AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
3,7

sur 2154 notes

Critiques filtrées sur 3 étoiles  

Page blanche.
Je suis avec mon stylo, mon cahier, je réfléchis à ce que je pourrais bien raconter sur le nouveau Guillaume Musso, pour jeter quelques idées au brouillon avant de commencer la rédaction d'une chronique. Et force m'est d'avouer que l'inspiration est proche du zéro absolu.
Je suis fatigué, je lutte contre le sommeil.
Et soudain, les pages de mon cahier semblent remuer, prendre vie, elles s'arrachent une à une et s'envolent. Elles forment progressivement une silhouette humaine. S'agit-il d'une hallucination ?
- Bonjour Antyryia, je suis Guillaume Musso de papier. Vous m'avez invoqué pour que je vous aide à rédiger votre billet ?
Je n'y comprends rien. C'est quoi ce délire ? Mais bon, si c'est bien lui il me donnera quelques tuyaux que je pourrai réutiliser ultérieurement.

- Bonjour monsieur Musso et merci d'avoir accepté mon invitation. Venez dans le salon, je vais vous servir du champagne et des chips.
- Vous pouvez m'appeler Guillaume. Je suis vraiment ravi d'être ici afin de vous présenter plus en détail mon meilleur thriller à ce jour : Angélique.
- En même temps on partait de très loin. C'est même un comble que vous ayez reçu le prix Raymond Chandler l'année dernière, alors que L'inconnue de la Seine était quand même le pire polar que vous ayez écrit. Comment expliquez-vous que vous vous rangiez désormais aux côtés de maîtres du genre comme PD James, Graham Greene, Elmore Leonard, Michël Connely, Ian Rankin, Henning Mankell, Ed McBain ou encore Margaret Atwood ?
- En fait c'est une drôle d'histoire. J'avais envie de manger du jambon alors je suis allé dans la vallée d'Aoste en jet privé. J'ai rencontré les organisateurs du festival Courmayeur noir et ils m'ont dit "Ecoute mon Guillaume, y en a marre de tes romans qui se passent toujours à New York ou Paris. Si tu nous emmenais en Italie dans ton prochain roman ? Et en échange on te donnera le prix Raymond Chandler pour que tu puisses narguer tes collègues plus talentueux". J'ai dit oui, et vous savez maintenant pourquoi j'ai emmené mes personnages à Venise, la ville des zamoureux, dans Angélique.
- Vos personnages, parlons-en. Angélique n'est pas vraiment l'héroïne de ce nouveau roman, ni en termes de présence, ni en termes d'actes de bravoure. Pourquoi ce choix ?
- Eh bien j'ai voulu jouer sur la connotation bienveillante du prénom également, en pensant à l'adjectif angélique. Ou encore à la dualité mi-ange mi-démon, parce que je voulais que mes personnages, sous leur aspect extérieur gentillet, aient tous une part d'ombre plus ou moins importante. J'ajouterais aussi que "Mathias" c'était moins vendeur comme titre.
- En parlant de votre personnage de policier retraité, qu'on découvre d'abord dans un lit d'hôpital suite à des problèmes cardiaques, pourquoi l'avoir appelé ainsi ? Mathias Taillefer, c'est spécial non ?
- Au départ je souhaitais écrire un thriller moyenâgeux et prendre pour héros Björn Côtes-de-fer, parce que j'avais trop adoré la série Vikings. Mais mon éditeur m'a dit que ça perturberait mes lecteurs habituels et qu'il y avait des problèmes d'ordre chromosomiques parce que je parlais de Bluetooth ou du covid.
- Chronologiques ?
- Oui c'est ça ! Et j'ai donc du remanier mon scénario et renommer mes antagonistes.
