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3,76

sur 514 notes
Voici ce qu'écrit l'IA de Wordpress sur ce livre :

"C'est une chose étrange à la fin que le monde est un essai philosophique écrit par Jean d'Ormesson, qui suscite de profondes réflexions sur la condition humaine et notre place dans ce vaste univers. L'auteur nous invite à contempler les mystères et les merveilles de la vie, tout en questionnant la signification de notre existence. À travers des réflexions personnelles, de grandes questions métaphysiques et une prose élégante, ce livre incite le lecteur à remettre en question ses croyances et à explorer les vérités universelles. En lisant cet ouvrage, vous serez transporté dans un voyage intellectuel fascinant qui vous fera réfléchir sur la complexité et la beauté du monde qui nous entoure."

L'IA a sans doute été achetée par l'éditeur Robert Laffont...

Voilà ce que j'en pense :

C'est l'histoire d'un écrivain qui se met à considérer d'un coup sa mort comme seule perspective à peu près certaine, une sorte de rendez-vous à inscrire sur son agenda, sauf qu'il ne sait pas bien à quelle date. Essai sur le sens de la vie, ce livre au titre improbable se veut la synthèse d'une connaissance livresque et l'expérimentation d'une vie. Derrière la fausse modestie de Jean d'Ormesson connu pour ses manières de ne pas y toucher, synthèse presque parfaite entre les stoïciens et les épicuriens, se cache une oeuvre ambitieuse et qui à mon sens manque son but.

Le texte en deux parties, au terme d'une évocation de l'histoire de la pensée et de la physique, perd toute sa saveur pour sombrer dans une somme de propos de comptoir sur Dieu et qui serait bien fade sans la prose allègre de l'auteur. Abuserait-il de phrases pleines de mots, habiles passe-passes littéraires, mais vides de sens ?

Petit florilège :

"Dieu existe-t-il ? Dieu seul le sait."

"Nous ne savons rien de l'avenir. Sauf une chose : nous mourrons tous."

"La vie est belle. Il lui arrive d'être cruelle."

"L'histoire est la forme que prend le temps pour forger l'histoire des hommes."

"Les hommes font l'histoire mais ils ne savent pas l'histoire qu'ils font."

"Le soir vient. La nuit tombe. Les astres sont là."

Après quelques centaines de ces pages parsemées de propos aussi impressionnants et de bons mots d'académiciens, la question qui me revient est : à quoi bon ?

Oui, si le désespoir sur le sens de la vie vous étreint à quoi bon préférer ce livre à celui d'un excellent Cormack Mc Carty par exemple ? Et si ce livre qu'était que l'expression de l'égo gentil d'un esprit sans aucun doute très doué, un propos répété à l'envie. L'optimiste réaliste de jean d'O me parait une équitation artificielle, un produit sur étagère (ie marketing) comme un autre, destiné à un public qui, mettons carte sur table, a sans doute son âge, dont les 30 glorieuses ont été l'âge d'or, qui a vu avec quelle rapidité que ce qu'ils avaient connu est devenu vite obsolète, et qui face à la certitude de sa fin dernière tente encore de garder le sourire et un soupçon d'espérance.

Bel effort.

L'index de noms qui s'étend sur une dizaine de pages est très instructif car il montre les nombreuses références culturelles de l'auteur (de Kierkegaard à Tintin) et dévoile la vanité de cette pensée qui, pour échafauder cette réflexion, a dû se nourrir d'une telle somme d'intelligence. le tout serait-il plus que la somme des parties ? Pas certain en fait.

En tout cas, c'est en parlant des autres que l'auteur est le plus intéressant. Les citations sont excellentes. Je ne savais pas que les opérettes d'Offenbach étaient des livres. En tout cas, la liste de son best of qui est comparable à une liste de livres d'été à lire pour les prépas littéraires crée un contraste troublant dont cet ouvrage ne sort pas gagnant. Jean d'O, bon joueur, en accepte l'augure mais se console en expliquant que pour lui ce livre était extra. Ouf, cela fait au moins un heureux.

T. Sandorf
Lien : https://thomassandorf.wordpr..
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Assez surpris par le style naïf, genre grand enfant de ses analyses.

Si on cherche des listes de mots, c'est un parfait refuge.

La fausse conversation dieu/homme devient lassante rapidement.

On en retient que Jean d'Ormesson aime le soleil De Grèce et pas le froid, et qu'il aime faire des listes.

Il aime aussi parler de ce qu'il ne connait pas avec des approximations plus que douteuses ...

