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4,26

sur 3807 notes

Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Après Code 93, Olivier Norek nous permet de retrouver le capitaine Victor Coste et son équipe, pour mon plus grand plaisir.

Ici, nos héros évoluent dans le monde des cités, des banlieues. Entre caïds des bacs à sable, politicards véreux, flics submergés par des émeutes plus vraies que nature, le lecteur est transporté dés la première page et ne peut pas décrocher.

Vif, ce thriller se lit à toute vitesse. Chapitres brefs, haletants, on tourne les pages sans s'en rendre compte.

J'ai bien apprécié car en plus de suivre l'intrigue, on apprend des choses sur le quotidien des policiers, ce que j'avais déjà aimé dans Code 93.

Victor Coste est un de mes petits chouchous dorénavant.

Je lirai donc la suite de ses péripéties !
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Comme je suis une tête en l'air , je me suis ruée sur le tome 4 des aventures de e Costes..... j'ai lu quelques pages, puis je me suis dit: " t'as oublié de lire le tome 2 et le 3 aussi accessoirement !". Ma PAL étant énorme je me suis auto excusée.

bref j'ai stoppé la lecture du tome 4 pour entamer celle du 2.

Norek est un auteur qui se lit assez bien. C'est assez addictif et puis on se rend vite compte qu'il maîtrise son sujet.
J'ai apprécié les personnages, très travaillés et très réalistes. Même si on peut penser qu'un gamin si jeune ne peut être aussi meneur d'hommes . Même si je trouve la chose un peu poussée a son extrême je dois reconnaître que dans les cités les plus jeunes sont confrontés au pire.

J'ai été assez mal à l'aise avec l'embrassement de la cité. Un par son réalisme et de deux par le fait que c'est quelque chose qui m'effraie. Ce type de chose est pour moi tellement incontrôlable. Déjà quand le moindre uniforme se pointe dans mon quartier et sent la tension dans l'air... alors je n'ose imaginer dans les banlieues.

Donc l'auteur a fait mouche avec ce roman , qui m'a plu, qui m'a sortie de ma zone de confort et qui me donne envie de continuer l'aventure avec Costes...
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No Rek, No bullshit !

"- C'est quoi cette odeur mon capitaine ?
- Ça sent la fumée mon p'tit gars et crois moi y'a pas de fumée sans feu.
- Mais oui, derrière vous, je vois des flammes mon capitaine !
- Oh putain, la cité est encore en train de brûler !".

Chanson Ministère Amer

Des émeutes en banlieue c'est aussi fréquent que l'eau des pâtes, abandonnée sur un feu bouillonnant, qui déborde de la casserole si on ne la surveille pas avec attention. Sauf, si on y pose un couvercle. Et dans ce livre, la police y fait office de couvercle, bien évidemment.

Olivier Norek veut nous faire croire qu'il est flic. Pas du tout. C'est un chroniqueur des banlieues. C'est un chroniqueur du malaise social et racial des villes peri-urbaines.
Car c'est quoi un flic du 9-3 ? Un dirty Harry à l'accent français ? Un éducateur à la matraque bien pendue ? Un agitateur qui remue la merde en attendant qu'elle déborde du verre ? Un casseur de délinquants ? Un médiateur de la paix sociale ? Ou plus simplement un panseur des âmes ?
Un peu tout cela à la fois finalement. Depuis 30 ans, l'État français est dans une dichotomie la plus totale sur le sujet. À la fois désintéressé et horrifié par ce fils bâtard de l'Ile-de-France qu'est ce département. Celui qu'on cache aux invités. Comme la poussière qu'on met sous le tapis mais qu'on ne nettoie jamais vraiment. Trop cher. Trop compliqué.
Norek explique très bien cela d'ailleurs et il faudra lire "Territoires" pour se faire une idée du pourquoi de cette situation. Les explications sont clairs, réalistes. Les maillages de la politique et de ses politiciens sont détricotés, mis à nu, comme une plaie ouverte et béante.
Ce livre fait l'effet d'un noeud coulant qui se resserre autour de la gorge. Etouffant. Et salvateur.

