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sur 113 notes

Critiques filtrées sur 4 étoiles  
« Les Gentils », c'est l'histoire de Franck Lombard, un disquaire passionné dont la vie s'est écroulée le jour où sa gamine s'est retrouvée au mauvais endroit au mauvais moment. Incapable de vivre avec l'idée que le coupable de la mort de sa fille puisse échapper à la justice, il part lui-même à sa recherche. Même si son seul indice est un logo Anarchie tatoué sur l'épaule du fautif, il est bien décidé à le retrouver…où qu'il aille !

« Les Gentils » c'est Michaël Mention, un auteur dont j'ai refermé le dernier roman, « Power », le poing tendu vers le ciel après 450 pages d'immersion en compagnie des Black Panthers dans le contexte politique et social particulièrement tendu des sixties. Changement de décor dans ce nouveau roman qui nous plonge en 1978, accompagné d'une playlist qu'un code QR permet de retrouver facilement sur Deezer. Une bande-son particulièrement rock, qui contribue à nous installer dans la bonne ambiance pour ce road-trip qui nous emmène sur le chemin de la vengeance.

« Les Gentils » est l'histoire d'une souffrance incommensurable, celle d'un père qui perd totalement pied, incapable de faire le deuil de sa fille tant que l'assassin ne sera pas puni. Partageant les pensées de cet homme débordant de haine et de vengeance, l'auteur invite à suivre sa descente aux enfers sur le rythme effréné d'une écriture dont il a le secret. Des chapitres très courts et des mots qui claquent sur une musique endiablée, pour un récit particulièrement immersif, impossible à lâcher.

« Les Gentils » est également une aventure rocambolesque qui est parvenue à mettre à mal mon esprit cartésien, qui affectionne surtout les intrigues plus structurées. En suivant les déboires de cet électron libre guidé par une vengeance de surcroît aveugle, j'ai donc régulièrement été confronté à des rebondissements parfois très/trop invraisemblables. M'accrochant au souffle de cet auteur dont j'affectionne particulièrement le style, de Paris à Marseille, en passant par la jungle amazonienne, j'ai finalement repris pied (et mon souffle) au coeur de la communauté agraire de Jonestown, où Michaël Mention conclut brillamment la destinée de son personnage, en rejoignant les faits historiques terribles qui ont frappé cette secte créée en 1974 par le révérend Jim Jones dans la région de Barima-Waini au Guyana.
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La vie de Franck, disquaire, s'est arrêtée en ce jour de juin 1977 lorsque sa fille est décédée. Un minable braquage, juste une vingtaine de billets, dans la boulangerie « Au bon pain », là où elle s'arrêtait tous les jours en revenant de l'école, a mal tourné. En voulant s'enfuir, le braqueur l'a poussée violemment, sa tête a heurté le mur. Si, depuis des mois, la police assure Franck qu'elle met tout en oeuvre pour retrouver cet homme, personne n'a encore été interpelé. C'en est trop pour Franck qui ne supporte plus de savoir cet assassin en liberté, peine même parfois à respirer tant sa douleur et son chagrin le submergent. Alors il décide de prendre les choses en main, et se met à la recherche de cet homme blanc, brun, la vingtaine et le logo Anarchie tatoué sur l'épaule gauche. Si sa quête débute dans le 14e arrondissement de Paris, il est loin de se douter qu'elle le conduira à des milliers de kilomètres de la France...

Franck n'a absolument plus rien à perdre. Sa fille était toute sa vie. Sa femme étant partie, son magasin de disques vendu, il est prêt à suivre, sans relâche, la route de celui qui a tué son enfant. Yannick, un prénom tel un mantra qui va le conduire hors des sentiers battus, bien loin de chez lui. Marseille, la Guyane, la jungle amazonienne, Jonestown... Autant de lieux parfois peu accueillants, voire dangereux ou inhospitaliers et autant de rencontres qui le mettront sur la piste de Yannick, oui, mais à quel prix ! Au prix de combien de cadavres, de sang coulé, de désillusions, de trahisons, d'échecs ? Sur fond de rock, ce road-trip, essoufflant, suintant, oppressant et au rythme effréné, ne souffre d'aucun temps mort. L'écriture, vive, parfois saccadée ou effrénée, renforce cette impression d'urgence, de vie ou de mort, nous immerge d'autant plus dans cette ambiance pesante, sanglante, violente et douloureuse. La fin, mettant en scène un tragique fait divers, se révèle d'une force incroyable. Michaël Mention nous offre un roman très noir et saisissant...
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Paris . 1978. Franck , disquaire trentenaire a vécu le pire il y a six mois : sa fille a été tuée, victime d'un braquage qui a mal tourné. La police n'a aucune piste.

Plus le temps passe et plus ça tergiverse grave dans la tête de Franck. Il n'a plus qu'un but dans la vie : se venger.

