Angélique

Pourquoi devoir ou se sentir obligé de faire une critique sur un livre.
Pourquoi ne pas se laisser porter par le résumé et la couverture du livre.
Angélique, c est du Musso, comme on aime, avec ses citations et son suspense.
Mathias Taillefer et Louise Collange, sont deux personnages attachants dès le début.
Il y a une phrase au dos du livre qui en dit beaucoup, sur les émotions que vous allez ressentir:
Fiévreux, inattendu, exaltant. Un labyrinthe d émotions où les certitudes d une page ne sont jamais celles de la suivante.

Angélique est un thriller addictif qui m'a réconcilié avec Guillaume Musso ces deux précédents livres m'ayant déçue .
Mathias taillefer rencontre lors de son hospitalisation une jeune fille de 17 ans Louise Collange, bénévole à l'hôpital qui lui demande d'enquêter sur la mort de sa maman dont elle est convaincu qu'elle a été assassinée .
Sur fond d'enquête policière , le thème des donneurs d'organe et des besoins en greffe est abordé ce qui invite à la réflexion .

C'est avec un brin de scepticisme que j'ai commencé cette lecture, une certaine appréhension, la peur d'être déçue, sa toute dernière chance!!!

Et la magie de la plume de Musso à de nouveau opérée pour moi, pour mon plus grand plaisir cela faisait longtemps mais me voilà réconciliée avec l'auteur!

Tout commence dans une chambre d'hôpital, nous y ferons connaissance de Mathias Taillefer, ancien policier et transplanté cardiaque, hospitalisé pour un malaise cardiaque et de notre étudiante, violoncelliste bénévole qui a le malheur de le réveiller. Malgré, qu'il soit bourru et désagréable, elle ose lui demander de l'aider pour enquêter sur la mort de sa mère, Stella Petrenko, ancienne ballerine, car pour elle la raison de la mort de sa mère n'a pas été éclaircie.
C'est plus tard, que nous ferons connaissance d'Angélique, un si doux prénom pour un personnage si machiavélique.
une autre enquête plus personnelle sera menée en parallèle autour de Lena Haddad, remisé au second plan, j'y ai pas trop prêté attention étant donné que je pensé avoir trouvé le dénouement et là il y a un joli retournement comme on les aime.

Tout au long de la lecture, le suspense se crée si bien qu'un véritable page turner est impulsé avec cette envie d'en découdre, j'ai dévoré ce livre.
Evidemment, il y a des retournements, des apparences trompeuses, l'enquête nous embarque de Paris à Venise.
Le covid et les crues exceptionnelles de Venise reviendront faire écho à notre vécu.
Et puis, j'allais oublier d'évoquer la couverture qui est sympathique ainsi que les illustrations qui ont le mérite d'être là sans être invasives!

Je tiens à remercier ma chère soeur pour ce cadeau, elle m'a offert un moment d'évasion, merci!!!

Et voilà, que j'attends de nouveau le prochain Musso avec hâte!!!

Après avoir lu récemment Skidamarink, premier roman de Guillaume Musso, me voilà à écrire le ressenti de son tout dernier sorti, Angélique.

Taillefer est ancien flic, de la brigade criminelle (ah, tiens, encore! Je m'explique après...). Il va rencontrer la jeune Louise à l'hôpital après un accident cardiaque. Cette dernière va lui demander de l'aide concernant la mort de sa mère... Suicide? Accident? Meurtre? La fille est persuadée que sa maman a été assassinée. Un pressentiment. Un instinct. Mais pour résoudre l'affaire, comme dit plus haut, elle va avoir besoin de notre bon vieux Taillefer... Ah, lui pourtant a tout fait pour qu'elle s'éloigne. Oui, apparemment Taillefer est dangereux...
Et quelques vérités risquent bien d'éclater.

• Un véritable page-turner. Une aventure quelque peu rocambolesque addictive au possible. J'ai retenu mon souffle tout du long, lu ce roman en à peine 24h (fait assez rare avec moi pour être souligné), Angélique m'a happé, m'a attrapé, m'a hypnotisé. Je voulais toujours en lire plus, ne jamais m'arrêter. Ah, que j'adore ce sentiment ! de ne jamais vouloir stopper sa lecture ! Et le dernier en date à m'avoir provoqué cet effet... Est justement un Guillaume Musso, ''Central Park'' (voilà pourquoi je disais ''encore'' concernant la brigade criminelle, car dans Central Park la protagoniste principale en fait partie aussi...). Depuis sa lecture en septembre 2022 je recherchais désespérément un bouquin capable de m'enlever quelques heures de sommeil, en vain. Il a fallu attendre que je fasse la rencontre d'Angélique en ce début d'année 2023 pour me retrouver aspirer par des mots, des lignes, des chapitres, des pages. Et même si, je n'ai pas été entièrement satisfaite de cette histoire. Même si, la fin ne m'a pas entièrement convaincue, et que le manque de crédibilité aurait pu me faire lever les yeux au ciel... Cela ne s'explique pas, je n'ai pas pu m'empêcher de dévorer ce roman.