Olivier Norek est un petit génie qui nous propose une vision juste et acérée des problèmes des habitants de ce département et des quartiers. Pas étonnant que les T-6 craquent.

Partant d'un postulat urbain bien ancré sur une base sociale, il nous déroule un film sur nos banlieues. Pas dans le genre cinema d'auteur ni blockbuster. Non, un film qui évite les clichés, ne condamne ni ne juge ses habitants de la cité. Rare et précieux. On apprend plus dans son bouquin que dans n'importe quelle chaîne d'infos ou au journal télévisé. Précieux.

Il faut cependant rappeler qu'Olivier Norek a écrit un roman et pas un essai. Et un excellent roman policier qui plus est.
Cependant, toutes ressemblances avec des personnes ou des situations existantes ne sont absolument pas fortuites. Même si Olivier se sent obligé de créer une ville fictive et de dire Malceny en lieu et place de Bobigny. Probablement pour marquer le coté "fictionnel" de l'oeuvre.

On replonge avec délice au côté du Capitaine Costes et ses équipes dont la rencontre dans "Code 93" avait été merveilleuse. Là aussi, Norek nous délivre un casting impeccable, criant de réalisme quels que soient les personnages. du plus petit au plus grand. Avec beaucoup de profondeur et de bienveillance.

Les chapitres s'enchaînent comme le tic-tac d'une horloge huilée. Un vrai page-turner. L'écriture de Norek est svelte, fine, dégraissée. Pas de fioritures ni de remplissage. L'essentiel, juste l'essentiel. du coup ça glisse, c'est lisse, c'est fluide. Addictif.

Un livre à conseiller, un livre à acheter, un livre à se prêter, un livre à partager ; un livre contagieux en fait.
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Quand on a la tête comme une calebasse, le moral en berne, que les mauvaises nouvelles tombent sur le téléscripteur amical comme à Gravelotte, rien de mieux qu'un bon polar...

J'ai donc repris du service auprès de ma dream team policière -eh oui, dans les bouquins, ça existe! - Je croyais qu'Adamsberg m'avait pris toutes mes facultés d'empathie pour la gent policière.. je ne connaissais pas encore Victor Coste et son équipe ! J'ai donc retrouvé Ronan, Sam et Johanna avec leur chef adoré et toujours un peu en dehors des clous, mais on le suivrait en enfer! Ça tombe bien, j'avais envie d'action!

Ce que j'aime bien, aussi, chez Norek, c'est son réalisme.
Sa façon aiguë de coller aux réalités sociales, économiques et politiques.

 Si Adamsberg , chez Fred Vargas, nous vend du rêve, de la culture et "pellète les nuages" avant d'élucider un crime, Victor Coste , lui , a  les mains dans le cambouis local, les yeux bien ouverts sur son 93 : il  en connait les rouages illicites, l'économie secrète,  il sait ce qui l'irrigue,  et qui s'en dispute les prébendes.

La drogue , il le sait, est l'alpha et l'omega des Territoires oubliés de la république.

Et toute "modification" dans son organisation- le terme est un euphémisme pour habiller crimes, tortures et intimidations musclées-  a une incidence directe sur la vie des cités. Et sur celle de ses édiles.

Ne serait-ce que par les accointances des caïds avec le pouvoir municipal qui achète au prix fort  la paix sociale à ceux qui font tourner la seule économie rentable, si elle n'est pas  avouable , des villes du 93.

 Ces maires ripoux , on en connaît de célèbres, et pas seulement dans le 93! Il est rare qu'ils aillent durablement à la case prison.. même si , parfois,  leur compromission leur coûte cher.

