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sur 3763 notes

Critiques filtrées sur 1 étoiles  
J'avais découvert Olivier Norek en lisant Impact que j'avais bien apprécié.
Mais là trop c'est trop: trop de violences, trop de folies meurtrières, trop de clichés !
J'abandonne mais je ne dis pas que je n'essaierai pas de lire d'autres oeuvres de cet auteur!
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Ce n'est pas le premier roman d'Olivier Norek que je lis et en général, j'aime beaucoup. Il écrit très bien et il montre une réalité qui fait réfléchir. Mais là, non. Je ne peux pas parce qu'il atteint mes propres limites. Je comprends la volonté de dénoncer la situation des habitants de cité, leur désarroi mais c'est trop d'utiliser un petit retraité avec son chat. Là je n'admets plus cette violence, elle occulte tout le reste pour moi et m'a empêché de poursuivre ma lecture. Alors ceux qui aiment Norek, n'hésitez pas à lire Surface par exemple qui est un excellent roman que j'ai adoré, sensible et fin, mais si comme moi vous craignez la violence envers les plus faibles et les animaux, il vaut mieux éviter celui-là. Il m'a retourné le coeur et ce n'est vraiment pas ce que je cherche, surtout dans l'ambiance actuelle.
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Polard banal qui colle trop à l'actualité

C'est sans doute une question de goût ; je connais des personnes qui aiment que les livres qu'ils lisent collent à l'actualité. Moi, J'aime les romans qui me transportent dans un autre monde que notre quotidien. Là, nous avons un maire truand qui choisit ses collaborateurs parmi des délinquants. Nous avons une équipe de flics "classiques" en opposition avec leur commissaire ; un capitaine qui a une aventure avec la légiste ; une rivalité entre la crim. et les stup. ; des gamins qui font régner la terreur dans les quartiers ; des trafiquants de drogue ; des émeutes de rue... et des gentils qui gagnent toujours à la fin. C'est ce qui me fait dire que ce roman est banal.

J'ai tout de même aimé le personnage de Jacques qui trompe bien son monde et qui tire son épingle du jeu, l'air de rien.

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J'ai beaucoup aimé d'autres livres par le même auteur (code 93, surface, entre deux mondes, les brumes (…)), mais je passe à côté de celui ci.

Il y a une histoire, et l'écriture est toujours aussi efficace avec un parfait mélange de descriptions et d'actions, les personnages sont plutôt bien installés. Mais je n'ai pas aimé beaucoup d'autres points : trop réel, trop cru, trop détaillé dans l'horreur et dans les situations. Trop, trop et sans réel intérêt, sans utilité, à mon sens.

Je m'explique.

Par exemple, j'ai adoré l'aigle noir d'un autre auteur: un livre très dur, détaillé, une pelote de fils barbelés que l'auteur s'amuse à intriquer jusqu'à ce que le lecteur puisse la démêler. du même auteur que Territoires, l'aspect cru, sans concessions, la dureté, on les retrouve dans « entre deux mondes » et son horrible plongeon, sans concession, dans la jungle de Calais. Mais dans ce cas, il y a un point, l'auteur utilise cette dureté pour décrire une réalité. Je suis sûr que c'est ce qu'il souhaite faire dans Territoires vis à vis des « territoires perdus de la république », mais la magie épistolaire n'a pas fonctionné pour moi.

Dommage, mais pour moi, ce sera 1/5.
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Ames sensibles, s'abstenir. Je me suis donc abstenu de poursuivre la lecture de ce roman bien avant la moitié. J'avais déjà eu droit à la description longue et détaillée d'une autopsie, au percement d'un genou au moyen d'une foreuse, à la cuisson d'un chat enfermé dans un micro-ondes. Une bombe lacrymogène vidée dans la bouche de la victime a eu raison de ma patience.
Le paradoxe, c'est que j'avais vraiment apprécié deux autres romans de l'auteur, « Entre deux mondes » et « Surtensions ». Mais celui-ci n'a rien de comparable. Même l'intrigue policière m'a déçu, stéréotypée à 'extrême.
Dans un premier temps, j'avais décidé de ne pas coter. Mais à la réflexion, le réalisme, même très violent, peut donner une oeuvre de grande qualité, mais l'exagération à ce point, non ! Cote minimale donc. Un roman pour sadiques ?
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Une enquête dans les milieux de la drogue du 93 où la mairie joue un double jeu pour être tranquille..................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................


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