Une plume fluide, une lecture prenante, une histoire qui relève la noirceur de certains êtres humains... Des pages que l'on voit à peine défiler tel un film qui nous a happé. Je n'attendais pas grand chose de ce livre et je suis finalement ravie de m'être plongée dedans tête baissée. Aussi, j'ai bien aimé ici que l'histoire se passe ailleurs qu'aux États-Unis, pour changer (par rapport à d'autres titres de Musso). le récit nous amène à Paris, mais également en Italie, précisément Venise. Et malgré quelques défauts, quelques bémols, si précédemment je ne conseillais pas le bouquin Skidamarink comme première approche de l'auteur, ''Angélique'' par contre pourrait figurer comme l'un des premiers que je conseillerai à une personne souhaitant lire du Guillaume Musso (bon, pas forcément en livre grand format étant donné le prix, car il se lit vite, moins de 300 pages...). Pour conclure brièvement, ce qu'il faut retenir principalement ? Que ce fût une lecture divertissante, distrayante, certes ce n'est pas le ''roman du siècle'' - entre guillemets - mais j'ai vraiment passé un super moment de lecture : tout ce dont j'avais besoin actuellement !

Chaque roman de Guillaume Musso me déçoit de plus en plus. L'écriture devient plus trash, les rebondissements sont de plus en plus tirés par les cheveux. On connaît le principal de l'intrigue au bout de deux chapitres, laissant la place ensuite à des bribes de récits rocambolesques portant sur chaque personnage. C'est mon dernier Musso.

Un bon "petit" Musso; comme il sait si bien le faire parfois; pas son meilleur loin de là pour moi, mais on ne peut pas s'empêcher de tourner vite les pages pour connaître la fin (lu en une journée de dimanche maussade).
Le début surprend par son absence de mystère: l'histoire est linéaire, et même si les personnages du vieux ex-flic ronchon cardiaque et de la jeune violoncelliste sont sympathiques, on commence à s'ennuyer un peu.
Mais arrivé à la moitié, les surprises et rebondissements pleuvent jusqu'à un dénouement bienvenu.
Au final, une lecture agréable soit au coin du feu en hiver, soit allongé mollement sur son transat en été, mais sans le petit plus indéfinissable qui fait le grand Musso.

Un ancien flic cabossé par la vie et plutôt bourru, une jeune fille délurée venue lui demander d'enquêter sur la mort de sa mère, finalement un début assez banal, et puis...

Le passé n'étant jamais très loin, des éléments en surgissent qui s'imbriquent les uns aux autres et nous entraînent dans une aventure palpitante et riche en rebondissements.

Je lis rarement du Guillaume Musso car je me méfie toujours des auteurs un peu trop prolifiques et encensés, mais j'avoue m'être totalement laissé embarquer dans cette histoire rocambolesque.
Un moment de lecture agréable.

Je me suis (un peu) réconciliée avec Guillaume Musso. Honnêtement, je n'avais pas prévu de lire Angélique mais m'a mère m'a incitée : « vas-y, il est bien, c'est policier ». J'ai donc fait connaissance avec Mathias et Louise : le 1er sur un lit d'hôpital suite à un accident cardiaque ; la seconde bénévole musicienne dans le même établissement. Louise sait que Mathias est flic et voudrait profiter de ses compétences pour élucider ce qu'elle est persuadée être le meurtre de sa mère, Stella, une ancienne danseuse étoile renommée. Cette dernière s'entendait bien avec Marco, son voisin du dessus car elle s'était prise de passion pour ces peintures.

A partir de là vont s'alterner les points de vue et grâce à l'utilisation de la 1ère personne, le lecteur va changer de place à l'intérieur du récit. J'aime bien cet aspect, tout comme j'ai trouvé les quelques illustrations très belles. Mais pourquoi le roman s'intitule-t-il Angélique, me direz-vous ?
Angélique est une infirmière qui vient de tomber enceinte. Malgré cela, elle est seule et s'ennuie dans la vie. Elle est venue prodiguer des soins à Stella peu avant sa mort… Serait-elle la clé du mystère ?

Je vais m'arrêter là concernant l'intrigue de peur d'en dévoiler trop ou d'être brouillonne. Comme souvent chez Musso, le livre est un « page turner » mais j'ai été perturbée par les allers et retours dans les dates, en particulier quand tout s'accélère dans la dernière partie. J'ai pris une claque à la toute fin. Mais il y a des situations que je n'arrive pas à expliquer ou qui manquent de crédibilité, du coup je suis quand même un peu déçue…

Depuis des années, je lis Guillaume Musso et me considère comme une lectrice assidue attendant impatiemment ses futures parutions. La vie secrète des écrivains et La vie est un roman ont amoindri mon élan et j'appréhendai un peu de le relire. Je ne retrouvai plus son style et ses récits étaient complexes, voir insignifiants. Cependant, Angélique a créé un nouveau déclencheur en moi. Tout dans ce livre m'a ravie et m'a donné envie de plonger dans ce roman. J'ai donc commencé à espérer que Guillaume Musso raviverait mon intérêt pour sa plume et ses histoires.