 Si cher, qu'ils sont eux-mêmes amenés à "allumer le feu"...Mais c' est toujours assez dangereux de jouer aux allumettes avec des incendiaires professionnels...

Voilà le sujet, réjouissant et crapuleux , de ces Territoires! Je n'en dirai pas plus!
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Diable que cette lecture fut éprouvante !
Trafic de drogue, violence, corruption, dérive du pouvoir exécutif... tout y est décrit de façon si réelle que j'ai dû faire des pauses pour reprendre mon souffle. Olivier Norek, qui connaît bien la banlieue pour avoir travaillé en Seine Saint-Denis pendant une quinzaine d'années, sait de quoi il parle. Ici pas d'invraisemblances, pas d'incohérences, tout est plausible et ça fait froid dans le dos !
Un thriller hyper-réaliste sur la banlieue, les trafics de drogue et les partages de territoires entre caïds, les compromis décidés ou subis par les politiques municipales ou nationales. Par une écriture directe, un scénario maîtrisé et un suspense soutenu, Olivier Norek décrit et dénonce une France oubliée mais qui se rappelle au bon vouloir des dirigeants quand les débordements arrivent aux portes de la capitale.

Et puis pour accrocher encore plus le lecteur, mais sans jamais prendre le pas sur l'enquête, une équipe de flics sympathique, soudée qu'on apprend à mieux connaître avec ses failles et ses forces et à laquelle on s'attache. Alors, je vais continuer sur ma lancée et ne pas tarder à la rejoindre prochainement dans « Surtensions ».

« A Malceny, dans le 93, on est habitué aux règlements de comptes. Mais un nouveau prédateur est arrivé en ville et, en quelques jours, les trois plus gros caïds du territoire sont exécutés. le capitaine Coste et son équipe vont devoir agir vite... avant que la ville brûle. »
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"Malceny, c'est la plaque tournante de la came pour l'Ile de France. Laouari, Bojan et Souki en étaient les plus gros caïds".

Les trois assassinats sur lesquels vont devoir travailler l'équipe du capitaine Coste à la brigade criminelle, en collaboration avec les stups, annoncent du changement dans la hiérarchie des dealers du département.

Et l'efficacité des services de police dans cette période troublée est également en passe de mettre de sérieux bâtons dans les roues des réseaux de vente de drogue, à tel point que cela pourrait avoir des répercussions en plus haut lieu.

Même à la Mairie de la ville, il faut s'adapter et gérer les événements qui sont en train de poindre.

Mais pour contrecarrer les plans des malfrats et cette nouvelle organisation, il faudrait déjà savoir qui en est la tête pensante.

A mon avis :
Territoires est le deuxième volet de la trilogie des Capitaine Coste, après Code 93 et avant Surtensions.
On y retrouve donc les membres déjà connus du groupe 1 de la Crime : Ronan, Samuel, Johanna et le capitaine Victor Coste.

Si j'ai été très emballé par Surtensions, j'avais également trouvé Code 93 légèrement en deçà par manque de consistance et d'action. Dans le cas de Territoires, on est entre les deux, ce qui confirme l'analyse que j'avais faite du premier volet : Olivier Norek se bonifie avec le temps.

Un opus plus percutant donc, avec de l'action et une intrigue bien menée et bien amenée. Les personnages sont bien encrés également, ils ont de la consistance et de l'intérêt. On se sent près d'eux et impliqué.

Olivier Norek expose aussi ici les problématiques de gestion de certaines villes de banlieue dans lesquelles les caïds ont pris un réel pouvoir et disposent de leviers d'influence jusqu'en haut lieu.

Tout ceci reste très crédible (peut-être s'agit-il d'ailleurs d'éléments tirés de la véritable expérience de l'auteur, qui je le rappelle, est aussi un ancien flic) et permet au lecteur d'entrer dans le récit sans difficulté et d'y être accroché jusqu'à la fin.