- Comme vous venez d'en parler, le coronavirus joue un rôle très important dans votre roman, bien ancré dans notre époque finalement. Vous rappelez que les infirmières étaient en première ligne aux débuts de l'épidémie. Vous n'hésitez d'ailleurs pas à vous positionner courageusement. Dans le débat pro et anti vaccin qui a fracturé la France dans de nombreux repas de famille, vous n'avez pas hésité à donner votre avis. Vous êtes pro-vaccin et n'hésitez pas à vous moquer gentiment de la paranoïa ambiante. Je lis un extrait : "Vous savez ce qu'il contient le vaccin, vous ? de petits oeufs microscopiques en oxyde de graphène. Et vous savez pourquoi ? Pour contrôler à distance les personnes grâce aux puces 5G." Doit-on vous considérer comme un écrivain engagé ? Pensez-vous que ce soit le rôle des auteurs des fictions de prendre parti sur ces sujets parfois sensibles ?
- Pour vous répondre, je citerais André Malraux : "La vérité d'un homme, c'est d'abord ce qu'il cache."
- Euh... Et donc ?
- Ben rien, vous m'embêtez avec vos questions ! Quand je sais pas quoi dire je glisse toujours une citation. Dans mes livres c'est pareil.
- Changeons de sujet alors et parlons d'un autre thème médical qui vous est cher : La musicothérapie. Au tout début de votre roman Mathias Taillefer fait connaissance de la jeune Louise Collange, dix-sept ans, déjà en seconde année de médecine, qui le réveille avec son violoncelle. Ce dernier aurait des vertus thérapeutiques...
- En effet, j'ai fait énormément de recherches sur le sujet, j'ai passé plus de dix minutes sur Wikipedia. Eh bien j'ai appris que différentes chansons pouvaient aider les autistes, les toxicomanes, les patients atteints d'Alzheimer, les dépressifs. Un petit air de bonhomme en mousse puis de la chenille de Bézu et ça redémarre. Et oui, les maladies cardiaques sont également concernées. La musique relaxe et libère des endorphines qui ont des vertus calmantes et analgésiques. Quel air plus agréable à entendre pour un transplanté cardiaque que celui de Charles Trénet ?
"Boum, quand notre coeur fait Boum Tout avec lui dit Boum."
- Je souhaiterais maintenant revenir sur un extrait qui m'a beaucoup marqué : "Apprenant l'identité de sa cliente, le magasin Knoll proposa de lui prêter et de lui faire livrer le jour même des meubles d'exposition : table Saarinen, chaises Sandigarh, fauteuil Eames avec son ottoman, tapis clair à poils longs." Vous avez conscience que pour un auteur qui se veut à portée de tous, ce défilé publicitaire n'apporte rien et ne permet qu'à 0,1 % de la population mondiale de visualiser la pièce ?
- Vous voulez dire que vous n'avez pas la table ronde tulip knoll vendue seulement 15 252 € ? Ecoutez, ce sont mes sponsors, ils me font un gros chèque avec plein de zéro si leurs marques apparaît dans mes livres. Je le fais tout le temps ! C'est comme Zidane avec Volvic, Adidas ou Grand optical. Et lui personne lui reproche rien ! En plus tout le monde s'y retrouve financièrement, à part mes lecteurs.
- Dans "Angélique" vous avez montré l'étendue de votre vocabulaire avec, entre autres, des mots comme amok ( accès de rage incontrôlable ) ou obérer ( compromettre ). Pourquoi ce vocabulaire moins accessible dans un roman très facile à lire ? Par envie de contraste ? de provocation ?
- Alors déjà, Amok est le titre d'un livre de Stephan Zweig, et lui il a pas eu le prix Raymond Chandler pour son oeuvre. Donc pouet pouet, hein. Ensuite j'ai eu l'occasion de croiser Amélie Nothomb récemment dans un gala de charité et c'est elle qui m'a suggéré de mettre des mots compliqués, ça donne un air plus intelligent, plus culturé paraît-il.

