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Lu en 2017. Un court roman autobiographique ou les confessions d'un ancien non-lecteur, repenti depuis, transfiguré par l'amour.
Il faudra 21 ans à Mikaël Ollivier pour découvrir qu'il aime lire. Un récit sur la quête d'identité, sur le mal-être adolescent, la culpabilité, la libération par la parole et, surtout, par l'image (cinéma)... Quelques touchants passages, mais pas assez pour m'enthousiasmer totalement.
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Biographie de l'auteur, sa jeunesse à sa vie d'aujourd'hui.
Comment dire ? Je pensais que ce livre aller aider certaines personnes à aimer la lecture… mais malheureusement non… on peut s'inspirer de l'auteur mais sans plus. Je suis légèrement déçu même si l'histoire reste bien. La couverture ne donne absolument pas envie de lire ce livre mais c'est ce qui le rend d'autant plus intriguant. Lisez et vous verrez, faites votre propre avis !
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Je n'ai vraiment pas adhéré à ce témoignage de Mikaël Ollivier. Car oui, c'est un témoignage de l'auteur sur son parcours de lecture, et comment il est passé de l'enfant "non lecteur" à celui qui est devenu auteur.
Bon... Déjà, je ne suis vraiment pas convaincue que ce soit un livre jeunesse, je ne vois pas les jeunes lire ça, et surtout pas ceux qui ne sont pas lecteurs. Je ne vois pas en quoi le discours sera inspirant pour ceux qui n'aime lire. Je me doute que dans la jeunesse de l'auteur, la littérature jeunesse était quasiment inexistante mais... La plupart des titres évoqués sont aujourd'hui des prescriptions scolaires, les titres mêmes qui donnent de l'urticaire aux jeunes. le pire, c'est qu'il évoque ce problème au début pour ne pas vraiment critiquer l'école et le rapport à la lecture au final. Bon. Un acte manqué j'imagine. D'autant plus que la plupart de ses avis sur la vocation, l'art, c'est bien jolie mais... La réalité est loin d'être aussi idyllique que ça. Tout le monde n'a pas les mêmes opportunités. L'envie, la détermination sont importantes, c'est vrai, mais ce n'est pas toujours suffisant. Bref.
Je ne m'attendais pas vraiment à un témoignage au départ, je pensais que ce serait un roman. Et je suis désolée de le dire, mais son parcours m'a laissé de marbre. Encore une fois, j'ai eu l'impression de perdre mon temps, et ça m'a vraiment refroidit pour découvrir l'auteur pour ses autres écrits.
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Voilà un roman à ajouter aux listes de "récits au je" dans les CDI de collège. Ici c'est l'auteur qui nous raconte son ouverture aux livres, celui qui a servi de déclencheur alors qu'il était récalcitrant à la lecture. Tout le contraire de son frère qui dévorait les bouquins. Mais ce n'est pas vraiment par mimétisme que l'auteur s'est ouvert à la littérature. Et pourtant il est devenu lui-même écrivain. Une façon de montrer à nos élèves "j'aime pas lire !" que rien n'est jamais perdu. Et à nous, professionnel·les du livre, de savoir trouver la clé qui va les ouvrir à ce monde merveilleux. le meilleur des challenges. Et peut-être bien que le roman de Mikaël Ollivier pourrait nous y aider !
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Un très bon texte, dans une collection jeunesse, et qui serait fort utile aux adultes surtout me semble-t-il.
J'ai lu plus de quinze romans de Mikaël Ollivier, tous excellents.
À travers son expérience, il nous montre ici comment tout ce qui se fait autour de la lecture, en classe voire à la maison, est plus souvent décourageant qu'encourageant.
Il nous parle de sa jeunesse, et c'est aussi intéressant que ses romans. Sans ordre chronologique, on le voit cependant se tenir loin des livres d'abord, puis s'en approcher, avant d'y tomber dedans.

Un début sur le destin : que serait-il arrivé si ..., avec plein d'options différentes. de bonnes pistes de réflexion !
Je n'ai jamais eu le plaisir de rencontrer Mikaël Ollivier, je vais hélas peu dans les salons, et je ne sais pas si ses enfants s'appellent réellement Madeleine et Camille. Ça évoque tellement la Comtesse de Ségur !

