1Q84, Livre 1 : Avril-Juin

Je ne me suis jamais intéressée à cette trilogie. C'est en la trouvant en audiobook que j'ai voulu tenter l'expérience. Il s'agit de plusieurs fichiers de 1 à 3h chacun. Mon premier essai de cet auteur avait été un désastre. Que va donc donner celui-ci ?

Après 1h30 d'écoute, j'abandonne mon supplice. L'histoire d'Aomamé était intrigante mais bourrée de détails inintéressants. L'histoire de Tenko est quant à elle complètement inintéressante, il nous raconte par le menu les détails de sa vie de prof et d'écrivain en herbe… J'ai failli m'endormir tant c'est soporifique. Pour Aomamé, on ne sait pas ce qu'elle fait ni où elle va, à part qu'elle décide de s'exposer aux regards d'autres conducteurs plutôt que d'arriver en retard à son rendez-vous. Pour quelle raison ? C'est une énigme. L'auteur nous la décrit comme une femme qui cache ses émotions à autrui mais qui s'habille en mini-jupe pour aller voir un client… Je pensais la société japonaise plus conservatrice que ça… J'ai l'impression qu'il essaye de nous dépeindre une société occidentale à travers de noms et des villes japonais. Pour ma part, je ne trouve pas ça très crédible. du coup, c'est sans regret que j'ai abandonné ce récit insondable et imbuvable pour moi…

Comme vous l'aurez compris, ce 2ème texte n'a pas été une franche réussite puisqu'il a été abandonné après seulement 1h30 d'écoute. Ça me fait toujours une série de moins à écouter. J'essaierai malgré tout celui qu'on m'a conseillé, « Kafka sur le rivage », mais ça sera mon dernier test pour cet auteur. J'aime bien la littérature japonaise mais son style littéraire ne passe pas. Je vous conseille néanmoins de le découvrir pour vous en faire votre propre avis.

Sur ce, bonnes lectures à vous :-)

J'ai acheté ce livre à sa sortie, il y a quelques années, tellement il me donnait envie, mais étrangement il a rejoint ma PAL et n'en est sorti que grâce à Morgane82 qui me l'a pioché car elle avait adoré cette lecture, et bien, le charme n'a pas du tout opéré sur moi, je me suis ennuyée ferme tout au long de cette lecture. Je n'ai pas du tout compris où l'auteur voulait en venir, j'aime découvrir une imagination débordante chez un auteur, et là, je pense que son imagination a un peu trop débordée car, pour moi cette histoire n'a pas vraiment de but précis, l'auteur se contente de passer au fur et à mesure des chapitres d'un personnage à un autre, Aomamé et Tengo, qui ont chacun leurs vies et leurs histoires, d'ailleurs celle de Tengo est profondément ennuyeuse. L'auteur nous décrit des scènes de vie de ces deux personnages, mais rentre dans des descriptions absolument inutile, du genre, Tengo rencontre une mère et sa fille dans le train, on a le droit à une page de description de ces deux personnes alors qu'elles n'apportent rien pour l'histoire, Aomamé aime les hommes un peu âgé, dégarni et avec une certaine forme du crâne et bien l'auteur nous le redit au moins 5 fois dans le livre,Tengo a un souvenir d'enfant, rebelote on a la description de ce souvenir plusieurs fois dans le livre. Bref, comme je n'abandonne jamais un livre, j'ai été jusqu'au bout en espérant arriver à une fin intéressante et là désillusion, le livre 1 se termine en cours de route, il faut directement ouvrir le livre 2 et sûrement après le livre 3 pour enfin connaître la fin de cette histoire, où les destins de nos deux personnages se croiseront très certainement de façon plus franche. Malgré tout, je me félicite quand même car généralement ayant la fièvre acheteuse et aimant posséder des séries de livres dans le même format, j'achète toujours les suites sans avoir commencer le premier tome et là étrangement je ne l'ai pas fait, peut-être une prémonition.

