Lettres d'amour de 0 à 10 (BD)

Je n'ai jamais lu le roman de Susie Morgenstern, mais cette bande dessinée m'appelait désespérément dans le rayon de la librairie, alors je l'ai empruntée.

J'ai passé un bon moment mais j'ai trouvé que le dénouement était un peu précipité. En effet, je ne comprends pas les décisions prises par le personnage principal. Elles ne correspondent pas vraiment avec son évolution tout au long de la BD, et viennent chambouler tout le travail qu'il avait fait sur lui-même.

Les illustrations sont jolies, tout comme les couleurs.
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Cette adaptation du roman de Susie Morgenstern par Thomas Baas (tant au scénario qu'au dessin) correspond bien à l'ambiance que j'avais perçu dans le roman.
Ernest est un petit garçon attachant qui ne se rend pas compte de la monotonie de son quotidien seul avec sa grand-mère avant l'arrivée tambour battant dans sa vie de Victoire et de sa famille nombreuse et bruyante.
L'ensemble se lit avec fluidité et facilité. Les quelques notes humoristiques permettent d'alléger le récit qui parle d'abandon parental et d'histoire de famille difficile. le trait de Thomas Baas est pour beaucoup dans l'attrait vers cette lecture. A proposer dès 8/9 ans.
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Cette BD est l'adaptation d'un roman jeunesse, que je n'avais pas lu. J'ai donc découvert cette histoire... Et je ne m'attendais pas à cela. Vu la couverture et le titre je m'attendais à des petites histoires d'amourettes. Or, ce n'est pas du tout le cas ici (même si il y a une petite histoire d'amour entre Ernest et Victoire) : ce n'est pas le thème principal. La thématique est plutôt la recherche de ses origines, de sa famille. Cela m'a donc un peu déçue... le dessin est mignon, mais j'ai trouvé l'un des personnages plutôt agaçant... Et je n'ai pas réussi à m'attacher à ces protagonistes. Une petite déception donc pour cette BD...
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Contente d'avoir découvert l'adaptation BD de ce roman dont le titre m'a toujours intriguée mais que je n'ai pas lu. Shame on me. Une histoire touchante. Un peu hors du temps. Autobiographique ? le trait de Thomas Baas lui apporte douceur et clarté. Un petit côté Sempé. Une histoire à la fois triste et drôle. La construction en flash back n'est pas forcément facile pour l'âge visé (7/10 ans ?) Paul fils unique s'est jeté dessus puis a lâché. Je suis allée jusqu'au bout avec plaisir et une certaine émotion. La grand-même me rappelle des souvenirs. Elle s'appelle Précieuse. Remember Gracieuse. La problématique sentimentale du papa qui apparait à la toute fin est-elle à la portée des lecteurs ? Fin ouverte. Prometteuse. Frustrante. Emprunté MAAT. Pas de garde.