Arthur a rendez - vous avec son père au phare des Vingt - Quatre Vents, une acquisition familiale. Franck Costello lui lègue le bien, à une condition : ne jamais ouvrir la porte métallique, comme le lui avait demandé son propre père, Sullivan. Bien évidemment, les interdits sont faits pour être bravés. Arthur use de tous les moyens pour venir à bout de la serrure. En entrant enfin dans la pièce qui se cachait derrière la porte, il ne trouve rien. Mais la porte se referme...et c'est le trou noir.
Arthur se réveille, il est à Manhattan, en caleçon. Plusieurs mois se sont écoulés depuis qu'il est entré dans cette fameuse pièce et il n'a aucun souvenir de ce qui s'est passé jusque là. Déboussolé, perdu, il n'a qu'un moyen de comprendre ce qui lui arrive : retrouver Sullivan, son grand - père. Seul celui - ci est en mesure de lui fournir des réponses. Et la vérité est bien pire que tout ce qu'il aurait pu imaginé!
Excellent! J'ai été captivée par ce roman. Une intrigue vraiment bien trouvée. Chaque année, Arthur se réveille pendant vingt - quatre heures sans avoir de souvenirs de sa vie entre chacun de ses réveils. Même si Sullivan, son grand - père, lui a quelque peu expliqué comment cela se déroulait, on ne peut se résigner face à la malédiction, à savoir que tout ce qu'il construit pendant ses courtes journées, va disparaître au vingt quatrième voyage. Je tournais les pages, encore et encore, espérant trouver des réponses, des explications à ce phénomène "surnaturel", et surtout, je voulais savoir si tout allait disparaître, vraiment.
Alors, alors? Non, je ne vais pas vous dévoiler la fin. Mais celle - ci m'a déçue. Décidément, en ce moment, je suis déçue par les épilogues. Après tout, ce n'est pas un livre de science - fiction donc finalement, ça se tient, à quoi j'aurai pu m'attendre finalement? Cela ressemble aux dénouements de
Guillaume Musso, il reste dans sa ligne de conduite j'ai envie de dire. Je me suis tellement emballée lors de la lecture de ce roman que finalement, je suis tombée de haut. Tout ça pour ça? C'est un peu comme manger une sucette au chewing - gum...sans chewing - gum! Pardonnez - moi cette comparaison ridicule.
Ceci dit, je conseille vraiment cette lecture. L'histoire est vraiment bien faite avec une écriture qui coule de source. Il aurait pu être un coup de coeur.
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