Par une froide journée d'hiver, à la mi-décembre, à l'hôpital Pompidou, une musique étrange réveilla Mathias Taillefer admis pour des examens approfondis après un malaise cardiaque. Il n'y a pas de place pour l'erreur dans son statut de transplanté.

Le son du violoncelle le réveilla de sa torpeur. Dans sa chambre, une adolescente de dix-sept ans s'est présentée comme bénévole auprès d'une association de soutien aux malades hospitalisés. Leurs échanges sont plutôt déroutants et désagréables. de toute évidence, cette fille a besoin de ses services. En fait, Taillefer est policier. Mais un incident a nui à sa carrière, sa santé fragile le compromettant aussi. Pourtant, Louise Collange a besoin de son aide pour enquêter sur la véritable cause du décès de sa mère, la danseuse étoile Stella Petrenko. Selon elle, il s'agit d'un assassinat. Saura-t-elle convaincre ce quadragénaire féroce ? Il faudra compter sur la ténacité de cette fille à l'air frêle.

Taillefer accepte en échange d'un service personnel. Ses recherches d'articles sur Internet l'amènent à comprendre le vécu de la danseuse. Stella Petrenko était une femme instable, constamment à la recherche du succès. Son refus d'échouer l'a plongée dans un comportement plutôt frivole. Rien de spécial jusqu'à présent. L'ex-flic n'est pas terriblement enthousiaste à l'idée de juger l'affaire en secret, mais quelque chose chez Louise l'a fait accepter. Les paroles et l'intuition de la jeune fille ont éveillé sa curiosité et son esprit policier.

Malgré ses réticences face à son passé, il décide de reconstituer le mystère entourant la mort de Stella. En fait, le policier vit depuis des années dans une sorte de lassitude, espérant revoir une femme libanaise autrefois aimée, Lena Haddad. Quelle est sa véritable identité ? Quelle est la raison de sa disparition ? Depuis, Mathias vit dans l'incertitude et la dépression. La présence de Louise lui redonne sa force de combat, mais il ne l'admet pas. Ensemble, ils décident d'approfondir leurs recherches et de recoller les morceaux.

Dans le même temps, L'auteur nous présente une femme immonde. Angélique agit assez vicieusement pour gagner richesse et renommée. Une femme sans scrupule. Quelle est sa relation avec la mort de la danseuse étoile ?
Guillaume Musso effectue des allers-retours entre Paris et Venise dans un rythme effréné et captivant. Il incorpore de multiples pistes obscurcies, laissant le lecteur en attente de comprendre le mystère et le but de chacun des personnages. J'ai aimé cette lecture, car elle est cohérente et elle est si vibrante. le livre est si facile à lire que vous ne voudrez pas le lâcher tant que vous n'aurez pas trouvé le coupable.
Angélique est un thriller plein de rebondissements à lire absolument, vous ne serez pas déçu.

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Après un accident cardiaque, Mathias TAILLEFER se réveille à l'hôpital sur les douces notes d'un violoncelle. Derrière cet instrument, Louise Collange, venue lui demander une requête singulière; enquêter sur la mort de sa mère.
Mathias, ancien policier, qui ne connaît absolument pas cette jeune fille, n'est pas d'humeur à entendre son histoire, mais finit malgré tout par accepter, les entraînant tous les deux dans les rues de Paris en quête de vérité.

Le roman est construit sur 4 grands chapitres. Les trois premiers mettent en lumière un personnage important de l'histoire. le dernier permet de clore proprement (trop peut être ?) l'histoire rocambolesque débutée par la mort de Stella Petrenko, mère de Louise.

J'ai tourné les pages rapidement et avec envie pour connaître le dénouement de cette trame aux multiples rebondissements, qui "comme les carrés colorés d'un Rubik's Cube, s'emboîtent pour trouver leur place dans un tout cohérent".
L'intrigue bien qu'emballante avec ce côté page-turner efficace souffre d'un non attachement aux personnages et de ficelles un peu trop grosses servant à faciliter l'orientation de l'enquête.
Je n'ai pas réussi à m'accrocher à Mathias, ni à Louise, à cause principalement de leur façon de parler et d'interagir entre eux.

Il fallait que je lise au moins une fois un Guillaume Musso afin de me faire une idée de l'excellent auteur qu'il est, mais je pense ne pas faire partie de son coeur de cible.
Ce court roman s'avale cul sec, sans aucune difficulté, mais le goût ne me restera pas en mémoire.