Et aussi, je pense qu'il aime les listes.
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Oui, avec Dieu qui prend la parole pour développer les réflexions de l'auteur, avec "Le rêve du Vieux" (Dieu) et "Le fil du labyrinthe" (l'auteur qui déroule, en effet, le fil depuis la création du monde jusqu'à l'avenir le plus lointain ou envisageable), dans la première partie qui couvre les 143 premières pages, je me suis absolument "régalée" à la lecture à la fois légère, profonde, savante, poétique, - quel dithyrambe, mais pourtant mérité - de ce nouveau petit chef d'oeuvre.

J'avais craint que ce nouveau roman ne ressemble, par certains aspects, au précédent, "Qu'ai-je donc fait", que j'avais lu avec délices et qui parlait, lui aussi, de la création de l'Univers et des rapports de l'homme avec Dieu. Or, il n'en est rien, et ce livre est une profonde réflexion sur le Monde, bien sûr, sur la place de l'homme dans l'univers, sur la vie, sur la mort. Une thèse et une synthèse des savants et philosophes de tout temps qui ont essayé de donner une explication à la création du monde : aucun ne manque, et même ceux que la plupart d'entre nous ne connaissaient pas, apparaissent, et nous étonnent.
Beaucoup d'humour, quand "Le Rêve du Vieux" s'exclame "Poussière d'étoiles, mon cul" (p.106), et qui remercie, pour conclure, la main d'un homme qui a effacé, sur les murs d'une université américaine,le fameux "Dieu est mort signé Nietzsche", pour écrire "Nietzche est mort, signé Dieu". Dieu s'amuse et s'étonne, argumente et s'attendrit ou s'agace, tandis que "le fil du labyrinthe" expose les croyances, progrès, errances, exploits ou erreurs de ceux qui ont essayé de comprendre et d'expliquer.

La seconde partie, intitulée "Pourquoi y a-t-il quelque chose plutôt que rien", rend la parole à Jean d'Ormesson, toujours disert, brillant, réconfortant aussi. Il s'étonne, il s'émerveille devant les multiples aspect de la Création, et nous invite à jouir de la vie, qui est Beauté avant tout, et fait naître ce sentiment d'admiration. Il s'interrompt pour nous dire qu'il est agnostique et qu'il s'interroge pour comprendre. Dans cette seconde partie, un long développement sur tout ce qui touche à Dieu et au Monde, partie structurée par plus de quarante "titres" qui suscitent un intérêt majeur et inattendu :"le monde est un roman", "le temps est un mystère","la réalité est un rêve", "le monde est une énigme", "l'être est et c'est assez". Bref : "Dieu existe-t-il ? et "qu'y a-t-il après la mort ? Voilà les questions essentielles.

La dernière partie, "La mort, un commencement ?" nous amène à nous transcender, à devenir meilleurs. La bonté de l'auteur perce à travers toutes les lignes, lui qui a foi en l'homme et qui nous incite à l'aimer. S'il ne croit pas vraiment en Dieu, il écrit cependant "Je doute de Dieu parce que j'y crois". Et s'il devait croire en une seule chose, plus qu'en les mots mêmes qui sont pour lui sa raison d'être, il ne devrait croire qu'en Dieu !
Dans les dernières pages, il s'exclame, empli de la joie du Monde et de l'espérance, "tout est bien :" Une telle posture, une telle ouverture et sincérité, voire naïveté, de sa part, nous font éprouver pour lui une grande sympathie, qui est sans doute celle qui devrait unir tous les habitants de notre planète.

Il y a, en effet, un tel amour de notre monde, de tous ces hommes, grands et petits, sentiment servi par un style toujours étonnamment beau (malgré l'âge qui avance...), limpide, sincère, que nous avons parcouru cet ouvrage avec une grande joie au coeur. Car le talent ou le génie de Jean d'Ormesson, c'est de nous rendre la joie de vivre quand nous sommes tristes ou inquiets. Lui nous rassure toujours. Il est tel que nous le voyons à la télévision : calme, ouvert au dialogue, convaincant, apaisant, étonnant. Avec lui, tout est possible.

Certains lecteurs ou critiques pourront lui reprocher de faire étalage de sa culture ou d'être trop narcissique. Qui ne l'est pas, d'une façon ou d'une autre ? Cette ostentation, qui n'est en fait que le support d'un développement intime n'ayant pas d'autre but que toucher aux universaux, est rachetée par ce ton de confident nous assurant que nous sommes véritablement ses amis, nous lecteurs, et qu'il est, lui, assurément, aussi notre ami et notre frère, celui qui connaît les questions que nous nous posons tous, auxquelles il apporte des réponses sensées, humaines et poétiques.