- Bon, je vous ai un peu taquiné jusqu'à présent mais je voulais quand même vous dire que malgré quelques défauts, ce roman était à mon avis le plus réussi depuis que vous vous essayez aux romans plus sombres et avez délaissé l'aspect surnaturel qui faisait le charme de vos premiers livres.
- Des défauts ? Il est parfait mon livre. Même en Espagne les médias me considèrent comme un phénomène !
- Un sacré phénomène oui. Je voulais donc dire qu'il y avait des facilités scénaristiques, avec des enquêteurs qui fonctionnaient un peu trop à l'instinct et des coïncidences un peu trop grosses pour qu'on les avale tout à fait.
- Bon si c'est pour dire que du mal alors que c'est même pas vrai, je m'en vais faire du boudin.
- Mais attendez Guillaume, j'allais vous faire des compliments !
- En vrai ?
- Oui, déjà parce que le duo improbable de l'ancien flic blessé dans sa chair et dans son âme et de la jeune enquiquineuse qui lui demande de l'aide pour enquêter sur l'éventuel meurtre de sa mère fonctionne plutôt bien. Il permet de petites touches d'humour bienvenues. Il sont attachants Mathias et Louise dans leur complicité mêlée d'irritation.
- Merci. Je voulais qu'ils tombent amoureux mais mon éditeur n'a pas voulu, il m'a dit que ça ferait mauvais effet. du coup j'ai intégré une autre intrigue sentimentale pour donner un peu de consistance à mon roman.
- Et elle n'était pas trop mal trouvée, sans prendre de place démesurée, il faut l'admettre.
- D'autres choses vous ont plu ? me demanda l'auteur, les yeux brillants, avide d'un nouveau compliment.
- Eh bien oui, je dois bien avouer que vous m'avez bien eu, et à plus d'une reprise. Si certains rebondissements sont vraiment tirés par les cheveux, d'autres sont vraiment bien vus, bien amenés, plein de surprises inattendues, pour le meilleur et pour le pire. Vous allez retourner quelques cerveaux de lecteurs à mon avis ! Honnêtement c'est plus qu'encourageant pour un premier roman. Vous êtes promis à une brillante carrière à mon avis.
- Oh non, ça n'est pas mon premier, j'ai aussi écrit La vie est un roman, Et après... , La fille de papier.

Reprenant alors subitement conscience, je regarde Guillaume Musso de papier se fragmenter et se dissoudre en poussière, bientôt emportée par le vent. J'essaie de me souvenir de ce qui n'était qu'un rêve, je suis sûr qu'il y avait matière à rédiger quelques lignes pour ma chronique.
Mais le songe s'est envolé et je demeure devant ma page blanche.
A tout hasard, pour me rappeler, j'essaie la musicothérapie et écoute la chanson "Souvenirs, souvenirs" de Johnny Halliday.
Qui sait, ça fonctionnera peut-être ?

Commenter  J’apprécie          8614
J'ai commencé cette lecture avec une certaine méfiance car les romans de Guillaume Musso me laissent souvent avec l'impression d'avoir été flouée, d'une manière ou d'une autre. Ce qui n'a pas manqué d'arriver même si c'est moins flagrant ici qu'avec d'autres romans.

Les deux premières parties m'ont bien plu. L'enquête se met en place, on découvre les personnages, puis dans un long flashback nous suivons la coupable dans ses manoeuvres pour se faire la place au soleil qu'elle estime mériter. C'est ensuite que cela commence à déraper à mon avis.

L'intrigue reste tout à fait cohérente, mais tout est lié de manière tellement inextricable que j'ai eu du mal à croire à ce qu'on me racontait...

Sinon, le roman se lit facilement, le style est agréable, le récit est rythmé grâce à des flashbacks qui viennent s'intercaler dans le récit pour apporter des explications ou semer des indices sur ce qui se passe en décembre 2021.

Mais j'ai décidément du mal avec les intrigues de Guillaume Musso...
Commenter  J’apprécie          630
Justice immanente

