Le photographe habite une société de loisirs consommés. Il y chemine d'habitats nouveaux en centres commerciaux, de stations balnéaires en quartiers de plein air, de parcs de loisirs en zones d'activité. Il campe sa chambre face au bonheur factice d'une appropriation individuelle, au front d'une catastrophe collective dévoilée ou potentielle. Il instruit en tension la beauté généreuse du paysage et la clarté assurée de sa détérioration. Peu importe qu'il s'agisse du... >Voir plus