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4,1

sur 634 notes

Critiques filtrées sur 3 étoiles  
Pour lancer sa collection « Fauteuse de trouble », Vanessa Springora (dont je recommande vivement « le Consentement ») donne la parole à Eloïse Delsart, alias Ovidie. « La chair est triste hélas » inaugure donc cette nouvelle collection des éditions Julliard qui réunira des textes écrits par des femmes, consacrés à la sexualité et à l'émancipation.

Force est de constater qu'Ovidie fait non seulement honneur au nom de cette collection en livrant un texte rageur et percutant, mais qu'elle respecte également à merveille le cahier des charges en partageant les raisons qui l'ont poussée à se lancer dans un grève du sexe avec les hommes. En se soustrayant au modèle hétérosexuel depuis quatre années, l'autrice explique vouloir remettre en question l'entièreté de ce système mis en place et entretenu par les hommes. En disant non à l'acte sexuel pénétratif, elle cherche surtout à reprendre possession de son propre corps, trop souvent considéré comme marchandise transactionnelle dans une société patriarcale où les femmes n'ont que rarement l'impression de « baiser gratuitement avec les hommes ».

S'il faut saluer l'honnêteté de ce texte particulièrement courageux qui a le mérite d'appuyer là où cela fait mal et qui contribuera, je l'espère, à changer les mentalités, je regrette cependant son côté trop manichéen, voire même parfois caricatural. En servant d'exutoire à la colère, au ras le bol et à l'amertume de l'autrice, ce discours finit par tomber dans un radicalité trop extrême. Mettre trop de gens dans le même sac n'est jamais bon et me retrouver logé à la même enseigne que les pires obsédés sexuels et que des gros pervers sautant sur des gamines ayant l'âge de leurs filles n'est pas forcément agréable. Alors certes, la gente masculine est à pointer du doigt et tous les hommes ont inévitablement commis des fautes qui contribuent à entretenir le modèle hétérosexuel actuel, mais sombrer dans les extrêmes n'est jamais bon et a souvent tendance à agrandir les fossés au lieu de les combler.

Ce déversement excessif de haine à l'égard de la gente masculine nuit donc à la pertinence d'un message de fond qui invite à une prise de conscience et à un changement des mentalités qui, lui, se doit radical. C'est dommage, surtout lorsque l'on constate le changement de ton en fin de roman, au moment où l'autrice évoque le suicide de son grand frère suite à un chagrin d'amour, alors qu'elle n'avait que seize ans. Ce passage plus introspectif, construit sur un amour fraternel fort et jamais remplacé, démontre la capacité de l'autrice à émouvoir sans rechercher à bousculer à coups d'extrêmes.

Je souhaite donc longue vie à cette collection, nécessaire dans un monde où il faut changer les mentalités, mais sans être fan de la forme de ce texte, au fond certes pertinent, mais libérant trop de haine dans un monde qui en déborde déjà.
Lien : https://brusselsboy.wordpres..
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J'ai aimé ce livre pour son honnêteté, sa modestie, son intelligence émotionnelle. Des expériences décevantes, une aspiration à la non mixité - la non mixité choisie, comme une délivrance du poids de l'hétérosexualité qui organise les rapports sociaux, et trop souvent les ternit et les appauvrit dans des jeux de rôle stéréotypés : dévalorisants pour la femme dans son rôle de dominée codifié par le collectif, et pour l'homme aussi, peu conscient qu'un regard témoin de toutes ses petites (et grandes) bassesses est posé sur lui jusque dans la passion amoureuse : vénération de sa queue autour de laquelle il tourne en toute occasion et voudrait faire tourner les autres ; sentiment de légitimité pitoyable (quand il n'est pas violent); manque d'hygiène récurrent d'un très grand nombre, qui constitue l'irrespect de plus (de trop) : mains pas lavées, sexes négligés.

Ovidie n'est pas dogmatique. Elle fait un état des lieux dans lequel bien des lectrices pourraient se reconnaître, au moins partiellement. Mais elle ne conseille pas, ne fait pas la leçon. Elle avoue ses tâtonnement, ne parie pas sur l'avenir, ne manie pas de concepts fumeux pour nous emberlificoter.

Faisant l'expérience de l'abstinence, elle en observe les effets, les avantages, les manques éprouvés (notamment celui du contact physique tendre sans sexe systématique à la clé).

Pour l'instant elle entretient d'excellents rapports d'amitié et de camaraderie avec certains hommes, dont l'un, très proche, est son alter ego masculin, double sans doute du frère qui s'est ôté la vie ; un autre aussi ; des professionnels qui travaillent avec elle à la réalisation de films et court-métrages qui n'évoluent plus depuis un certain temps dans l'univers du sexe (étiquette difficile à décoller malgré le passage des années) ; et enfin un ex-conjoint dont elle n'exclut pas qu'il redevienne un jour un conjoint à part entière.

