Le secret du mari

J'avais raté le signification de ce bookun. C'etait pas terrible. Les gens ne sont pas sympa. le North Shore de Sydney est toujours ennuyeux, et ce narration ne change pas mon opinion. A 500 pages, c'est 400 trop long. Je trouser leg facility facing de terminals truc, avec le meutrier pardonné, l'epoux tricheur pardonné, les familles restent intact, c'est un peu Scooby Doo.

J'ai un avis mitigé quant à ce bouquin.

Oui, c'est un bon livre qui se lit très facilement. Une bonne intrigue au style très fluide. Mais c'est tout !

Il ne fait qu'effleurer les évènements et les personnages dans chaque chapitre pour vite passer au suivant.

A croire que l'auteur avait peur d'explorer en profondeur le drame faute de bien maîtriser son récit. Elle s'est donc contentée de raconter superficiellement les évènements.

Ce qui m'a le plus déçu était indubitablement la fin, complètement ratée à mon goût. J'avais l'impression que l'auteur avait hâte d'en finir avec l'histoire. C'est d'autant plus vrai que la fin a plus l'air d'être celle d'un bouquin "feel good" que celle d'un drame.

Le secret du mari /Liane Moriarty
Par hasard Cécilia, la trentaine, découvre un jour une enveloppe jaunie par le temps dans le désordre du grenier de la maison qu'elle habite avec son mari John-Paul et ses trois filles à Sydney. « À n'ouvrir qu'après ma mort » est écrit au recto. Elle reconnaît l'écriture de son mari. Mais n'ouvre donc pas cette enveloppe par respect bien que l'envie ne lui en manque pas. Quel secret recèle cette missive ? Quand a –t-elle été écrite et pourquoi ? Combien de temps Cécilia va –t-elle résister au désir de connaître le contenu de ce message ?
Elle va résister durant près de 200 pages de ce long parfois trop long roman, 200 pages au cours des quelles on va assister aux atermoiements de Cécilia, le tout noyé dans un bavardage incessant et une pléiade de personnages tous plus caricaturaux les uns que les autres, que l'on à peine le temps de découvrir que de nouveaux personnages interviennent au chapitre qui suit. Et bien sûr quand Cécilia finit par ouvrir l'enveloppe, la moitié du suspense tombe et il reste encore 300 pages de bavardages et de longueurs mêlant dans un style d'une banalité affligeante et les clichés prévisibles, les problèmes de couple, la sexualité, les réunions de Tupperware, le traintrain quotidien des rencontres avec les copines et de l'éducation des enfants, les réflexions sur les beaux mecs qui passent et le « mystère » qui les enveloppe, la fascination des enfants devant leur mère en train de déguster des cannellonis (oui ! authentique !). Quant à l'intrigue elle reste tout à fait quelconque et fade, faite d'historiettes qui se mêlent et s'entremêlent à souhait dans une banalité de série américaine où reviennent les leitmotives de la chute du Mur de Berlin (on se demande vraiment ce que cela vient faire là), du parfum du thé et des brioches et l'énoncé détaillé de l'emploi du temps des mères de famille qui s'adonnent au taï-chi.
Je conclus : aussi tôt lu, aussitôt oublié ! Et je reste ébaubi quand j'apprends que ce roman a eu des millions et des millions de lecteurs !

tout est réuni pour faire un bon roman et pourtant je n'ai pas accroché. j'ai lutté pour le terminer parce qu'évidemment on souhaite connaître les liens qui se nouent entre les protagonistes. pour l'instant, ce livre est le seul lu de cet auteur et je n'ai pas spécialement envie d'en lire d'autres. on est un peu trop proche des desperate housewives

Il s'agit d'un livre facile à lire et qui se situe dans la lignée de D. Kennedy mais en moins bien.
L'auteur y traite de sujets graves, je dirais même dramatiques, tels que le deuil et la culpabilité, mais elle le fait avec une légèreté déconcertante. Ceci est peut-être dû à son désir de rendre son livre accessible au grand public.
Bien évidemment je savais que ce n'était pas de la grande littérature, n'empêche son côté "soap" m'a dérangée.
Reste la cerise sur le gâteau qui est l'épilogue. Je n'ai pas saisi l'intérêt à faire des suppositions et à en tirer les conséquences; si tel ou tel événement s'était déroulé autrement on aurait abouti à telle ou telle situation!..

*"The Husband's secret".