Je recommande chaudement ce livre, qui a le mérite de plaire et de toucher, de nous rendre plus gais et plus forts, plus confiants également en nous-mêmes et en l'Homme, tout en nous instruisant.
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C'EST UNE CHOSE ÉTRANGE Á LA FIN QUE LE MONDE de JEAN d'ORMESSON
Mon premier livre de ce célèbre académicien et je dois dire que le propos comme le style m'ont séduit. Interrogations sur le monde l'homme dieu le big bang tout y passe avec une grande intelligence. Un humaniste. Une très belle lecture.
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Bien que n'ayant jamais fait ici de critique d'une de ses oeuvres, je suis assez admirative du travail de monsieur D Ormesson. Et du personnage qu'il était... J'ai donc emprunté cet ouvrage à la bibliothèque.

Ceci n'est pas un roman, du moins pas tel qu'on l'entend normalement. Ce n'est pas non plus un essai. Il s'agit des réflexions d'un homme sur la vie, L Histoire et Dieu. C'est du d'Ormesson pur et dur, fin lettré et un brin chenapan... Bref j'ai beaucoup aimé.
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Cet essai nous balade au travers des grandes questions existentielles : l'être, la vie, la mort, le sens… Somptueuse errance d'érudit, il passe par l'histoire de l'Univers, de la vie, de l'Homme, des mythes...
On y trouve une histoire de la notion de Dieu. Comme Albert Einstein, le prestigieux auteur de cet ouvrage utilise, pour cet être hypothétique, l'appellation familière "le Vieux", mais pour autant, à mon sens, cela ne le lui rend pas plus proche que pour n'importe qui...
La promenade nous amène auprès des penseurs qui, tout au long de l'histoire, ont cherché des réponses à ces questions fondamentales posées à l'humanité. Un chapitre est même intitulé "Pourquoi y a-t-il quelque chose au lieu de rien ?".
J'ai beau savoir, ou me douter, qu'il n'existe pas vraiment, pour l'instant, de réponse fiable à ces questions, de solution rigoureusement démontrée à ces problèmes, je n'ai pas pu m'empêcher, à la lecture de ce livre, d'éprouver quelque chose qui ressemble à de la déception. Sans me l'avouer, j'espérais trouver un peu plus d'idées personnelles de l'auteur et peut-être même – qui sait ? – quelques idées nouvelles…
J'attendais, sans doute un peu naïvement, une réflexion plus approfondie à propos des mécanismes de l'Univers et des hypothèses pour tout ce qui se trouve au-delà des frontières de nos connaissances actuelles. Je n'ai trouvé qu'une sorte de rêverie poétique construite sur la base d'un récit bibliographique prolixe. le tout me laisse une impression d'artificialité. C'est brillant, mais artificiel !
L'auteur considère ce livre comme un roman. Il écrit : "L'univers tout entier, avec tout ce qu'il contient, est un roman fabuleux. C'est pour cette raison, et non pour attirer le chaland, que les pages que vous lisez se présentent sous la rubrique : "roman"." J'aurais tendance à le considérer plutôt comme une sorte d'exposé bibliographique impersonnel.
Cette sorte d'exercice de style érudit me laisse sur ma faim. En l'occurrence, comme chaland, je n'ai pas été bon public.
Une chose étrange à la fin que ce livre !
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1ere phrase
Un beau matin de juillet, sous un soleil qui tapait fort, je me suis demandé d'où nous venions, où nous allions et ce que nous faisions sur cette Terre.

Pour une fois, je commence par la première phrase car elle se trouve expliquer le contenu de ce roman.

Dans la première partie, intitulée « Que la lumière soit ! », le rêve du Vieux (suivant votre inclinaison, vos croyances il aura un nom différent) et le fil du labyrinthe s'entrelace pour raconter la création du monde… ou du moins des versions évolutives de cette création. C'est assez fascinant. On y voit l'évolution du monde et la montée en puissance de la science qui peu à peu permet d'expliquer certains phénomènes. En parallèle le Vieux observe et commente. C'est un bon rappel de l'évolution des sciences et de la philosophie. C'est tendre et ironique. C'est bien écrit.

Néanmoins, c'est très occidentalisé, quid des autres visions du monde et de leurs connaissances scientifiques. C'est certes intéressant de revoir les différentes théories scientifiques et les doutes des hommes tels que Darwin. Mais est ce nécessaire pour la démonstration d'étaler les chiffres et les données, mais pourquoi ne pas parler de toutes les tracasseries subies par ces hommes de science du fait de la religion. Il y ait fait une vague mention des US mais c'est très rapide comparé à la définition d'une année lumière, de la vitesse de cette lumière (8 mn pour venir du soleil à la Terre)… Je regrette ce choix très politiquement correct. Je trouve que cela aurait donné plus de force à sa démonstration. Enfin voyons ce que nous réservent les autres partis avant de tirer une conclusion sur ce roman.

Quelques phrases de cette première partie.