Non, vraiment, je n'ai pas pu... Dès le début, je sentais que j'allais m'ennuyer ferme. Au fil des pages, cela s'est confirmé, et j'ai laissé tomber !! Trop de digressions et de descriptions inutiles, qui nuisent à l'action.

J'ai eu tellement de mal à entrer dans l'histoire qu'une fois arrivée au onzième chapitre, soit à la page 236 (sur 550) j'ai pris une décision qui m'a arrachée une larme. J'ai abandonné ce roman. Oui. le début me plaisait vraiment et je pensais commencé un livre fabuleux mais j'ai assez vite désenchanté.

Je créé donc rien que pour ce livre (bon en fait il est le premier mais dans ma vie j'abandonnerai d'autres livres même si ça me fend le coeur) un nouveau palier dans ma notation : l'abandon.

Du peu que j'ai lu, j'ai été assez déçue. En partie pour l'explication du titre. En fait je m'attendais à une explication farfelue, recherchée… mais non. le "Q" de 1Q84 semble couler de source pour l'auteur et ses personnages. Mais je n'ai pas été convaincue et ce fut ma première désillusion.

Les personnages ne sont pas vraiment attachants. On suit Tengo, un professeur, écrivain à ses heures perdues qui déteste le dimanche et se lance dans la récriture d'un livre pour un éditeur farfelu, et Aomamé… une femme. Hum, en fait ce que j'ai compris sur Aomamé je ne peux pas en parler sinon vous aurez encore plus de mal que moi à lire les parties qui lui sont consacrées. Car là est le deuxième point noir de ce roman : la lenteur. Les actions sont lentes, elles s'enchaînent au ralenti et passé les 100 premières pages où j'étais motivée, j'ai eu beaucoup de mal à suivre l'action, ma lecture devenant laborieuse.

Je n'ai pas su m'attacher aux personnages, à l'univers, aux événements tout simplement.

Peut-être qu'un jour je reprendrais ce livre là où je l'ai arrêté… j'ai laissé un marque page à l'intérieur, dans l'espoir de… Mais j'ai de gros doutes. le pire étant que j'avais acheté le deuxième tome à l'avance… Ô désespoir !

Si vous l'avez lu n'hésitez pas à m'en parler.
Est-ce que je passe vraiment à côté de quelque chose de génial comme semblait le dire la critique ?
Ou pas…
Lien : http://julycece.wordpress.co..

Ce roman est un best-seller au Japon et probablement en Europe aussi. J'ignore si tous les lecteurs ont aimé (la moitié des commentateurs ici n'a pas lu le 2 !) mais de nombreux blogueurs sont enthousiastes. Je ne partage hélas pas cet engouement. Après la moitié, j'ai passé de longs passages descriptifs, lassée d'abord par la cruauté et la crudité, par les métaphores à répétitions et les digressions ensuite.

Dans ce récit fantastique, Murakami nous tricote une histoire passant du rêve à la réalité, du merveilleux à l'horreur, nous contant en alternance l'histoire d'Aomané et celle de Tengo.

Ces êtres qui se rencontrent dans l'ultra moderne solitude pourraient avoir quelque chose d'émouvant. Mais le monde hyper violent de Murakami, sur fond de secte offrant à son gourou des fillettes en sacrifice sexuel, c'était trop pour moi. le début est alléchant bien que cela démarre lentement et la scène de l'autoroute intéressante. Mais les répétitions sont légion, le style trop travaillé et les créatures fantastiques peu à mon goût. La tâche que mène Aonamé comme si elle était prédestinée, ne m'a pas convaincue non plus… et c'est loooong…

Le monde parallèle que se crée Aonamé, 1Q84, où brillent deux lunes et règnent d'étranges lutins, m'a laissée indifférente. Quant aux thèmes (solitude, violence faite aux femmes, soumission…) ils n'ont rien de neuf. Bref, je ne suis pas entrée dans cette histoire (cette introduction devrais-je dire). Peut-être ne l'ai-je pas comprise. Toujours est-il que je m'en tiendrai là. 1500 pages c'est beaucoup trop quand on n'accroche pas.