Afin d'éponger sa soif de justice, il se lance à la poursuite du suspect. Glanant quelques indices de ci de là ( un prénom: Yannick, un tatouage anarchie sur l'épaule), le voilà entraîné dans un voyage chaotique qui le conduit aux quatre coins de la France puis à l'autre bout du monde.

Et le lecteur à sa suite accompagne Franck dans sa fuite en avant et se retrouve plongé dans un road-trip vengeur et de romans d'aventures dans la Jungle à un rythme effréné, sur fond de musique rock et d'événements historiques qui ont profondément marqué la fin des années 70. Michaël Mention écrit avec ses tripes ce voyage en apnée et nous fait ressentir la rage et la souffrance de ce père confronté à un deuil impossible.

Cette histoire de vengeance obsessionnelle ne connaît aucun temps mort, entrecoupé de quelques courts chapitres poignants dans lequel Franck s'adresse à sa défunte fille. Dans ce revenge book comme il y a des revenge movie, les péripéties ne manquent pas d'originalité et le coté qui pourraient sembler parfois too much passent ici très bien.

Sans trop en dévoiler, on aime que Michael Mention parte d'une histoire de quête personnelle pour arriver à un fait historique tragiquement célèbre, qu'on ne dévoilera pas...

On se laisse entrainer de Paris en Guyane en passant par Marseille et plus c'est gros plus, cela passe.

Le dénouement est à la hauteur de nos attentes : un uppercut qui nous laisse au tapis. Un roman noir parfaitement maîtrisé !


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Un père, un homme ordinaire, en couple, disquaire à Paris en 1978.
Lors d'un braquage, cet homme va perdre sa fille, son enfant, l'amour de sa vie.
Et là tout explose, son existence n'aura plus qu'un seul but : la vengeance.
La course poursuite est enclenchée de Paris jusqu'à la jungle amazonienne, en passant par Toulouse et Marseille.
Un rythme effréné, un style brut, incisif, efficace, les phrases sont courtes, les chapitres aussi. On avance à 200 à l'heure avec Franck sur les traces de l'invisible meurtrier ; Franck qui a embarqué sa fille à ses côtés, qui dialogue encore avec elle.
Michaël Mention écrit avec ses tripes de façon très particulière, très Rock'N Roll : on ressent la douleur, la colère, la souffrance de ce père, ce deuil impossible, cette fuite en avant.
Retrouvera-t-il Yannick, assouvira-t-il sa vengeance?
Malgré quelques invraisemblances, certains moment où on se dit que c'est un peu "too much", j'ai beaucoup apprécié le fait qu'on parte d'une histoire individuelle pour arriver à un fait historique que pour ma part, je ne connaissais pas.
L'auteur nous plonge avec talent dans la France de l'époque et la playlist à la fin du livre nous permet une immersion encore plus réaliste.
Une belle découverte!
Merci à Babelio et aux éditions Belfond.
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Une histoire de vengeance, et là je me dis thème vieux comme le monde, vu et revu.

Et pourtant !! L'auteur a su tirer son épingle du jeu en proposant une histoire se déroulant dans les années 70, dans un autre contexte social et sociétal ici très bien dépeint.

D'une histoire simple, un père qui veut venger la mort de la chair de sa chair, l'auteur arrive à nous emmener vers un roman sombre, riche en émotions, qui aborde l'une des plus grandes peurs des parents.
L'histoire est portée par un rythme dynamique et une plume incisive et style très visuel faisant ressentir les influences cinématographiques de l'auteur.

A travers la vengeance, on sent le chagrin de ce père, le besoin vital d'une quête pour surpasser sa tristesse et cela va l'emmener vers une aventure dangereuse. Les gentils devient alors un vrai road trip littéraire en suivant Franck dans sa vendetta.

Ce qui est appréciable dans ce bouquin c'est que l'auteur n'a pas choisi que le côté action. Bien sûr il y en a avec quelques scènes qui pourront sembler rocambolesques.
Ça bouge pas mal et ça peut dérouter, j'admets avoir un peu perdu l'aspect émotion des premières pages dans ces passages.
Ce qui fut mon seul vrai bémol.
Mais l'auteur va au-delà de cet aspect-là.

Les gentils mêle avec brio et non pas sans originalité les différents genres de la littérature noire.
Il y a dans le début du livre un côté roman noir, et la dimension sociétale notamment à travers les endroits visités par Franck reste très présente tout au long de l'histoire.

Puis on part sur un thriller plus rythmé avec des séquences très immersives.

On retrouve l'énorme travail de recherches de l'auteur comme dans ses précédents livres.
J'ai appris pas mal de choses une fois de plus et c'est ce qui différencie à mon sens ce roman des autres thrillers axés sur la vengeance dans lesquels on va plus insister sur le côté vendetta ou deuil, ici l'auteur ajoute à cela un contexte économique et social, c'est que ça swingue dans les années 70 !