Une de mes petites-filles ( j'en ai trois ) est une fan absolue de Guillaume Musso.
Je me souviens, quant à moi, l'avoir découvert à ses débuts avec "Et après...", qui m'avait moyennement plu.
Les critiques étant bonnes, j'ai voulu refaire un essai.
Ouais, bon, vite lu, vite oublié.
On sait dès le début qui a tué qui et pourquoi et on se doute que ce crime ne restera pas impuni. Il y a quelques rebondissement, tout de même, qui m'ont quand même surprise. Tout n'est pas négatif, mais je ne crois pas que je réitérerai l'expérience avec cet auteur.
Maintenant, ce n'est que mon humble avis, à vous de vous faire une opinion si ce n'est déjà fait.
Bonne lecture
Commenter  J’apprécie          230
Un bon "petit" Musso; comme il sait si bien le faire parfois; pas son meilleur loin de là pour moi, mais on ne peut pas s'empêcher de tourner vite les pages pour connaître la fin (lu en une journée de dimanche maussade).
Le début surprend par son absence de mystère: l'histoire est linéaire, et même si les personnages du vieux ex-flic ronchon cardiaque et de la jeune violoncelliste sont sympathiques, on commence à s'ennuyer un peu.
Mais arrivé à la moitié, les surprises et rebondissements pleuvent jusqu'à un dénouement bienvenu.
Au final, une lecture agréable soit au coin du feu en hiver, soit allongé mollement sur son transat en été, mais sans le petit plus indéfinissable qui fait le grand Musso.
Commenter  J’apprécie          140
Je me suis (un peu) réconciliée avec Guillaume Musso. Honnêtement, je n'avais pas prévu de lire Angélique mais m'a mère m'a incitée : « vas-y, il est bien, c'est policier ». J'ai donc fait connaissance avec Mathias et Louise : le 1er sur un lit d'hôpital suite à un accident cardiaque ; la seconde bénévole musicienne dans le même établissement. Louise sait que Mathias est flic et voudrait profiter de ses compétences pour élucider ce qu'elle est persuadée être le meurtre de sa mère, Stella, une ancienne danseuse étoile renommée. Cette dernière s'entendait bien avec Marco, son voisin du dessus car elle s'était prise de passion pour ces peintures.

A partir de là vont s'alterner les points de vue et grâce à l'utilisation de la 1ère personne, le lecteur va changer de place à l'intérieur du récit. J'aime bien cet aspect, tout comme j'ai trouvé les quelques illustrations très belles. Mais pourquoi le roman s'intitule-t-il Angélique, me direz-vous ?
Angélique est une infirmière qui vient de tomber enceinte. Malgré cela, elle est seule et s'ennuie dans la vie. Elle est venue prodiguer des soins à Stella peu avant sa mort… Serait-elle la clé du mystère ?

Je vais m'arrêter là concernant l'intrigue de peur d'en dévoiler trop ou d'être brouillonne. Comme souvent chez Musso, le livre est un « page turner » mais j'ai été perturbée par les allers et retours dans les dates, en particulier quand tout s'accélère dans la dernière partie. J'ai pris une claque à la toute fin. Mais il y a des situations que je n'arrive pas à expliquer ou qui manquent de crédibilité, du coup je suis quand même un peu déçue…
Commenter  J’apprécie          130
Cela faisait plusieurs livres de Guillaume Musso que je voyais passer sans avoir le souhait de les lire car j'estimais avoir épuisé mon engouement. Et voilà qu'Angélique passe par là et que je suis happée par cette histoire. Un thriller efficace, bien écrit, justement dosé en violence et avec des personnes attachants malgré leurs défauts et leurs sombres desseins. Je me suis régalée envoutée par une fin qui va très vite, voire trop vite pour me retrouver frustrée à la dernière page que cela soit fini.
Commenter  J’apprécie          110
ah Musso...quel écrivain!

D'habitude je me régale à lire ces romans mais là en toute franchise j'ai été moins emballée.

Bien que l'histoire en elle même puisse être belle, j'ai trouvé les récits saccadés, en désordre, décousus.

Lu quand même jusqu'au bout
Commenter  J’apprécie          100
Souvent perplexe à l'issue de mes lectures de ses romans, je reviens malgré tout toujours vers cet auteur, pourquoi ? Je ne saurais l'expliquer et nous sommes nombreuses dans ce cas !

Dans ce roman, il s'agit d'élucider la mort de Stella Petrenko, une danseuse étoile. Sa fille, Louise, interpelle un ancien commissaire et le tanne pour qu'il reprenne l'enquête.

J'ai d'abord trouvé les personnages caricaturaux et l'écriture trop rigide…il y avait un manque de nuances.
Ensuite, je me suis interrogé sur qui pouvait bien être Angélique, personnage éponyme et de qui je n'avais pas encore entendu parler. Puis je me laisse prendre au jeu de l'enquête, oubliant mes réticences du départ. Mais trop facile, non ?!…Là, je me demande si on ne se moque pas des lecteurs. Et puis tout dérape.
Ce roman se divise en deux parties bien distinctes. La première linéaire, sans surprise. La seconde sinueuse, sans vraisemblance.

J'ai noté certains passages descriptifs, rares dans les romans de Guillaume Musso. Ils sont concentrés et arrivent pour « combler », ce qui dénotent avec le reste du récit.

