Cheval de guerre

«Cheval de guerre» est un bon roman, mais ce n'est pas mon préféré des Michael Morpurgo. J'ai bien aimé Joey le cheval. L'histoire est émouvante, mais des fois, je ne comprenais pas le language qui parlait des chevaux. À part ça, je l'ai BEAUCOUP aimé!

Très émouvant, on vit avec le cheval, narrateur de cette histoire située en pleine première guerre mondiale, toutes ses aventures (et mésaventures...). Sensible et bien écrit, le récit est adapté aux jeunes lecteurs (dès 9/10 ans) et la version lue par Arnaud Denis est très réussie.

Coup de coeur 2023

Je viens à peine de terminer Cheval de guerre et…. Ouf. C'est un livre vraiment fort, l'histoire de Joey à la guerre, c'est quelque chose. Tout ce que ce cheval a pu vivre depuis sa naissance, sa vente a un fermier, son enrôlement à la guerre, son départ en France, etc. est passionnant.
Cheval de guerre est un livre à la première personne, du point de vue de Joey, un cheval baie cerise, avec quatre balzanes identiques au centimètre près, une croix blanche sur le front, un peu plus de 1,60m au garrot et qui paraît rouge au soleil couchant.

J'affectionne les livres d'animaux à la première personne tels que celui-ci ou Black Beauty par exemple. J'adore pouvoir avoir les sentiments des chevaux, leurs pensées, les accompagner dans leur voyage de vie.

Cheval de guerre est un livre qui m'a profondément touchée, de part son cadre triste de guerre, mais aussi part l'amour des personnages pour les chevaux. Les émotions sont là, autant dans l'histoire que dans la tête du lecteur. Michael Morpurgo a écrit là un magnifique roman. Roman que l'on peut d'ailleurs lire selon moi à tout âge.

Merci Michael Morpurgo pour cette histoire.
Merci Topthorn d'avoir pris soin de Joey comme tu l'a fait, merci aux autres personnages d'avoir existé dans ce roman.

Impressionnant, comme l'on est porté par le récit de cet animal, on le suit, on l'écoute et on vit avec lui, l'horreur et l'absurdité de ce qu'il traverse. C'est un cheval un peu comme tous les chevaux mais lui, il va s'en sortir et traverser cette guerre en ayant côtoyer et même aimer les hommes qui l'ont croisé et cela quel que soit leurs nationalités. L'animal ne connait pas les frontières de la terre et de l'amour. C'est une belle leçon de société que nous donne l'auteur.

La première guerre mondiale vu par un cheval. Une histoire sans mièvrerie mais écrite avec beaucoup de sensibilité. Pour s'instruire sans s'abêtir. Un indispensable dans la bibliothèque des jeunes lecteurs (Mais que cela n'empêche pas les adultes de l'emprunter...).

Critique d'Esteban :

C'est l'histoire d'un poulain qui s'appelle Joey. Ce poulain va se faire acheter par par le père d'Albert au marché. Dès son retour à la ferme, Albert va vouloir aller voir le nouveau poulain que sont père vient d'acheter mais sont père va refuser que son fis le voit où le nourrisse car il veut le préparer pour les labours. Albert va désobéir a son père et s'en occuper et ne va plus le laisser seul mais se fut vite le jour des labours. Quelques jours après les labours, le père d'Albert va vendre Joey a un chef britannique pour l'aider pour la guerre alors Albert dit un dernier au revoir a Joey avant qu'il ne parte. Mais quelque années plus tard, Albert va essayer de retrouver Joey. le chef britannique va vendre le poulain a un chef allemand. le meilleur ami de Joey va prendre un obus. Sur le chemin du retour Tom Thorm va tombé malade et mourir en cours de route.

J' ai trouvé que Joey expliquait bien l'histoire de son achat au marché jusqu'à son retour a l'écurie où il revoit Albert adulte.


Critique de Lohan :

L'histoire racontée est très belle. Il y a beaucoup de détails, mais je trouve que ce livre est trop long alors cela m'a malheureusement ennuyé. le début est répétitif et on parle de la guerre aux environs de la page 90. "Cheval de Guerre" ne m'a pas plu.

Ce livre raconte l'histoire d'un cheval acheté sur un marché quand il était encore poulain. Ce cheval est élevé par le fils de l'acheteur jusqu'à que le guerre éclate. le cheval est rapatrié sur le champ de bataille. Albert, le garçon, va essayé de retrouver son cheval, Joey. Albert part donc à sa recherche sur le champ de bataille car il veut retrouver son ami qui lui manque beaucoup.


