes qui vont interférer dans le cours de l'enquête. On le voit, même s'il s'agit bien d'un roman policier on retrouve quelques thématiques politiques, chères à l'auteur, qui donnent encore plus d'ampleur à un récit qui n'en manquait pas.



Cocktail explosif de talent et de folie, L'Ange Rouge, premier opus d'une série à venir, nous réconcilie définitivement avec les histoires de tueur en série au détour d'un récit énergique et fascinant en côtoyant des personnages hauts en couleur que l'on se réjouit déjà de retrouver.


François Médéline : L'Ange rouge. La Manufacture de livres 2020.


A lire en écoutant : People Ain't No Good de Nick Cave. Album : The Boatman's Call. 2011 Mute Records Ltd.
Lien : https://monromannoiretbiense..
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J'abandonne rarement un livre même s'il ne me plaît pas ou qu'il est mal écrit mais pour celui-là je n'ai pas eu le choix, l'effort était trop important.
L'intrigue n'avance pas, les personnages sont caricaturaux et mal peints et surtout c'est mal écrit et l'auteur utilise le passé composé pour une narration... à la première personne du singulier en plus. C'était trop pour moi. Et je n'en peux plus de ces "écrivains" qui ont tellement peu lu qu'il ne connaissent pas le passé simple de narration celui-ci leur étant trop peu familier et leur semblant abscons.
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