Bof.
Encore une fois je ne savais pas ce que j'allais lire.
Je savais juste que ce roman avait eu beaucoup de succès, alors pourquoi ne pas me laisser tenter.
Et bof : je n'ai pas du tout aimé ces histoires de familles de banlieue de Sydney, qui se connaissent depuis des années. Finalement Sydney est une grande ville, mais la vie ressemble beaucoup à un petit village.
Et surtout j'ai DETESTE connaitre le secret du mari à la moitié du roman.... le côté "mystère" me plaisait, et je pensais que toute l'histoire allait se construire la dessus, sur ce qu'allait devenir le couple face à ce secret non partagé... et donc espoir déçu, et la suite du roman était un peu trop facile.
C'est divertissant, et ça occupe le temps pendant les vacances

Je trouve que l'auteure est talentueuse car elle retient l'attention du lecteur au fil des pages. Je trouve que le roman démarre bien et ça a un coté sympa la femme qui s'occupe des enfants, des activités extra scolaires etc. Puis au fil des nombreuses autres pages ça a fini par me lasser. N'étant pas addict aux histoires de couples notamment. Puis ce qui est développé ensuite ne m'a pas captivé. Tant pis. Cela est subjectif et peut très bien plaire aux gens qui aiment ce genre d'histoire.

J'ai vraiment eu du mal à me plonger dans cette histoire. J'ai trouvé le début long et ennuyant. Ça a duré une bonne centaine de pages avant que je sois vraiment intéressée ...
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. Malgré mon ennui du début, je dois dire que j'ai rapidement découvert le secret en question. D'ailleurs, il est vite dévoilé, ce que je trouve un peu dommage. .
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J'ai fini par être à fond dans ma lecture, même plutôt apprécié à un certain moment... Mais clairement, je trouvais ça long, pas assez palpitant pour me tenir en haleine.... En vérité, pour être honnête, je n'ai pas trouvé grand intérêt à ce bouquin.... 😬 je l'ai trouvé fade. Pourtant , la 4 eme de couverture promettait du mieux. Mais... j'ai été déçue. .
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Globalement, c'était une lecture sans plus pour ma part. Disons que ca ne méritait pas que je prenne le temps de lire 500 pages... 😅
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C'est le second roman que je lis de cet auteur mais je reste déçue par ce livre, qui à mes yeux, aurait pu prendre une tournure plus tragique.
Le lecteur débarque dans un décor banal : des familles aisées qui vivent dans une banlieue chic de Sydney, une mère au foyer parfaite sur tous les points, un voisinage et des amitiés qui tournent autour de l'école catholique où sont scolarisés les enfants. Bref, tout va bien dans le meilleur des mondes pour Cecilia jusqu'à ce qu'elle déterre un secret dans le grenier.
D'ailleurs, il est assez simple à deviner étant donné l'abondance d'indices que l'auteur sème à chaque chapitre. Mais avant d'avoir une confirmation de vos hypothèses, il faudra patienter car il y a environ 150 pages qui séparent la découverte de la lettre et sa lecture. Pendant ce temps, le lecteur aura l'occasion de découvrir deux autres personnages : Tess qui vient d'apprendre que son mari est épris de sa cousine et Rachel qui est toujours affectée par le décès brutal de sa fille.
Lorsque le secret est enfin divulgué, c'est là que les choses se gâtent. L'auteur peine à donner de l'élan à son histoire qui aurait pu être plus triste, plus poignant et plus humain. Hélas, tout reste autour de la vie quotidienne de leur couple qui encaisse mal le coup, du mal-être ressenti par Cecilia et de la vie de Tess et de Rachel en parallèle.
Le discours de l'auteur semble être de protéger l'unité familiale car cela ne changera plus rien pour les victimes que ce secret soit étalé au grand jour. Je suis gênée par ce discours matérialiste et égoïste où finalement on prône la protection de ses acquis au détriment de la vérité et de la justice. Il y a aussi ce côté simpliste : j'ai commis un acte repréhensible, je dois payer le prix quelque part dans ma vie (mais pas en prison, pardon, ce serait terrible pour les apparences !). La culpabilité, teintée ici d'un fond de religion, est copieusement exploitée pour donner une « bonne conscience » aux protagonistes.
Le style d'écriture reste globalement fluide mais comporte plusieurs longueurs. J'ai trouvé les personnages stéréotypés, plats et sans relief. Il y a peu de descriptions mis à part les états d'âme des trois principaux personnages féminins.
Pour conclure, c'est un livre qui ne m'a pas conquis. Dommage !
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Perso je ne comprends pas l'engouement que ce livre a eu à sa sortie...
Ça se lit bien ok mais l'histoire est classique à mon goût.Un chassé croisé psychologique avec beaucoup de personnages au début du roman,limite un peu confus..
Ce qui le sauve à mon goût est l'épilogue qui pour moi fait une chouette fin.