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4ème de couv':" Et si votre famille n'était pas celle qu'elle prétendait être ?
Nina Kircher, une sexagénaire, veuve d'un photographe mondialement célèbre, passe quelques jours dans un hôtel de luxe dans le sud de la France. Soudain, elle quitte la piscine où elle vient de se baigner pour suivre un homme jusqu'à son bungalow puis, sans raisons apparentes, elle le poignarde dans un enchaînement inouï de violence, avant de s'enfermer dans un mutisme complet.
Pour tenter de comprendre cet acte insensé, son fils Théo, avec lequel elle a toujours entretenu des relations difficiles, n'a d'autre choix que de plonger dans le passé d'une mère dont il ne sait presque rien. de Paris à la Suisse en passant par la Côte d'Azur, il va mener sa propre enquête, jusqu'à découvrir des secrets inavouables et voir toute sa vie remise en question...

MON AVIS: Voilà une intrigue oh combien captivante!
De chapitre en chapitre Valentin Musso nous entraine de révélations en découvertes dérangeantes et le passé obscur de Nina ne s'éclaircit que pour entrevoir la noirceur de sa jeunesse où elle a baigné bien malgré elle.
Décidément la famille ce n'est pas un long fleuve tranquille pour certains et là je peux dire que le fleuve est agité de remous qui font tomber des pans entiers de vie construite sur des mensonges.
Et même dans le présent Théo n'est pas au bout de surprises désagréables.
C'est une fiction poignante car basée sur des faits réels et le destin de milliers d'enfants a été bien cruels pour beaucoup d'entre eux.
Il y a pléthore d'émotions qui se dégagent a travers les personnages de Nina, de Théo, de Denise et de Camille. lls sont liés par un passé douloureux pour les uns et trop neutres pour les autres. Lever le voile sera-t-il salvateur ou au contraire destructeur? A chacun de s'approprier ses souvenirs et les regarder avec un yeux neuf.

C'était une belle lecture et je remercie Babelio et les éditions Seuil pour ce partenariat .
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Nina Kircher, en vacances à Avignon, tue un homme à coups de couteau sans raison apparente et s'enferme dans un mutisme total.
Théo, son fils , essaie de comprendre son acte mais il s'aperçoit qu'il ne connaît rien du passé de sa mère , son enquête le fait partir en Suisse où il va découvrir de terribles secrets .
Que découvre t-il en Suisse ?
Quel est ce secret que Nina garde enfoui en elle ?
L'histoire se déroule en deux temps :
- L'enquête de Théo en Suisse sur un établissement St Marie.
- Puis dans un second temps on retourne dans les années 1968 et là on nous dévoile la vie qu'a menée Nina et certains pensionnaires à St Marie .
Un peu incompréhensible que ce genre d'établissement ait pu exister jusqu'en 1973 ......
Un livre captivant , beaucoup de rebondissements, une écriture fluide. Beaucoup de difficulté à lâcher ce livre tant l'histoire est prenante et qu'une seule hâte celle de connaître la fin. Un premier livre de Valentin Musso et certainement pas le dernier .
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Merci aux éditions Seuil et à Babelio pour ce partenariat.
Je sens que la publication de cet avis risque de marque la fin de partenariat pendant un certain temps. Si, si. Ce n'est pas parce que j'ai reçu un livre en partenariat que je ne vais pas dire ce que je pense sur lui. Que mon avis ne plaise pas ne m'importe pas, ce qui m'importe est d'être sincère.
J'aimais beaucoup les romans de Valentin Musso. Je n'en avais pas lu depuis cinq ans, et dès le premier chapitre, j'ai ressenti une déception. J'ai trouvé le style très plat, rempli de précisions inutiles. Je me suis dit : « allons, ce n'est que le premier chapitre, poursuivons, le style sera meilleur. ». Eh bien non. J'ai pensé, en le lisant, à un autre auteur que j'apprécie peu, un certain Guillaume Musso. J'ai tâché de faire abstraction tout au long de la lecture pour me concentrer sur l'intrigue. A nouveau, j'ai coincé. Pourquoi ?
Le sujet, enfin, celui qui aurait dû être le véritable sujet, est un sujet fort, et à mon avis, il n'a pas été suffisamment traité. Oui, Nina a tenté de tuer un homme, comme ça, sans que l'on sache pourquoi, et à son fils de faire toute la lumière. STOP ! Son fils. Il enquête, il cherche. Mais que fait la police, bon sang ? Au début, le lecteur a pourtant rencontré un policier qui semblait tout à fait compétent. Malencontreusement, il n'a guère de place dans l'intrigue, pour ne pas dire crument qu'il disparaîtra aussitôt apparu.
Un autre fait m'a fait tiquer, alors que je n'étais toujours pas allée très loin dans l'intrigue (page 60, environ), la découverte de l'avocat de Nina. il est immédiatement reconnaissable. J'ai trouvé que les auteurs de romans policiers (je ne parle pas seulement de Musso) cèdent à la facilité en utilisant un seul modèle d'avocat, comme si un auteur ne pouvait inventer un personnage. de toute façon, dès que je l'ai vu apparaître, c'était plié : l'héroïne serait forcément innocentée grâce à Disculpator. A chaque fois qu'il agit, il m'a agacé par ses méthodes parce qu'il n'effectue pas son travail d'avocat auprès de la justice, mais auprès des médias. A croire que les avocats ne sont pas tenus au secret ou ont le droit de tout révéler de la vie privée et intime de leurs clients à la presse, et tant pis s'ils ne sont pas contents. J'aimerai croire avoir lu une critique de ces méthodes.
Il reste aussi la thématique des secrets de famille, thématique qui est tout sauf ma préférée. En lisant, en découvrant le (les ?) fameux secrets, je me dis que Théo a été, tout au long de sa vie, soit très naïf, ne se posant jamais de questions sur certains faits pourtant étonnants (je ne pose pas de questions est un leitmotiv chez lui), soit tellement centré sur lui-même que tout ce qui ne le concernait pas ne l'intéressait pas, que ce soit la vie de son demi-frère ou la vie de sa mère. Oui, les révélations sont nombreuses, très nombreuses, trop nombreuses, au point que la vraisemblance est partie en courant depuis longtemps.