Les chapitres sont toujours assez courts, ce qui garantie le dynamisme du récit duquel on a parfois du mal à s'extirper.

Au final, je vous invite donc à vous plonger dans cette trilogie, dans l'ordre d'édition, car même si les trois histoires sont très différentes et peuvent être lues indépendamment les unes des autres, les relations amoureuses et amicales qui participent au récit sont néanmoins suivies d'un opus à l'autre et il est donc plus agréable de les découvrir dans l'ordre.

Du très bon polar à la française donc. Merci Monsieur Norek.

https://blogdeslivresalire.blogspot.com/
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Un roman policier qui ne cherche pas à imiter les américains : très bien. Euh, sauf The Wire, en fait, mais peut-on faire autrement, les problématiques étant identiques ? La Seine Saint-Denis et Baltimore, même combat. Nous disons donc :
-une banlieue sous tension gangrénée par le trafic de drogue. Mais, le trafic de drogue, c'est aussi le sang qui alimente ce grand corps moribond.
-Des enfants-soldats plus durs que l'acier, de jeunes adultes manipulateurs et pervers, des policiers à la situation impossible, mais absolument pas corrompus, des magistrats qui apprennent vite que la vraie vie n'est pas dans les livres de droit, madame la maire et ses acolytes plus machiavéliques que tous les Médicis réunis : c'est le terrain, on fait ce qu'on peut, c'est la jungle, la survie.
-L'Etat : amoral, dominant, se protégeant lui-même, ne connaissant rien du terrain et n'en voulant surtout rien savoir, ne réagissant que s'il se sent tangiblement approché. L' Etat, quoi.
Un livre accrocheur, aux personnages, non pas fouillés, mais qui sonnent juste, et qui donne une leçon de philosophie politique et morale très instructive, sans pour autant tomber dans le cynisme et la noirceur absolus. Moi, j'ai beaucoup aimé. Comme ma copine Calypso qui m'a aiguillée vers le monsieur, je continue avec Olivier Norek.
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Une fois encore, Olivier Norek m'a "mis la fièvre, pendant des heures", avec le deuxième opus de sa trilogie Victor Coste.
Cette fois, le Capitaine de la police judiciaire de Seine-Saint-Denis et son équipe doivent résoudre plusieurs meurtres de caïds de la drogue dans la ville de Malceny ; et tout porte à croire qu'un nouveau cador est en train de réaliser une OPA sur tous les trafics en cours...
Plus qu'un roman policier, ce livre est un roman politique. Il dresse le constat terrifiant et terrible de ces territoires (au sens propre) perdus de la République, où évoluent des enfants guerriers, des grands frères corrompus, des élus locaux cyniques et des flics qui essaient de restaurer un semblant d'ordre sans trop y croire, tandis que l'Etat ferme lâchement les yeux. Au vu de l'expérience de Norek, on peut supposer que ce qu'il raconte relève en partie de son vécu, et ça fait froid dans le dos -et comme je suis heureuse de vivre dans ma petite ville de ploucs provinciale !
J'ai été impressionnée par sa description des conditions d'intervention des forces de l'ordre dans un contexte de guérilla urbaine -et glacée par son aperçu des petits arrangements politiques à visée électoraliste. Et puis, c'est avec plaisir que j'ai retrouvé Coste, ses beaux yeux bleus tristes, et son équipe sympathique et soudée ; Coste le flic qui ose : "Il y a ce que le Code pénal te dit de faire, et il y a ce qui est juste de faire." Hum, j'ai parfois eu l'impression de lire une réclame pour la maréchaussée, tant ces représentants de la PJ font rêver par leur idéalisme et leur humanité. Mais dans ce roman, j'aime leur abnégation.
Toutefois, je regrette que comme dans "Code 93", l'auteur embrasse trop de sujets à la fois sans pouvoir tous les développer ; ça part parfois un peu dans tous les sens -mais au regard de la qualité globale de ce livre, de son suspense et de ce qu'on y apprend, mon reproche est mineur.
Ca se lit rapidement, fiévreusement... et j'ai hâte d'entamer le troisième opus.
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En l'espace de seulement deux romans, Olivier Norek a marqué de son empreinte le territoire du polar français. Après un Code 93 très remarqué, il imprime définitivement le terrain du polar / thriller urbain avec ces Territoires.

