Les folles enquêtes de Magritte et Georgette, tome 1 : Nom d'une pipe !

L'histoire se passe en Belgique, pays où a vécu le peintre René Magritte et sa femme Georgette.
Magritte a une vision d'une jeune femme debout à côté de son corps. Quelques jours plus tard, il apprend la mort de cette femme dans le journal et décide d'enquêter. Cette femme a été retrouvé avec une lettre dans une enveloppe bleue. Mystère !

J'ai bien aimé ce cosy mystery qui est un peu folklorique 😂, notamment pour une scène avec Magritte, scène un peu tirée par les cheveux mais pourquoi pas
L'écriture est fluide, plutôt dynamique.
Concernant le dénouement, je n'ai absolument pas deviné qui était le meurtrier, je me suis faite avoir, une très bonne surprise 😉

Un cosy mystery qui mérite d'être lu 😊

Premier livre que je lis de cette auteure belge ( et pas le dernier car j'ai déjà commandé ces autres livres) . J'ai adoré ce roman qui m'est en scène notre Magritte national. J'ai littéralement dévoré ce livre qui contient des expressions bien belges, des anecdotes sur Magritte, de l'humour … et je terminerai en disant que l'idée de donner à Magritte le rôle d'un détective est géniale. Un très bon moment de lecture !

Nom d'une pipe ! est le premier tome de la nouvelle pépite du cosy mystery dénichée par l'excellente collection La Bête noire : Les Folles enquêtes de Magritte et Georgette !

On oublie la verte campagne anglaise et sa petite communauté où tout le monde se connait et où les ragots vont bon train, pour Bruxelles et l'une de ses figures les plus emblématiques : René Magritte.

Aux manettes de cette série d'enquêtes inédites menées par le peintre René Magritte et sa femme Georgette, l'autrice de polars belge Nadine Monfils, passionnée du peintre surréaliste.

Je ressors de cette lecture totalement je suis totalement sous le charme et je n'ai qu'une hâte : être en vacances pour lire le tome 2 les pieds dans l'eau !

Au-delà de l'intrigue policière bien ficelée, truffée de références à Jacques Brel et au cinéma, l'une des passions du peintre, cette lecture fut avant tout dé-pay-sante ! Si j'ai été à Bruxelles deux fois, je suis loin de connaître cette ville et j'ai adoré sillonné la capitale belge aux côtés de Magritte, loin des sentiers touristiques.

Les personnages principaux, Magritte et Georgette sans oublier Loulou, le loulou de Poméranie et Carmen leur femme de ménage qui fait tout sauf le ménage, sont épatants. Là encore, ce fut très dépaysant dans leur façon de parler car Nadine Monfils esseime tout au long du récit, du vocabulaire belge totalement inconnu pour moi.

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Je suis passée totalement à côté de ce roman!
Pas de thé, pas de campagne anglaise, pas d'enquête en mode cosy… au final, ce roman n'a rien du cosy mystery que j'affectionne tant.

Je suis passée à côté des références sur le peintre, à côté de l'humour belge, mais pas de l'accent!

Bref, une déception pour moi

Résumé : René Magritte a une vision étrange à l'arrêt du tram : une jeune femme en robe fleurie, debout à côté de son corps. Il en parle à sa femme Georgette et en peint un tableau. Quelques jours plus tard, cette femme, Madeleine, est retrouvée assassinée, avec une lettre d'amour dans son sac et un bouquet de lilas sous sa robe. le célèbre peintre va pouvoir réaliser un rêve, celui de devenir détective. S'ensuivra un deuxième meurtre, celui d'une certaine Rosa.

Mon avis : Nous sommes plongés dans le Bruxelles de Brel qui prend une place à part entière dans ce livre non seulement par les prénoms donnés aux victimes mais également car l'auteur va décrire une rencontre imaginaire entre le grand Jacques et René Magritte à la terrasse du Métropole. La Belgique avec ses traditions culinaires, le langage bruxellois et ses expressions typiques, les quartiers de Bruxelles, ses coutumes... toutes ces anecdotes nous plongent "au temps où Bruxelles bruxellait".
Nadine Monfils nous fait vivre une enquête palpitante, un peu en longueur au début mais qui va vite s'accélérer avec un deuxième meurtre. Nous entrons dans l'intimité du couple René et Georgette Magritte qui est rempli d'humour, préférant les taquineries aux disputes et créant ainsi des dialogues cocasses. Ils vont ensemble aider un ami policier à dénouer cette affaire de meurtres. Oui ! C'est Magritte et sa femme qui résolvent l'affaire ! Tout de même !
Nadine Monfils nous plonge en même temps dans l'univers artistique de René Magritte - l'auteur est plus que documentée en art, ayant dirigé une galerie d'art à Bruxelles pendant 7 ans. J'ai pris beaucoup de plaisir à rechercher chaque tableau que cite le livre, découvrant de nouveaux détails qui étaient jusqu'alors, pour moi, passés inaperçus. Quelle idée originale d'avoir choisi comme héros ce célèbre peintre.

Conclusion : Un excellent cosy mystery, j'ai vraiment hâte de lire le second tome. Je remercie mille fois les éditions Robert Laffont et Babelio pour m'avoir permis de découvrir ce roman surprenant.

alerte coup de coeur !!! Mon dieu que c'était bien 😱 j'ai adoré. On est dans un genre de cosy mystery belge, avec des personnages extraordinaires que j'ai adoré. Une intrigue policière très bien ficelée. Un sans faute. Énorme coup de coeur, je quittais à grand regret ma lecture pour m'y précipiter dès que je le pouvais pour dévorer quelques pages. Magritte et Georgette forment un duo incroyable, je me suis immédiatement attachée à eux, ils sont extra ! J'ai très très hâte de lire le tome 2 qui m'attend déjà dans ma pal.

petite lecture sympathique. j'aime beaucoup les livres de Nadine Monfils, mais malheureusement, on ne retrouve pas la folie belge que l'on retrouve avec mémé Cornemuse ou l'inspecteur Léon.

toutefois, moi qui ne connaissait pas vraiment Magritte, cela m'a fait découvrir le personnage et son quotidien.

Un ramassis de clichés sur la Belgique. On dirait que ce bouquin a été écrit dans l'intention d'attirer les Français raffolant des petits Belges et de leur simplicité (pour ne pas dire bêtise). Là où certains voient une réalité déjantée, je vois des personnages plats et peu plausibles.
Qu'est-ce qui fait plus belge que Magritte? Brel! Faisons-les se rencontrer alors ! Basons aussi l'intrigue et le récit sur leurs oeuvres respectives.
Affligeant, prévisible et même pas drôle.