D'où nous venons ? de très loin. Derrière moi ; il y avait des fleuves de sperme et de sang, des montagnes de cadavres, un rêve collectif et étrange qui trainait sous des cranes, dans des inscriptions sur des pierres ou du marbre, dans des livres, depuis peu dans des machines – et que nous appelons le passé. Et des torrents, des déserts, des océans d'oubli.

La science d'aujourd'hui détruit l'ignorance d'hier et elle fera figure d'ignorance au regard de la science de demain. Dans le coeurs des hommes, il y a un élan vers autre chose qu'un savoir qui ne suffira jamais à expliquer un monde dont la clé sécrète est ailleurs.

La seconde partie (pourquoi il y a-t-il quelque chose au lieu de rien ?) est dédiée à la genèse de ce livre. Il y est question de la nature du temps, de la mort, du mur de Planck (mini espace avant le big bang). L'auteur nous livre ses gouts, ses questionnements à l'origine de ce livre. Il nous fait part de ses doutes sur l'existence d'un dieu mais en même temps sur son espérance que peut être quelqu'un ou quelque chose existe car le monde en perdant la foi aurait aussi perdu l'espérance. C'est sans doute réducteur puisque l'auteur ne parle pas de l'impact des religions même s'il ne nie pas les aspects négatifs de ces religions. Il parle d'un point de vue macro et on peut être d'accord sur la disparition de l'espérance mais attendre un lendemain qui n'existe pas. Est-ce la seule solution ? Et puis si cela finit par signifier qu'il ne faut rien changer et tout subir…

In fine, un livre intéressant qui révèle beaucoup de l'auteur. C'est le livre d'un homme qui a été gâté par la vie. Peut être est ce aussi les questionnements d'un homme et de ses pensées à la fin d'une vie aisée. C'est un mélange de savoirs sur l'évolution de la science, de ses tâtonnements et de ses éclaircissements. Il y est aussi question de philosophie.

Par contre je regrette que ce livre soit autant focalisé sur l'occident. Je trouve vraiment réducteur de ne voir le monde de ce seul coté.
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Un peu déçue,
J'aurais aimé que le texte soit lu par monsieur D' Ormesson, ses textes ont bien plus, de charme et d'impact quand il y met sa fougue verbale.
C'est une causerie-réflexion au coin du feu qui reprend des notions déjà bien connues mais exprimées et illustrées par la verve de monsieur D Ormesson
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C'était ma première lecture d'un ouvrage de Jean d'Ormesson et j'ai été un peu déçu.

J'avais déjà eu l'occasion à plusieurs reprises d'écouter l'auteur et son ouvrage reflète son érudition et sa façon de s'exprimer. Peut-être un peu trop en fait.

Les thèmes abordez sont très intéressant mais traiter en permanence de façon superficiels. C'est l'objet même du livre, une sorte de testament, mémoire de l'auteur et ode à la vie ou plutôt à sa vie.

L'auteur ne peut s'empêcher de faire une citation ou de citer un auteur toutes les pages. L'index des lieux et des personnes est impressionnant, on dirait un recueil pour une « bibliothèque idéal ».

On apprendra beaucoup de choses intéressantes de l'antiquité à nos jours, en passant par la naissance de l'univers, la mort, la religion etc. les concepts abstraits abordés nous paraisse très accessible et on y apprend forcément des choses mais sans allez trop loin. On s'arrête au seuil de chaque auteur ou de chaque citation.

On ne saura pas ce qu'il y a avant le Mur de Planck ni après notre propre mort, mais ces thèmes sont abordez parce que l'auteur c'est posé ces questions comme beaucoup d'entre nous.

Personnellement je préfère les ouvrages d'Hubert Reeves sur ces thématiques de naissance de l'Univers.

Jean d'Ormesson cite tellement d'auteurs, dans de nombreux domaines, que chacun y trouvera quelques choses. le livre se lit vite, il est très aéré. Une fois qu'on est rentré dedans on a envie de le finir malgré ses défauts.
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C'est une mine de renseignements diffusés comme si de rien n'était avec la légèreté habituelle de jean D'Ormesson et une construction originale de ping pong entre l'auteur et "le Vieux", qui apporte un brin de malice rafraîchissant et jouissif. Car ce monde est d'une telle complexité que , plus on le connaît, moins on le comprend et l'auteur nous conduit jusqu'au précipice des questionnements qui donnent le vertige, comme "pourquoi y-a-t-il quelque chose au lieu de rien?" On en sort essoufflé de surprise et presque d'angoisse, mais aussi enrichi d'un foisonnement d'informations et de possibles qui dépassent notre petite imagination. Nous n'avons aucune réponse à toutes nos questions existentielles, mais quel voyage! dont on ressort encore plus plus perdu qu'en partant, mais tellement ébloui par la force tranquille de l'auteur !
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