Même quand le lecteur est plongé dans le passé de Nina (Nina et toutes les autres, pour ne pas trop en dire), je n'ai pas été autant touchée que je l'aurai voulu, parce que j'ai eu une impression d'avoir déjà lu et relu cette histoire, ou plutôt des histoires liées à la même thématique. Et quand on a lu ou vu des histoires beaucoup plus fortes, ou racontées avec une plus grande économie de moyen, on a du mal à se promener dans les palaces, à assister à des recherches en ligne ou à lire des détails dont je me serai bien passées, parce qu'ils n'apportaient rien à l'intrigue à mes yeux, si ce n'est montrer la vacuité de Théo – pour ne pas dire une certaine misogynie intériorisée.
Oui, Qu'à jamais j'oublie montre la défaite des femmes, de toutes les femmes, de Nina, de Denise, de Maud aussi. Je ne parle même pas de la mère de Camille, morte et oubliée au point de ne pas avoir de nom. Ah, pardon, elle est la très jeune femme de Joseph Kircher, morte très jeune et dont il s'est consolé très vite. Que reste-t-il, pour Camille, de sa mère ? Je ne sais pas, puisque l'on ne lui parle pas d'elle. Même sa belle-mère, Nina, n'a pas eu la force d'élever deux enfants, le confiant à Maud. Je n'en dis pas plus, parce que je pense beaucoup de choses à ce sujet.
Dernier point : la dernière révélation qui laisse le lecteur un peu sur sa faim. Je ne dis pas que c'est la révélation de trop, cela fait déjà longtemps qu'il y a eu « trop » de révélations. Je dirai qu'une fin presque ouverte n'était pas nécessairement utile.
Lien : https://deslivresetsharon.wo..
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📍 Nina Kircher, se baigne dans la piscine de son hôtel. Elle se laisse envahir par les agréables sensations de son corps qui glisse sous l'eau, un moment hors du temps, des souvenirs qui affluent.... Son corps a vieilli mais elle reste désirable malgré ses 60 ans. Elle sort de la piscine, et soudain, stop ! Arrêt sur image ! Elle vient de voir un homme. de ses pensées à l'acte horrible qu'elle va commettre, pas le temps de s'attarder sur la raison, ... elle sait... juste un acte à accomplir, impérieux, vital...

📍 Son silence contraint son fils Theo à fouiller son passé, un passé dont il se rend compte ne rien savoir... mais s'en est-il vraiment un jour soucié ? Il reprend contact aussi avec son frère dont il s'est éloigné depuis de nombreuses années. Un frère aîné parti vivre chez sa tante à l'âge de 8 ans, peu après le décès de son père. Un frère tourmenté par ses démons....
Mais quelle est donc cette famille qui ne se parle pas, ne se connaît pas ?...
La soeur de son père pourrait-elle lui en dire plus sur sa mère, car elles sont très proches ?....

📍 de Paris à la Suisse, les fantômes vont peu à peu sortir des placards. Ce récit, sur deux temporalités nous ramène aux jeunes années de Nina, à son triste parcours de jeune fille, au mensonge, au silence imposé, à l'espoir brisé et à la culpabilité qui la ronge encore. Comment renouer des liens de confiance quand ils ont été bafoués.... Pourquoi parler aujourd'hui quand on ne nous a pas écouté hier ?