Critique Paul :

Cette histoire parle d'un valeureux cheval nommé Joey. Étant petit il fût séparé de sa mère puis adopter par un homme et son cheval. Après quelques mois, en étant un cheval de moisson, Joey fût vendu aux soldats britanniques pour quelques livres et c'est à ce moment qu'il rencontra Samuel, un jeune soldat, et Topthorm qui l'accompagneront tout le long du trajet vers la France. Pendant la guerre avec les britanniques il fût donné aussi français. Avec les français Joey et Topthorm rencontrèrent Émilie et son grand père. Émilie était une petite fille qui s'occupa d'eux tous les jours. Quand l'armée française fût parti, lui et Topthorm sont devenus des chevaux de champs jusqu'au jour où les allemands arrivèrent. Il prirent les deux chevaux et partirent. Mais un jour Topthorm tomba malade et mourut. Au même moment, des soldats français attaquèrent les allemands. Joey n'eut pas le choix de fuir, laissant le cadavre de Thopthorn. Joey marcha pendant des jours jusqu'à trouver l'armée britanniques qui fêtaient la fin de la guerre. le cheval pu enfin rentrer chez lui et reprendre sa vie d'avant.

Ce livre est un très bon l'histoire est superbe. Je le conseille pour tous les fans de chevaux. Je le conseille énormément.


Critique de Brooke:
Joey est un poulain qui a grandit dans une ferme ferme mais il fût séparéde sa mère à l'age de 6 mois ,lors d'une vented au enchère . Il devint un cheval de guerre qui combatait et tirait des canons . Ce cheval a vécu les horreure de la guerre . Au debut il était dans me camp does britanique Luis est allé dans le camp des français mais ils trouvaient que ce cheval ne servait a rien . Il est donc aller dans le camp des Allemands . Pour Joey les personnes ne ont pas des enemies . Joey est la pour redonner de l'espoire aux soldats
J'ai bien aimer ce livre car I'll nous embarque dans dans l'aventure du cheval est nous montre comment c'était pendant la guerre . Je troupe que ce livre est vraiment bien écrit et lisible . Les passage que je n'ai pas aimer est quand le cheval ce faisait racheté par d'autre camps car je n'ai pas compris .

Joey le cheval de ferme, devenu cheval de guerre, en 1914, nous raconte son histoire, avec simplicité. Témoin de la Grande Guerre, il va vivre l'horreur des combats auprès des Britanniques, des Allemands, ou du côté des Français. Pour lui, les soldats, les paysans, les officiers, les vétérinaires ne sont pas des ennemis, mais des hommes, chez qui il rencontre la bonté comme la méchanceté. Joey partage leurs souffrances et leurs peurs, et sait leur redonner de l'espoir.
Premier roman de Michael Morpurgo, Cheval de Guerre est un récit captivant et émouvant sur la Première Guerre Mondiale et la rend accessible pour les enfants. Également, une très belle histoire d'amitié entre un garçon et son cheval !
A partir de 9 ans

Très beau livre. On m'a offert l'édition avec les photos tirées du film.

J'ai toujours été réticente au sujet des livres de guerre ; trop dur, trop émouvant, trop sensible. Étant cavalière et ayant vu le film je souhaitais ne pas "mourir bête".

Premier étonnement, l'histoire est racontée par Joey (le cheval), on suit ses aventures de sa rencontre avec Albert jusqu'à la fin de la guerre.

Le roman est court mais ne manque pas de description que cela soit sur les émotions ou sur l'environnement (bruits des bombes, odeur, température...). Cet écrit vous prend à l'âme, au coeur, au corps, tellement cela semble réaliste.

Le fait que cela soit Joey le narrateur lui donne un côté humain très fort. On est heureux avec lui et on souffre avec lui.

C'est un joli texte, une belle histoire qui permet d'avoir un récit, presque devoir de mémoire, sur la guerre 14-18.

La lecture est facile, les chapitres sont cours. Je le conseille même pour les enfants (à partir 10 ans).

Je recommande !

Eté 1914, Albert coule des jours heureux avec Joey, superbe demi-sang acquis, sur un coup de tête et d'orgueil, par son père quelques mois plus tôt.

Les deux compères, après les travaux agricoles du jour, profitent des longues soirées pour parcourir la campagne anglaise. L'amitié entre le jeune garçon et son cheval grandit chaque jour, les liant solidement.