Personnellement, j'ai abandonné la lecture de ce livre au bout d'une centaine de pages car j'ai eu dès le début l'impression tenace d'un remplissage de lignes et de pages pour combler une grande vacuité et ce n'est pas en y mettant des scènes de crimes et de sexes insipides que mon impression s'est estompée, bien au contraire.
J'ai pu constater que nous étions peu nombreux à nous ennuyer à la lecture de ce livre. Je rajouterai que pour moi, même l'écriture n'a rien pour elle : c'est sans doute parce que j'étais agacé d'abandonner ce livre, chose que je n'aime pas faire.
Et quand, dans un commentaire d'une des critiques, j'ai appris le pourquoi du Q à la place du 9, ça a été le bouquet, le sentiment qu'on m'a baladé avec un ésotérisme de pacotille !
J'avoue que je ne connais rien de l'oeuvre de l'auteur mais le fait que l'on encense ce livre ne me donne pas envi d'aller à sa découverte.

Tenace j'ai tenté deux fois de lire ce livre. Jusque la page 80-90 la première fois, la page 200-250 la deuxième. Rideau
Autant Kafka sur le rivage m'a emballé autant là...
Pas de style, peu d'action, toujours prévisible, bref loin des espoirs insensés que j'avais mis dans cette lecture

Je suis extrêmement déçue... J'avais envie depuis longtemps de m'attaquer à la série et je m'attendais à du très haut niveau... Malheureusement, je n'ai rien trouvé de bien exceptionnel à ces histoires finalement très indigestes : des longueurs à n'en plus finir, des définitions évidentes et même parfois des expressions dignes d'adolescents en quête d'écriture. Les descriptions sont longues à n'en plus finir et n'apportent aucun intérêt ni poétique ni sémantique. Je ne le recommande pas.

Je ne comprends pas le succès autour de ce livre. On devine à la page 60 que le second récit (Aomamé) est le livre de la jeune auteure du premier récit (Fukaéri), ce qui ôte déjà un intérêt certain à l'histoire. Les raisonnements et comportements des personnages sont absurdes(comme cette jeune policière dont le boulot consiste à mettre des PV et qui donne des infos "confidentielles" à sa copine et transmises par ses supérieurs bien complaisant de façon complètement improbable), les analyses stupides (il faudrait décrire précisément tout dans un livre, cf le passage sur l'apparition des deux lunes), des histoires qui n'en sont pas (cette justicière qui remplirait des contrats sortis d'on ne sait où), sans parler du style avec des figures littéraires dignes d'un ado ("elle avait des gestes presque silencieux"). Quant à l'intrigue est tient en une page. Bref, un livre complètement nulle.

À ma plus grande surprise, je n'ai pas du tout apprécié ce roman de Murakami dont j'attendais beaucoup. L'histoire est d'une lenteur extrême, l'auteur se répète beaucoup.

**SPOILERS**

Oui, on a compris que Aomame [était bien foutue et qu'elle aimait les crânes et qu'elle fait une tête horrible quand elle est contrariée, oui, Tenko, on sait que tu n'aimes pas les dimanches], on finit par intégrer tout ça vu le nombre de fois où cela est énoncé. Je me suis trouvée assez mal à l'aise sur certains passages assez lourds et obscènes à mon sens, n'ajoutant rien à l'histoire si ce n'est que pour lui donner un caractère "adulte". Franchement, la scène avec le gars que Aomamé voudrait pécho et les questions sur la taille de son "zizi", de même que l'insistance sur le souvenir de Tenko avec un gars qui tripote sa mère, était-ce vraiment nécessaire] ?

L'ennui que cette lecture m'a fait ressentir m'a poussée à l'abandonner à la moitié, ce que je ne fais pratiquement jamais. Une déception en tout cas.