J'avais déjà lu ce texte il y a près de vingt ans. J'ai beaucoup aimé cette collection "Confessions" De La Martinière. J'y ai découvert de façon intime et passionnante une dizaine d'auteurs jeunesse. Je suis heureuse de cette réédition, j'espère que d'autres suivront.
Je regrette par contre le changement de couverture, je trouvais la précédente bien plus attrayante (mais bien sûr, les photos en première de couverture, ce n'est plus à la mode en jeunesse).
Et j'aimais aussi que ce soit bien identifié avec la mention "Confessions".
Mais n'hésitez surtout pas à lire et faire lire ce livre, il en vaut vraiment la peine.
Lien : https://livresjeunessejangel..
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Daniel Pennac dans Chagrin d'école relate la souffrance du cancre qu'il était dès l'enfance et qui est parvenu à devenir professeur , puis écrivain.
Mikaël Ollivier,lui, c'est à l'adolescence que les choses se sont gâtées, mais dès le début l'école a su éliminer toute notion de plaisir de l'acte de lire. Il n'était donc pas un lecteur, contrairement à son frère aîné.
C'est par le biais du cinéma, et de ses adaptations de romans qu'il le deviendra et dans la foulée, il écrira des romans, ce qui lui permettra de rencontrer sa femme, ce qui n'est pas rien.
J'ai beaucoup aimé découvrir de l'intérieur comment un élève apparemment sans problèmes, devient un "décrocheur"et la manière positive dont ses parents mais aussi la principale du lycée ont réagi.  Un récit autobiographique classique mais intéressant. Une réédition d'un texte de 2004.
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J'aime bien le livre il est drôle et bien treskgfdkwgfsgxhwwkwlhxhwkfwlhxmjfltsktwljfkdkdljclwkgjclwkgxlhflwktdktdltdtdtddltdkgfldktdlflydlyflflflyflyflflyflydiydlyfktktdkydkdlydylldnhdlysktsktdktsktsktsjtststeyeitditeieoyditeo6eoyedldlydfkdylykdfghy
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ENVOUTANT est le premier mot qui me vient à l'esprit.
Et oui, je l'ai lu d'une traite, j'ai été hypnotisé par cette lecture.
L'auteur nous parle de l'importance de la lecture, tout en y ajoutant l'importance de nos choix.
Faisons nous les bons choix ?
Il n'est jamais trop tard, même si on n'a pas pris les bons.
Je me suis régalée
J'ai trouvé ce roman dans une boite à livre et c'est une très belle découverte pour moi

Un roman d'une très grande originalité, j'adore.
Et vous ? Vous l'avez lu ? Aimé ? dites moi tout.
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Vous avez tous déjà entendu un enfant ou un adolescent prononcer cette phrase sans appel : « Moi, j'aime pas lire. » Pour un amoureux des livres, c'est toujours difficile à entendre et à concevoir… et pourtant ! La littérature est un apprentissage et l'intérêt porté aux livres n'est pas inné. On ne naît pas lecteur, on le devient, avec plus ou moins de facilité, et c'est ce processus qui est le point de départ du roman de Mikaël Ollivier, Celui qui n'aimait pas lire. Dans cette courte autobiographie, le romancier et scénariste revient sur l'opposition fraternelle qui a marqué son enfance : tandis que son frère dévorait Guerre et Paix, lui souffrait des lectures scolaires obligatoires, des dictées et des récitations. Au lycée, il s'est même débrouillé pour ne pas lire les oeuvres au programme du Bac. Il a fallu attendre des études de cinéma pour que naisse cet intérêt pour la littérature qui ne le quittera plus…
Celui qui n'aimait pas lire est une lecture plutôt sympathique, mais je dois dire que je m'attendais à quelque chose d'un peu plus fouillé en débutant ma lecture. Si l'on cherche une réponse à la question « Comment donner le goût de lire ? », ce roman n'est sans doute pas le plus indiqué ; il livre cependant une expérience intéressante sur ce thème, avec quelques passages qui prêtent à sourire et à réfléchir. La sincérité et l'humour de l'auteur affleurent tout au long du récit, c'est toujours appréciable !

Lien : http://aperto-libro.over-blo..
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Un ouvrage de la collection « Confessions » chez La Matinière jeunesse où les auteurs s'adressent à leurs lecteurs et évoquent, entre autre, leur adolescence.
Mikaël Ollivier a choisi de nous raconter comment et pourquoi il n'aimait pas lire : l'emploi de l'imparfait est important puisqu'à présent cela a bien changé !

Le texte est découpé en plusieurs étapes pas forcément chronologiques, plutôt thématiques. le ton est simple, très accessible et sincère, avec sa touche d'humour personnelle. Il n'omet pas de nombreuses références littéraires et cinématographiques dont on retrouve le détail en fin d'ouvrage.
L'auteur nous offre également sa philosophie de la vie, sur la vie et c'est très intéressant, en toute humilité. Je pense que cela peut faire écho dans le coeur des ados dont certains peuvent s'y retrouver vraiment. Une expérience de vie en somme, un exemple parmi d'autres. N'est-ce pas le but recherché des livres ?
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