Bref, ce fut une lecture agréable, surprenante avec son changement de ton en cours de route, et assez touchante même si je ne suis pas parent, cette lecture fait réfléchir.
Malgré le bémol sur le trop-plein d'enchaînements d'action, j'ai trouvé ce roman complet, plutôt original sur un postulat de départ pourtant classique.

Aucune déception avec cet auteur jusqu'à présent.
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Franck perd sa fille de 8 ans dans des circonstances tragiques. La suite va être un très long calvaire pour lui, à commencer par sa séparation avec sa femme. Il tente de surnager dans son magasin de disques, mais un an après il n'y parvient toujours pas. Il décide alors de vendre sa boutique à un ami pour se lancer à la recherche de l'homme responsable de la mort de sa fille. Un homme qui n'a toujours pas été retrouvé et qui le hante nuit et jour. le père de famille se lance dans une quête qui va durer des mois et qui va le faire passer par Toulouse, Marseille ou encore la Guyane. Une quête dans laquelle il tente de chercher des raisons de continuer à vivre et à lutter contre son mal être quotidien. La traque de cet homme avec un mystérieux tatouage devient une véritable obsession. Michaël Mention dans un roman rude et rythmé, décrit la psychologie d'un homme en bout de course. Un homme qui imagine un dialogue à certains moments avec sa fille décédée. Un homme qui tente de se donner un infime espoir à travers la vengeance. "Les Gentils" est un roman noir d'une grande intensité qui laisse peu de répit au lecteur et qui est comme souvent chez l'auteur très bien documenté pour le contexte dans lequel il se déroule. Franck le personnage évolue à la fin des années 70's. La politique n'est jamais loin tout comme la passion pour la musique de l'auteur. On ressort de cette lecture un peu sonnée avec un sentiment d'avoir été pris dans une tension qui monte crescendo jusqu'à la fin.
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On est en 1978 et cela fait 6 mois que la vie de Franck est détruite. Sa petite fille de 8 ans a perdu la vie dans une boulangerie, lors d'un braquage, blessée mortellement par un putain de drogué qui voulait la caisse.
La police n'a aucune piste… Impensable pour ce père éploré de savoir que l'assassin de sa fille respire encore…
Il revend sa boutique de vinyles pour une bouchée de pain, et part en quête du meurtrier… seul indice, c'est un toxico avec un tatouage « anarchie ».
Sa soif de vengeance va le mener loin… très loin !

Ce roman est surprenant !
Une histoire de vendetta… bon tu vas me dire que c'est plutôt banal et déjà vu ! Eh bien carrément pas ! Parce que le périple de Franck va le conduire dans les endroits les plus improbables où les rencontres et évènements insolites vont se succéder à une allure folle !

Et puis c'est le genre de lecture qui met tous tes sens à contribution ; particulièrement l'ouïe, car tu verras c'est… très rock

La douleur de Franck est omniprésente, elle est le fil conducteur du roman. C'est déchirant, entêtant.
« je t'aime tellement. Avant toi, j'étais pas moi et sans toi, ça vaut plus le coup, alors je retiens la respiration, serre la crosse et clic… »

Les chapitres sont courts et super dynamiques, ça va vite, c'est violent, c'est puissant, captivant.

L'écriture de Mickael Mention est immersive, il m'a embarqué bien loin de ma Lorraine et de mon confort ! Son travail de recherche est très riche et inspiré. Il te propulse même à Jonestown, lieu d'un fait divers très macabre qui s'est déroulé dans les années 70…

L'auteur signe un roman noir assez violent animé par des personnages très perturbés !

J'ai aimé ! Si tu as d'autres titres à me recommander, je prends
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Non, il n'y a rien de gentil dans ce roman.

On plonge ici dans l'esprit tourmenté de Franck Lombard, père endeuillé de sa petite fille tuée lors d'un braquage. Six mois après le drame et face à l'inaction de la police, Franck décide de se faire justice lui-même. Tout ce qu'il sait du meurtrier de sa fille est qu'il est mince, cheveux bruns, un tatouage au symbole Anarchie au bras et un nom: Yannick. Son périple le mènera de Paris jusqu'à Marseille et ensuite au coeur de la jungle et des conflits armées dans sa traversée de la Guyane Française, du Suriname et du Guyana.