Un jour, le père d'Albert profite de l'absence de ce dernier – il s'est rendu à l'église pour sonner les cloches – pour amener Joey au village où se déroule le recrutement des hommes et des chevaux pour la guerre. L'argent manque à la ferme, Mr Narracott ne peut se résoudre à perdre son bien s'il ne rembourse pas l'hypothèque engagée.

Quand Albert apprend la vente de Joey, il se précipite au village pour s'engager. Las, il n'a pas l'âge requis et doit se résoudre à laisser partir son cheval non sans avoir fait promettre au Capitaine Nicholls d'en prendre soin et de le protéger.

Joey subit un entraînement drastique après le déchirement de la séparation, la routine prend le pas sur les regrets puis l'embarquement le propulsera sur le front.

Lors d'un charge d'un autre âge, Joey perdra son cavalier, le Capitaine Nicholls, tombé au champ d'honneur. Avec Topthorn, son camarade d'écurie, il sera fait prisonnier par les Allemands.

Commence alors une guerre sans merci pour les hommes comme pour les animaux : Joey sera ambulancier, apprécié des soldats car synonyme de sauvetage et de soins, il apprendra la méchanceté des hommes comme leur générosité et leur gentillesse. Lorsque le front changera de ligne, il sera confié, avec Topthorn, à un grand-père et sa petite-fille, Emilie pour couler des jours sereins à labourer les champs puis à récolter le fruit du labeur des hommes. Jusqu'au jour où une compagnie d'artillerie lourde les réquisitionnera pour transporter les canons sur le front : l'horreur absolue sera leur lot quotidien dans le monde devenu fou et enragé, dans un monde où plus rien ne compte en dehors de la victoire et ce quel qu'en soit le prix.



Michael Morpurgo raconte avec poésie et émotion les absurdités, la folie des hommes et les horreurs de la guerre des tranchées. le narrateur est Joey, le cheval de guerre, ce qui d'emblée indique au lecteur, jeune et moins jeune, qu'il a réussi à survivre au bourbier et à la folie guerrière.

L'histoire est vue par le prisme du cheval ce qui rend plus poignant le récit.

La Grande Guerre est celle des prouesses technologiques dans l'art de la guerre : les chars remplaceront les chevaux, les pilonnages les charges héroïques sur l'ennemi. L'ère de la cavalerie s'achève dans les ultimes charges équestres laminant bêtes et hommes face aux mitrailleuses. Rapidement les chevaux deviennent bêtes de somme pour les transports de troupes, de blessés ou d'artillerie.

Sans mettre en scène l'horreur sans nom du fauchage des soldats lors des assauts, l'auteur, grâce à son héros Joey, pointe, souligne, l'enfer vécu par les hommes et les animaux réquisitionnés.

Joey n'a pas de parti pris, il observe ces hommes soumis aux ordres les plus insanes, ces soldats et officiers qui continuent parce qu'il arrive un point où reculer et baisser les bras est impossible. Dans le chaos, la grâce peut apparaître, fugace et belle avant un déluge de feu et de sang.

Joey voit des compagnons de misère tomber sous les obus, les balles perdues ou les fondrières boueuses : ainsi Topthorn renoncera à lutter, le manque de soins et de nourriture auront raison de sa résistance.

Michael Morpurgo montre que les chevaux étaient importants pour l'armée et mieux considérés que les hommes car ils sont essentiels pour le transport d'armements et de ravitaillement au front. Il souligne également que les soldats ne connaissent pas vraiment le pourquoi de la guerre, que, quel que soit le camp, ils se valent et souffrent de manière identique.

« Cheval de guerre » est un très beau roman jeunesse historique, écrit avec un style qui n'infantilise pas le jeune lectorat, et servi magistralement par les illustrations de François Place. La réussite est remarquable car les dessins montrent, au fil du roman, combien le poids de la guerre est lourd et peut ôter toute humanité. J'ai beaucoup aimé les scènes du quotidien des soldats et des chevaux, le paisible séjour à l'arrière comme la noirceur de la ligne de front.

Une lecture pleine d'émotions et de belles rencontres avec des personnages attachants.
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J'ai adoré ce roman, certes pour enfants (à partir de 12 ans), qui nous fait vivre la première guerre mondiale à travers les yeux d'un cheval, Joey.
Une superbe histoire d'amitié, très touchante.