L'auteur est lieutenant de police à la section enquêtes et recherches du SDPJ 93. Autant dire qu'il sait de quoi il parle, lorsqu'il dépeint le microcosme des cités et des villes qui les « accueillent ».

Comme il l'explique dans ses interviews, la plupart de ce qu'il décrit est vrai, rajoutant le liant qui permet aux (bons) auteurs de raconter une vraie histoire.

C'est ce qui frappe de prime abord et met aussi mal à l'aise : ce que Norek nous narre n'est pas un conte mais bien une réalité dérangeante sous couvert de fiction. Croyez-moi, vous en apprendrez davantage dans ce roman sur la vie des cités, et sur la manière dont les politiques gèrent le phénomène, que dans n'importe quel reportage.

Je dois l'avouer, avant de me plonger dans l'univers Norek j'ai eu quelques craintes de n'y trouver qu'une accumulation d'anecdotes de flic. Inquiétudes infondées et vite balayées. Olivier Norek est un vrai auteur, sa plume est juste et ses histoires sont vivantes.

L'écrivain a mis son expérience au service d'un vrai talent à décrire une enquête passionnante et suffisamment originale pour sortir du flot de romans du genre. Et il a réussi à dessiner de vrais personnages, forts et distinctifs, qui se fondent au sein d'une équipe épatante. Car il faut bien une équipe pour tenir la distance face aux malversations des « méchants » et des « bons ».

Dialogues dynamiques, humour présent, rythme soutenu, surprises et tension… Les ingrédients du bon roman de genre sont bien là et intelligemment utilisés.

Norek maîtrise l'art de l'anthropologie urbaine. Il arrive avec habileté à nous tenir en haleine et à nous divertir. Un polar distrayant donc, et dont on sort différent, davantage connecté à cette société où la lutte de pouvoir pousse aux pires extrémités. Il y fait s'écrouler nos derniers pans de naïveté, face au système vicié qui nous encercle.

Un bon polar qui glace et fait cogiter, voilà une mixture plutôt réjouissante pour les amateurs du genre (et les autres aussi).

Le livre en un mot : Vicié
Lien : https://gruznamur.wordpress...
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C'est un polar social et politique que nous concocte Olivier Norek. Cet auteur est le chouchou de la bibliothécaire qui anime nos soirées de "rencontres lectures" de la médiathèque. "Beau gosse, gentil", c'est ainsi qu'elle parle de cet ex-flic reconverti dans l'écriture de romans policiers, rencontré lors d'un salon du livre. Irrésistible ....

j'ai donc succombé à cette offensive markéting, s'en suit une plongée dans une passionnante enquête menée tambour battant par Victor Costes et son équipe dans une cité du 93, minée par le chômage, les trafics, la corruption, les guerres de territoires des parrains de la drogue. Le livre à peine ouvert, et ce sont trois morts qui vous accueillent, dont le mystère du meurtre happe vos moindres moments de disponibilité.

Chaque page se laisse dévorer comme une gourmandise, tellement vous avez envie de connaître le fin mot de l'histoire. C'est vivant, plein de dialogues savoureux et d'humour léger .

Les liaisons dangereuses des politiciens et des petites frappes de banlieue pour la paix sociale sont à peine exagérées. La loi et la justice ont-elles encore une place dans ces territoires où règne un climat délétère ? Vous le saurez en suivant les déductions de cette équipe de flics généreux solidaires et humains, c'est un très bon polar.
Maintenant j'ai envie de lire Code 93 .
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