Qu'on ajoute à ça l'immense amour qu'elle éprouve pour sa fille : on est loin de l'image de la sorcière misandre qui touille dans son chaudron une mixture à base de venin de vipère, de bave de crapaud et de souffre pour empoisonner tout le sexe mâle voué aux gémonies. On ose rêver que des hommes pourraient la lire sans crier à la misandrie, sans se sentir victimisés par le fantasme du vagin denté, sans vilipender le féminisme comme un courant de pensée visant à émasculer les hommes : c'est émouvant aussi un pénis quand on vous ne le brandit pas sous le nez en toutes circonstances, comme la matraque du méchant polichinelle.

Ovidie a exclut de sa vie la sexualité, mais ne jure pas (croix de bois croix de fer) qu'elle n'y reviendra pas un jour : comme je l'ai dit plus haut, elle n'est pas dogmatique, son livre n'est pas un livre de développement personnel "faîtes comme moi" : elle hésite, tâtonne et c'est ça que je trouve infiniment touchant en elle.

Car Ovidie ne "déteste pas" les hommes : elle aspire à une autre sorte de lien avec eux, au partage d'une autre sexualité, d'autres affects, moins de nombrilisme de part et d'autre et davantage de douceur et de bienveillance mutuelles.

Ses attentes sont celles de nombreuses femmes : un respect dans le compagnonnage, des rapports de tendresse sans pénétration systématique (mais sans exclusion non plus, c'est le choix des deux amants), un enrichissement par la vie plus que par l'incontournable vit, faux alpha et omega ressassé jusqu'à extinction totale du désir féminin relayé pour finir par la simulation et le mensonge.

Autant dire une utopie (elle en a conscience) : une utopie qui permettrait pourtant aux hommes de relâcher la pression infernale que semble leur faire subir leur très encombrant joujou, aux femmes de reprendre confiance en elles-mêmes et en l'autre.

Je ne mets que trois étoiles à cause du style quand même un peu relâché et de la tendance au remplissage, m'a-t-il semblé, dans certains passages.