📍 L'auteur distille au compte goutte les découvertes de Théo, alternant les chapitres entre le passé de Nina et les avancées de son enquête. Pourtant, malgré les découvertes, il reste plusieurs zones d'ombre à éclaircir sur une enfance dont il a peu de souvenirs. Qu'est-il donc arrivé à ce frère, peintre de talent qui s'ignore et obsédé par un même modèle sur ses toiles ? Les révélations sont terribles et les secrets se dévoilent. Mais l'auteur, comme à son habitude, réserve une surprise à son lecteur. Et celle là n'est pas sans conséquences sur la propre vie de Théo....

📍 Un excellent roman qui nous éclaire sur les pans sombres de l'histoire d'un pays qui, jusqu'en 1981, a abandonné à leur sort des milliers de personnes, victimes d'une justice arbitraire. J'ai une pensée émue pour ces jeunes filles "oubliées" et les femmes qu'elles sont devenues;
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Théo est le fils de Joseph Kircher, un célèbre photographe qu'il a peu connu, n'ayant que cinq ans au moment de son décès. Alors qu'il s'occupe de la promotion d'un livre et d'une exposition créés à partir d'une sélection de clichés de son père, il apprend avec stupeur que sa mère Nina est accusée d'avoir violemment agressé au couteau un homme dans un hôtel à Avignon.

Théo s'aperçoit que sa mère est restée une inconnue pour lui, toujours dans l'ombre de son mari, même après la mort de celui-ci, et que s'il veut comprendre son geste et l'aider il va lui falloir se plonger dans le passé de sa génitrice.
Seule sa tante Maud, soeur de Joseph et proche de Nina, pourrait lui permettre d'avancer dans sa quête de la vérité.

Parallèlement à l'histoire contemporaine, des chapitres évoquent la vie d'une jeune Nina, ballottée en Suisse de familles d'accueil en institutions, à une époque où les internements administratifs ne reposant la plupart du temps sur aucune justification sévissaient dans ce pays.

J'ai eu un moment l'impression que tout allait se dévoiler au fils du récit en ne laissant que peu de place aux surprises. Mais c'était sans compter sur le talent de Valentin Musso pour brouiller les cartes et imaginer une histoire complexe et émouvante, basée sur des faits historiques qui font frémir.
L'auteur entraîne Théo dans une quête identitaire impliquant en premier lieu sa mère, et ménage ses effets jusque dans les dernières pages, avec d'ultimes révélations...

J'ai pris beaucoup de plaisir à lire ce roman de Valentin Musso. L'auteur se renouvelle à chaque production, proposant cette fois une découverte d'un pan peu glorieux et inconnu pour moi de notre voisine la Suisse, avec une belle histoire et de beaux personnages.
Merci à Babelio et aux Éditions du Seuil.
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Un bon thriller, pas le meilleur de l'auteur pour moi. Un peu trop cousu de fil blanc, et un peu trop limite dans la tragédie (attention, je spoile pour une fois) d'un fils qui voit sa mère tuer son père (qu'il ne savait pas être son père), et celui qu'il croyait être son père. Racine et Corneille n'auraient pas fait mieux. Par contre le scandale, qui m'était totalement inconnu, des placements d'enfants en Suisse en établissements qu'on qualifiera de douteux jusque 1981 m'a profondément ébranlé, et apporte un fondement très bien amené au livre. En bref, un bon livre, intéressant et qu'on lit aisément.
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Théo est photographe. Après une soirée de lancement d'un futur livre, il reçoit un appel. Sa mère, Nina, a poignardé à plusieurs reprises un homme. Quand il se rend auprès de sa mère, on lui apprend qu'elle ne parle plus à personne. Son état mental doit être analysé pour déterminer la suite de la procédure judiciaire.

Le narrateur va se demander quel est le lien entre cet homme et sa mère. Pour cela, il doit se rendre en Suisse et explorer le passé de sa mère. C'est une photo de sa mère dans un foyer en Suisse qui va démarrer sa quête. 

L'homme qu'elle a voulu tué est un médecin suisse qui travaillait dans ce foyer. En parallèle à la procédure judiciaire qui implique sa mère, on assiste aux recherches de Theo, on retourne dans le passé avec Nina. 

Je pensais que l'histoire allait être classique de l'enfant en quête de la vérité sur ses parents mais en fin de compte j'ai rencontré une héroïne combative, touchante et impressionnante. Un retournement de situation m'a surprise et l'histoire a pris une tournure à laquelle je ne m'attendais pas.

La quête de Théo donne un bon thriller qui m'a fait passé un très bon moment.


