AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Citations sur 1Q84, tome 3 : Octobre-Décembre (233)

P97 « L’espoir est le combustible que les hommes brulent pour pouvoir vivre. Impossible de vivre sans espoir. Mais c’est comme une pièce qu’on jette en l’air. Pile ? Face ? On le saura quand elle sera retombée, pas avant. »
Commenter  J’apprécie          110
- Naturellement, personne ne peut connaître un homme, quel qu'il soit, jusqu'au tréfonds de son cœur.
Commenter  J’apprécie          110
Je sais bien qu'il s'agit du travail, mais tout de même, songea Ushikawa en soupirant, visiter deux écoles primaires en une seule journée ! J'en ai gros sur le coeur rien que d'y penser.
Commenter  J’apprécie          110
Et il s'était rendu compte que ce que l'on considère en général comme une vérité n'était le plus souvent qu'une notion relative. Et voici également ce qu'il avait appris : la subjectivité et l'objectivité ne sont pas des concepts aussi clairement distincts que la majorité des gens le croient. Et si leur frontiére est d'emblée aussi ambiguë, il n'est dés lors pas très difficile de la déplacer intentionnellement.
Commenter  J’apprécie          110
Comme l’a écrit Shakespeare, à peu de choses près, (...) « Celui qui meurt aujourd’hui est quitte pour demain ». p.450
Commenter  J’apprécie          110
"Qu'est-ce qu'il faut pour renaître ? demanda Tengo.
-Le premier problème, quand il s'agit de renaître... répondit la petite infirmière, comme si elle révélait un secret, c'est que les hommes ne peuvent pas renaître pour eux-mêmes. Seulement pour les autres.
Commenter  J’apprécie          110
"Naturellement, personne ne peut connaître un homme, quel qu'il soit, jusqu'au tréfonds de son coeur."
Commenter  J’apprécie          110
Ce n'est pas un Dieu qui a une forme. Il n'a pas de longs cheveux. Avec ce Dieu, il n'y a pas de doctrine, pas de livre sacré, pas de norme. Pas plus de récompense que de châtiment. Il ne nous donne rien, ne nous enlève rien. Aucun paradis à atteindre, pas non plus d'enfer dans lequel on est précipité. Qu'il fasse chaud ou qu'il fasse froid, Dieu est simplement là.
Commenter  J’apprécie          100
Dans sa tête flottaient elle ne savait quelles pensées. De quelle nature ? Elle était incapable de le déterminer. C’étaient des figures lourdes et denses, comme des nuages de pluie que l’on aperçoit au loin. Leur forme est visible mais il est impossible d’en distinguer les contours exacts. Entre la forme et les contours il y a un décalage.
Commenter  J’apprécie          100
Ushikawa mit une Seven Stars à la bouche et l'alluma avec son briquet. Il avait la sensation que les choses commençaient à se nouer les unes aux autres. Des lignes apparaissaient, une par une, entre les points épars. Ushikawa ignorait quelle serait la figure qui surgirait ensuite. Mais ses formes se dessineraient bientôt.
Commenter  J’apprécie          100







    Lecteurs (7135) Voir plus




    {* *}