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Lecture en demi teinte.
Après avoir écouté une interview d'Ovidie, j'ai été intéressée par ses réflexions du moment et son choix de vie exempt de rapports intimes avec les hommes.
J'ai été surprise par la violence de son histoire personnelle que je ne connaissais pas, elle m'a touchée par sa vulnérabilité et son passé très douloureux, puis dérangée par un manque de nuance dans ses propos vis à vis des hommes.
Ce texte ne fait qu'une 100aine de pages donc il est difficile d'attendre une analyse psychologique, philosophique ou sociétale plus complète du rapport hommes / femmes sous la couette.
C'est plus un journal intime qui est exposé ici, il ne faut donc pas chercher plus, c'est son parcours et son expérience qui fait office de thérapie.
Je ne pense pas que toutes les femmes pourront se reconnaître dans son discours où son histoire mais elle a le mérite de parler cru, de dénoncer des abus inadmissibles, des comportements des 2 cotés dysfonctionnels, cela peut ouvrir un espace de parole nécessaire et résonner pour beaucoup d'entre nous, et c'est l'essentiel.
Même si elle reconnaît sur quelques lignes qu'elle a une part de responsabilité dans ses relations de couple, cela m'a paru infime à côté de la généralisation faite sur la violence intime des hommes vis à vis des femmes, comme si son histoire était celle de toutes les femmes, alors que non, et comment le savoir ?
Un chapitre supplémentaire clair aurait pu être ajouté pour parler des solutions de rapprochement plutôt que l'éloignement peut-être.
Vaste sujet qui a le mérite d'exister et si elle se sent mieux ainsi comme elle le dit, alors tant mieux pour elle, se préserver est parfois la seule solution quand on a tout essayé ou que l'on est trop lasse ou abîmée pour continuer, je la comprends mieux à présent, si c'était son but, alors c'est réussi.
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Sur cent pages tout est dit, clairement, nettement, analyse affûtée d'une prise de conscience, descriptions d'une réalité où la plus part d'entre nous retrouve leur expérience. Et puis, une fois établi le cruel constat où patauge la sexualité hétérosexuelle en bouillon de culture patriarcale, viennent à la suite une cinquantaine de pages annonant un discours de "courrier du coeur", et ce n'est alors plus seulement la chair qui est triste, mais la pensée qui s'est évanouie. Dommage.
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Ovidie publie un texte autobiographique. Ce n'est ni un essai, ni un documentaire, c'est un cri du coeur. Un hurlement de rage. Elle est en grève et elle le revendique. C'est décidé, elle ne veut qu'un homme la touche.
Le langage est cru, sans filtre et dénué de tabou. On sent en elle une révolte profonde contre le patriarcat, contre les hommes qui se servent des femmes pour satisfaire leur propre plaisir sexuel sans se préoccuper de celui de leur partenaire. Mais elle est aussi révoltée contre tout ce que les femmes font pour attirer l'attention des hommes. Elle s'insurge contre les viols conjugaux, elle revendique la liberté de disposer de son corps sans que les hommes n'en usent.
Mais on ressent aussi de la tristesse derrière ses propos et une grande désillusion.
Je ne suis pas d'accord avec tout ce qu'elle dit et j'ai regretté qu'elle mette tous les hommes dans le même panier, alors qu'elle admet elle-même qu'il existe des exceptions en nous parlant de son frère. On frère qui est l'exact opposé de tout ce qu'elle déteste.
C'est un cri du coeur que je ne partage pas. Mais il est impossible de lui jeter la pierre ou de ne pas comprendre son ras-le-bol.
Je trouve qu'il est vraiment courageux de se mettre à nu de cette façon.
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Je suis assez partagée par ce livre, et j'ai un peu de mal à organiser mes pensées. Alors peut-être que je peux les émettre en vrac, et voir où cela me mène...
Premièrement, la narration est parfaite. Un livre lu par l'auteur, évidemment c'est un plus, et Ovidie a une voix très agréable.
Ensuite, j'étais curieuse de découvrir cet ouvrage qui inaugure une nouvelle collection nommée "Fauteuse de trouble", consacrée à la sexualité et à l'émancipation féminine.
Ovidie explique ici les raisons pour lesquelles elle a arrêté d'avoir des relations sexuelles avec des hommes, en se basant sur sa propre expérience, son ressenti, sa vision des relations hommes-femmes.
Et autant ces réflexions sont intéressantes, mettant souvent le doigts sur toutes les contradictions qui sont exigées face à la gent féminine, autant je me suis parfois sentie en parfait décalage avec les propos de l'autrice.
Certes, nous sommes ici face à un récit de vie plus qu'à un essai, et je pense que c'est cette subjectivité qui m'a dérangée.
Mais ce livre m'a amenée à réfléchir sur les relations hommes/femmes, et je pense que c'est un de ses buts premiers. Et puis, la richesse d'un débat n'est-elle pas justement de confronter les points de vue ? Si on ne lisait que des ouvrages avec lesquels on est d'accord, comment évoluer ? Comment développer un sens critique ?
Au final, je dirais qu'il s'agit d'un très bon livre.
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Voilà un livre qui vous explose en pleine figure et ne fait pas dans la demi-mesure. C'est cru, rageur, le récit d'une femme en colère et qui va bien plus loin que son vécu, avec une analyse percutante du fonctionnement de notre société concernant les relations homme-femme. Même si on n'adhère pas à tous les constats et propos d'Ovidie ( par exemple que toutes les femmes ont été violées ou violentées d'une manière ou d'une autre) et si l'on peut regretter une radicalité extrême, il semble que ce livre devrait être mis en priorité entre les mains de tous les hommes (de bonne volonté...) Cela fait du bien de lire que "la libération sexuelle s'est transformée en une nouvelle source d'aliénation ", que "notre réussite professionnelle s'effondre en même temps que notre degré de baisabilité", que "nous vivons dans un mensonge généralisé où chacun prétend copuler à tire-larigot", et "cette servitude volontaire à laquelle se soumettent les femmes". le discours est par moments caricatural. Mais sans doute le fallait-il.
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Lorsque j'ai commencé ce livre, Ovidie, je ne l'a connaissait pas. Pourtant, tout le monde autour de moi semblait avoir son avis sur elle. Tu sais qu'elle vient du porno ? Tu sais qu'elle fait des podcasts ? Tu sais qu'elle est trash ? Nope !
J'ai donc ouvert ce livre en ayant pris connaissance de la 4ème de couv' et en souhaitant me faire mon propre avis.
Ovidie, elle a écrit ce livre pour témoigner de ses 4 années "d'abstinence", de grève du sexe avec les hommes. Même si c'est le coeur du sujet, qui est en soi, plus qu'intéressant : pourquoi en est-elle arrivée là ? comment ? est-ce difficile ?
J'avoue avoir écarquillé les yeux plus d'une fois et avoir été vraiment choqué des propos étayés dans la première partie du livre. Et puis je l'avais commencé... et même si je ne trouvais aucune vérité universelle à son récit, j'avais envie de continuer pour savoir si, à la fin, elle serait aussi énervée qu'au début.
Ouaip ! Ce livre, c'est avant tout le récit d'une femme vénère ! Vraiment vénère ! Et en étant femme, je pense qu'on est toutes féministes par nature. Par sororité (ce qui d'après elle n'est que foutaise, sauf pour les bonnes soeurs) et parce que des situations injustes, on en vit tous les jours. Mais comme dans tout, il faut savoir nuancer.
Ovidie au premier abord, ne nuance pas et c'est ce qui rend ses propos difficiles à comprendre. Oui, il y a des connards, oui, il y a des personnes qui vous utiliserons, qui vous maltraiterons, oui le sexe peut être mauvais, douloureux, sauf que dans la vie, on apprend. Et lorsque j'ai lu qu'elle mettait l'ensemble des hommes dans le même sac, j'ai trouvé ça injuste. Je me suis demandé pourquoi il lui était arrivé autant de sales trucs, pourquoi elle ne s'était même pas fait respecté par des hommes qui lui avaient passé la bague au doigt ? La bague au doigt ! à quel moment est-ce possible de se marier avec une personne qui ne nous respecte pas. Ok, l'amour est peut-être aveugle... mais quand même ! L'amour, le sexe, ce n'est pas ça ! Ce n'est pas que douleur. C'est surtout, apprendre à communiquer avec son partenaire. Et j'ai été contente de lire qu'elle admettait, dans la seconde partie, qu'elle était peut-être aussi fautive d'avoir été dans ce genre de situation. le partenaire ne peut pas lire dans les pensées. Nous sommes dotés du langage, servons nous en !
En bref, j'ai bien fait de continuer, car au fil des pages, la parole de notre autrice est plus nuancée, plus intime aussi. Elle se livre, elle a souffert ouais ; mais comme nous toutes. J'ai seulement trouvé ça dommage que sa solution, n'était pas de travailler sur elle, sur ses choix (car elle entre même en désaccord avec sa psy) mais de couper court à tout ce qui pouvait la blesser.
J'ai eu de la peine pour elle. J'ai refusé de la comprendre lorsqu'elle conseille d'élaborer des stratégies pour éviter de se faire violer dans son sommeil ou lorsqu'elle annonce que le coït devrait être rémunéré. Mais what ? Si jamais ce nouveau mode de vie lui convient, j'en suis très heureuse, chaque femme devrait être à l'aise avec ses choix. Mais non, tout ce qu'elle annonce n'est pas vrai et fort heureusement. Oui, c'est un essai, oui c'est intéressant, oui, on apprend des choses mais non, tout n'est pas bon à prendre.