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« Qu'à jamais j'oublie » débute par la scène où Nina Kircher, une sexagénaire, poignarde avec violence un homme croisé sur le bord de la piscine de l'hôtel où elle passe quelques jours. C'est brutal et ça met immédiatement la table pour une intrigue bien ficelée par Valentin Musso.
Le fils de Nina, Théo, grâce à une photo retrouvée dans une boite que lui a donnée sa tante, tentera d'en apprendre davantage sur sa mère et de comprendre les raisons qui ont motivé son geste.
Bien que ce roman ne comporte pas vraiment de suspense, j'ai apprécié la lecture de ce roman où je n'ai pu deviner la finalité (quel plaisir!) et qui m'a fait découvrir une terrible histoire de maltraitance d'enfants (comparable à celle vécue au Québec par les orphelins de Duplessis) qui s'est passé en Suisse.
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De Valentin Musso je ne connaissais qu'Une vraie famille, que j'avais dévoré et adoré !
J'étais donc très impatiente de me lancer dans la lecture de Qu'à jamais j'oublie.

Dès les premières pages, même dès les premières lignes, l'ambiance m'a surprise.
C'était très sombre et étouffant, on sent que les personnages de Nina et Théo ont un poids sur les épaules, on les sent malheureux. Ce n'est pas un livre où les personnages vivent une vie assez heureuse et qui, d'un coup, se voient confrontés à un malheur. Non, ici l'ambiance est vraiment anxiogène du début à la fin.
J'ai eu l'impression, à chaque fois que j'ouvrais le livre, qu'une chape de plomb venait se poser au-dessus de moi. Mais c'était tellement bien fait que j'ai adoré cette impression. J'avais hâte d'ouvrir mon livre et de me replonger dans cette écriture si particulière.

Nous suivons donc Théo, photographe à la mode, qui va recevoir un coup de téléphone de la police. Sa mère, Nina, a été arrêtée car elle a tenté d'assassiner un client de l'hôtel où elle passait ses vacances. Rien ne semble la lier à cet homme. Alors pourquoi l'a-t-elle poignardé ? Nina ne dira rien, elle s'est enfermée dans un mutisme que personne n'arrive à lever.
Pour la sortir de là et comprendre, Théo va être obligé de fouiller dans le passé de cette mère distante et mystérieuse dont il ne sait presque rien.

Allant de découvertes en découvertes, j'ai eu le sentiment d'accompagner Théo dans ses recherches. Sentiment aussi de tomber des nues à plusieurs reprises. J'ai aimé les multiples retournements de situation que Valentin Musso a si habilement parsemés. Quand on se dit qu'enfin on a tout découvert, il en arrive encore et encore. le lecteur n'a pas de répit. J'ai parfois eu besoin de refermer le livre et de souffler un peu avant de reprendre.

Les chapitres nous sont tantôt racontés par Théo, tantôt par une jeune Nina. Récit sur deux époques où les découvertes de l'un viennent s'entremêler à la vie (passée) de l'autre.
Les thèmes abordés sont forts, je n'en parlerai pas pour ne rien dévoiler, mais quand on sait que, bien que cette histoire-ci soit un roman, des faits semblables se sont déroulés en Suisse dans les années 50 à 70, cela fait froid dans le dos. Combien de Nina a-t-on croisées dans notre vie sans même le savoir ?

Merci Valentin Musso de m'avoir fait découvrir l'histoire abominablement triste de ces milliers de femmes à travers le prisme de Nina.
Qu'à jamais j'oublie me hantera encore un petit bout de temps.

Petite frustration sur la fin quand même. Je brûle d'envie de savoir…
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Le point de départ du roman est une terrible réalité historique (très proche) qui ne peut que bouleverser le lecteur. le récit fictif est addictif et agréable mais je l'ai cependant trouvé trop romancé, trop prévisible et trop mélo dramatique à mon goût.

La réalité historique :
Jusqu'en 1981, au moins 60000 personnes ont été internées administrativement en Suisse, sans jamais avoir commis de délit, au seul motif qu'elles étaient pauvres, mendiantes, alcooliques, mères illégitimes, réfugiées ou jugées irresponsables, dépravées, rebelles ou fainéantes. Bon nombre de ces personnes ont subi, dans ces centres de "redressement", des violences physiques et psychologiques ainsi que des sévices sexuels.

La fiction :
Théo, photographe reconnu, voit sa vie basculer lorsqu'il reçoit un appel de la police lui signalant la mise en examen de sa mère, Nina, pour tentative de meurtre sur un médecin suisse. Décidé à mener sa propre enquête sur le passé caché de sa mère, il va découvrir de lourds secrets qui vont bouleverser son existence et celle de sa famille...
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