Bref, je n'ai pas été séduite par « Angélique », et comme pour beaucoup d'auteurs qui s'imposent un rythme d'écriture, le niveau d'exigence faiblit et la déception est au rendez-vous.
Commenter  J’apprécie          80
Que dire du "maître du suspense français", jolie couverture, le style est fluide et très facile à lire, comme à chaque fois.

Par contre, j'ai toujours ce goût de l'inachevé malgré beaucoup (trop?) de références, comme pour donner du poids a une intrigue trop facile, je lis sans vraiment m'accrocher.
Les événements sont trop liés pour être crédibles, à trop vouloir de rebondissements, ça devient risible.
Commenter  J’apprécie          60
#Chronique : Angélique de Guillaume Musso ➡ ❤❤❤/5
Calmann-Lévy
-----
L'avez-vous lu, envie de le lire ?
-----
👉EXTRAIT :
"Ni les bons ni les mauvais moments ne durent toujours "
-----
👉MA CHRONIQUE :
Je crois qu'on est nombreux à attendre tous les ans le nouveau livre de Guillaume Musso. Cette année, c'est un petit peu particulier puisque Angélique est son vingtième roman !! Chapeau l'auteur ! 👍
Personnellement, j'attendais beaucoup de ce titre, j'avais très envie de retrouver la plume de ce grand écrivain français que tout le monde connaît et qui, fut un temps, me comblait grâce à ses excellentes intrigues !
J'ai pris le titre de celui-ci comme un signe, je me suis dit : chouette, un bouquin qui porte mon prénom, excellent ! 😍 Voyons voir ce qui se cache à l'intérieur...

J'ai commencé ma lecture plutôt confiante, d'ailleurs, les premiers chapitres m'ont complètement séduite. J'ai aimé faire la connaissance de Louise Collange, une jeune fille de 17 ans qui passe un peu de son temps auprès des patients d'un hôpital afin de partager son talent de musicienne et amener un peu de douceur dans le quotidien de ces hommes et femmes qui en ont besoin.
Louise va se rendre dans une chambre et faire la connaissance d'un ex-flic au coeur un peu abîmé : Mathias Taillefer. Cet homme un brin ronchon, va rapidement être subjugué par l'histoire que lui raconte Louise, une histoire personnelle, celle de sa maman Stella Petrenko, ancienne danseuse étoile qui est officiellement décédée suite à une chute du haut de son balcon, mais qui, pour Louise a certainement été assassinée.

On découvre alors qui est Angélique et quel rôle cette femme a joué dans cette tragique histoire tout cela grâce à l'enquête de Mathias, qui ne manque pas de rebondissements. Arrivent ensuite des flash-back qui viennent faire le lien entre les deux premières parties et le reste du livre. L'ensemble est plutôt concordant, l'intrigue est prenante, les pages se tournent avec plaisir, mais malgré cela, je n'ai pas été complètement satisfaite par cette lecture.
Pourquoi ? À cause de la deuxième partie qui part un peu dans tous les sens et qui m'a clairement déstabilisée.
👉 En bref :
J'ai aimé, puis désaimer, pour aimer un peu quand même, mais sans plus.
Je m'attendais à mieux, à plus, je reste sur ma faim malgré une bonne base de l'histoire. Un rendez-vous manqué, à nouveau ? Non, pas totalement, mais je m'attendais quand même à mieux...
-----
👉POUR LIRE L'INTEGRALITE DE MON BILLET, C'EST ICI : https://www.leslecturesdelily.com/2022/11/angelique-ecrit-par-guillaume-musso.html#more
-----
#avislecture #avislittéraire #leslecturesdelily #livres #books #lecturedoctobre #passionlecture #lirecestlavie #bookstagram
Lien : https://www.leslecturesdelil..
Commenter  J’apprécie          60




Lecteurs (4896) Voir plus



Quiz Voir plus

Angélique – Guillaume Musso

Dans quel hôpital est Mathias Taillefer ?

Pitié-Salpêtrière
Clémenceau
Pompidou
Lariboisière

20 questions
20 lecteurs ont répondu
Thème : Angélique de Créer un quiz sur ce livre

{* *} .._..