Néanmoins, j'ai aimé ma lecture et je vous la recommande car je pense qu'il vous fera réfléchir sur vos propres positions. J'ai refermé ce livre en souhaitant prendre un peu de recul avec le personnage. Au final, j'ai envie d'écouter ses émissions. Car j'ai compris que ces mots, c'était avant tout l'histoire d'une femme blessée, souvent utilisée, qui souhaitait juste être aimé et donc avant tout, s'aimer elle-même.
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Si Ovidie est visiblement remontée contre les hommes mais on aurait tord de s'arrêter à sa colère. le titre du livre indique la mélancolie qu'elle exprime aussi, plutôt dans la 2e partie et la fin de son livre. Un coup de gueule, un essai, une réflexion sur les rapports hétérosexuels, sur la souffrance et la déception de beaucoup de femmes face à la culture, l'attitude des hommes. J'ai trouvé parfois drôle cette manière sans filtre de s'exprimer, j'ai compris la colère, réfléchi à la responsabilité de tous, à la culture du patriarcat dont on parle beaucoup sans savoir comment changer réellement les choses... puis j'ai été touchée par la manière dont Ovidie parle d'elle, de sa sensibilité de femme, loin de l'image qu'on peut avoir d'elle, de ses désirs qui demeurent malgré la volonté de les mettre à distance pour ne pas - encore une fois- se sentir rejetée et souffrir.
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Voici un livre que j'ai trouvé intéressant mais auquel je n'ai pas totalement accroché. J'ai apprécié que l'autrice se livre sans tabou. On sent toute sa sincérité et son envie de tout lâcher dans son livre. Je le comprends mais j'ai eu beaucoup de mal avec le début car j'ai ressenti son énervement et sa colère. Pour moi, c'était un peu trop difficile.

Certes, je n'ai pas vécu ses traumatismes mais j'ai trouvé les mots parfois très durs et j'aurais aimé plus de diplomatie car j'avais l'impression d'être à un procès. Ensuite, il y a eu la partie où elle explique son mal être et son parcours. Là j'ai mieux compris son opinion et pourquoi elle avait des avis si tranchés. Ca a atténué mon sentiment de colère du début et j'ai pu mieux cerner les situations dont elle parlait. Elle m'a touchée.

Pour la voix de la narratrice, ici l'aitrice, elle a un timbre de voix très agréable.

Bref, c'est un livre qui fait réfléchir et qui est percutant mais si vous le commencez et trouvez cela un peu dur, continuez votre lecture pour mieux comprendre.

Je remercie les éditions Audiolib et NetGalleyFrance pour cette écoute.
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