L'histoire est raconté du point de vue de Franck qui dicte ses actions à sa fille, comme si elle l'écoutait. Il va jusqu'à imaginer ses réactions, qui agissent un peu comme un rare moment de lucidité dans sa tête. Elle est la petite voix intérieur qui le met en garde face aux (nombreuses) situations rocambolesques dans lesquelles il se sera empêtrées. Parce que oui, au-delà de la quête de vengeance, Franck se retrouvera très souvent au mauvais endroit au mauvais moment et subira les foudres de personnes dérangées. C'est peut-être ce qui rend d'ailleurs ce roman un peu trop lourd à la longue. Il se fait bastonner, pris en otage, se retrouve au milieu d'attentats politiques et est le plus souvent laissé à lui-même. Comme si le meurtre de sa fille n'était pas assez pour détruire un homme, tous les obstacles inimaginables se dresseront devant lui afin d'assouvir sa vengeance et on arrive à se demander si ce n'est pas un peu exagéré.

Sur fond de tribulations politiques et sociales historiques (et d'une playlist rock disponible par code QR), ce thriller noir phycologique peut quand même être difficile d'approche. Très centré sur le personnage principal qui lui-même n'apprécie plus ou loin la compagnie d'autrui et son moral qui décline de chapitre en chapitre est aussi difficile à assimiler tellement il frôle quelquefois la folie. On n'a pas le temps pour l'humour ici. Même les sourires sont difficiles à arracher. La scène finale, dont le lieu et l'année me disait quelque chose, met par contre un baume sur cette épopée quasi improbable et clos l'aventure efficacement et intelligemment.

Non, il n'y a rien de gentil dans ce roman.
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Depuis que sa fille est morte lors d'un braquage, Franck ne tourne plus rond. le responsable n'a jamais été retrouvé et pour ce disquaire passionné de rock, savoir ce monstre en liberté est intolérable.
Il décide alors de tout plaquer et fait de la traque du criminel son unique but.
Son besoin de vengeance va l'entrainer dans un voyage sous haute tension, semé de mort, d'amertume et de désespoir.

Dès le début de ce roman, le ton est donné, la musique rythme les péripéties de Franck, d'abord celui-ci tente de survivre à la disparition de sa fille, cependant son deuil lui semble insurmontable. Savoir l'assassin de sa petite chérie en liberté le rend fou.
Afin de mettre un terme à sa douleur, il décide d'enquêter seul, de retrouver le meurtrier et de le tuer. Avec sa rage, il se lance dans un road-trip qui bientôt se transforme en une poursuite qui l'amène toujours plus loin de la France.
Qu'il traverse l'hexagone en voiture ou qu'il se retrouve dans la jungle en Amazonie, Franck poursuit son but inlassablement. Hormis lui, ses dialogues avec sa fille morte ou avec son ex, nous ne faisons que croiser des personnages qui pour la plupart auraient mieux fait de ne pas rencontrer notre héros.
Alors oui, parfois le hasard fait bien les choses et les morts pleuvent dans le sillage de Franck. Il reste malgré tout quelque chose de très fort dans ce récit. L'écriture de Michaël Mention, que je ne connaissais pas, est aussi rythmée qu'un morceau d'AC/DC. L'histoire est très dynamique, les mots sont lancés comme des flèches. L'escalade de Franck dans sa folle vengeance nous entraine jusqu'au point culminant, jusqu'à une fin loin de ce que l'on pouvait prévoir.
A cette écriture percutante s'ajoute un récit qui est très bien ancré dans son époque. le contexte des années 1980 est également ponctué non seulement de musique mais aussi d'actualités, jusqu'au dénouement dont la véracité fait froid dans le dos.
Pour une première lecture de cet auteur, ce fut une très bonne découverte, pour ce qui est un roman d'un noir abyssal.

Pourquoi lire Les gentils ?

Contrairement à ce que laisse penser le titre, il y a peu de gentils dans cette histoire. Franck nous entraine à sa suite, obsédé par sa quête insensée. Certains passages sont assez durs, ce n'est clairement pas un livre à recommander aux âmes sensibles.
En revanche, si vous aimez le rock , l'action, le rythme, et que vous ne craignez pas grand chose, ce roman est fait pour vous.
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Franck est un homme en colère. La police n'ayant toujours pas retrouvé celui qui a tué sa fille lors du braquage d'une boulangerie, il abandonne tout et part à sa recherche pour lui régler son compte. « Oeuil pour oeil, dent pour dent » pense-t-il pour justifier sa quête effrénée et obsessionnelle rythmée par une bande-son très rock and roll.
Plus rien ni personne ne compte pour lui, ni son ex-femme ni son job de disquaire, que de venger la mort de son enfant.
Avec de maigres indices sur l'assassin, il entreprend un périple semé d'embûches qui l'emmène jusqu'en Guyana dans une secte dont le récit est inspiré de l'histoire réelle de la communauté formée par le Révérend Jones.
Malgré le chagrin du père, on ne peut s'empêcher de sourire aux scènes où celui-ci est confronté aux pires dangers et se transforme en héros malgré lui.
« Les Gentils » est un roman qui ne manque pas de souffle, mais certaines situations sont tellement rocambolesques qu'on y croit pas une seconde.
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