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3,67

sur 13526 notes
j'ai trouvé les 3 livres dans une ruche à livres, je me suis dit chouette en période de confinement je vais pouvoir lire en faisant le lézard.
j'ai lu le premier pas très convaincue. A défaut de grives on mange du merle, mais à peine commencé le deuxième, j'ai capitulé.
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Cela faisait un moment que ce livre à la couverture très colorée ma faisait "de l'oeil" dans les librairie. J'en ai aussi beaucoup entendu parlé sur différents sites ou blogs. J'avais deux fois 5 heures à passer dans un train et un peu de temps avant l'arrivée de mon train.....et hop je l'ai acheté et lu quasiment d'une seule traite sans voir le paysage ni m'ennuyer. Dans ce roman nous retrouvons les grands classiques : amour, divorces, amitié, relation mère/fille etc....
Mais Katherine Pancol a su aller au delà de certains "clichés", son écriture est simple et direct avec ce brin d'humour et de fantaisie qui m'a vraiment séduite....
Je pense que pour un prochain voyage en train je m'achèterais le suivant.
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Comment qualifierais-je ce livre?
Divertissant, sans plus... Ni moins.

Il est clair que nous ne sommes pas dans de la grande littérature; que le lecteur ne s'attende pas à de grandes envolées lyriques, à une prose dont on se délecte à lire et à relire certains passages tant la plume est mélodieuse.

Non, ce n'est pas du tout le cas ici et l'on s'en rend vite compte dès les premières lignes.
C'est un roman "grand public", à la portée de tous, qui se lit très facilement sans qu'il ne soit besoin de se concentrer (idéal dans les transports en commun par exemple ou même lorsque votre conjoint regarde la télé et que vous voulez tout de même rester dans ses bras sans renoncer à votre envie de lire). On saute rapidement d'un narrateur à un autre, d'une vie à une autre ce qui suppose des chapitres courts et donc un livre que l'on peut poser et reprendre à sa guise entre deux occupations tout au long de la journée.
Le livre présente aussi les défauts de ses qualités : l'écriture est plate, sans envergure, sans trait de génie, sans personnalité, et - disons le clairement - sans style.
Histoire prévisible, personnages tombant dans tous les clichés, à la limite de la caricature, rythme absent, intérêt : aussi nul qu'un téléfilm de l'après-midi que l'on regarde pourtant jusqu'à la fin par curiosité ou flemme de s'intéresser à quelque chose de plus stimulant.

Voilà donc un livre divertissant, qui vous fera passer le temps en vous racontant les vies banales de personnages sans relief et dans un style d'écriture à la portée de tous.
Divertissant pourtant, puisqu'on le lira souvent jusqu'à la fin et même pourquoi pas le second tome voire le troisième.
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J'ai voulu lire Katherine Pancol depuis plusieurs années, j'ai même failli en acheter plusieurs fois, j'aimais ses couvertues colorées et ses titres décalés. Il y a peu, on m'a prêté les yeux jaunes et la valse lente. J'ai mis presque deux semaines pour lire le premier et j'en ressors vraiment déçue, je n'ai pas du tout aimé !

Les yeux jaunes des crocodiles, c'est l'histoire de Joséphine, épouse insatisfaite et mère de famille en souffrance qui se réveille le jour où son mari et elle se séparent. Autour de Joséphine gravitent ses filles, Hortense et Zoé, sa voisine et amie, Shirley, sa soeur, Iris, et sa mère, gentiment surnommé la Cure-Dents.

Je pensais que j'allais lire un roman feel-good, un peu comme Ensemble c'est tout d'Anna Gavalda, un roman joyeux, avec des personnages originaux et des situations cocasses, il n'en est rien !
Les yeux jaunes des crocodiles est un livre ennuyeux, sinistre, avec des personnages détestables, des situations convenues, et un esprit parisien puant. L'histoire pourrait être enjouée et sympathique, le réveil à presque 40 ans d'une femme qui a passée toute sa vie dans l'ombre des uns et des autres, une femme qui se rend compte qu'elle peut vivre sans son bon à rien de mari, une femme qui peut s'affirmer et réussir. Mais le principal problème des Yeux jaunes, ce sont ces personnages. Joséphine notre héroïne se déprécie pendant 600 pages, elle ne s'aime pas, se voit grosse, moche, nulle et molle et le répète à l'envi. Difficile donc de s'attacher à elle car elle pourrait être touchante, mais non, elle est simplement pénible à suivre. Mais les autres personnages ne sont pas plus sympathiques, touchants ou émouvants, à part peut-être Marcel, le beau-père de Joséphine. Sa mère m'a tout simplement l'air détestable. Sa soeur Iris, est une belle femme désoeuvrée dans son 200 m² rempli d'oeuvres d'art, une femme qui n'aura de cesse d'exploiter Joséphine à des fins personnelles et d'en plus, la rabaisser constamment. Et enfin sa fille aînée, Hortense qui est, sans aucun doute, le pire personnage du livre : hautaine, irrespectueuse, pimbêche, allumeuse, affreuse tout simplement.
Si je suis allée au bout de ce livre, ce n'est absolument pas pour voir comment l'histoire se terminait, je m'en fichais comme de l'an 40, c'était uniquement pour voir si ces personnages mauvais allaient se prendre un bon retour de bâton ! Et si c'est le cas d'Iris, Hortense s'en tire avec les honneurs, sauvant sa mère de la honte, celle-ci la remercie presque à genoux de la traiter si mal et ça, jusqu'à la dernière ligne !! J'ai cru que j'allais hurler quand j'ai vu comment l'auteure fait passer Hortense pour l'héroïne alors que celle-ci est continuellement atroce avec sa mère... j'en suis restée baba !

Pour conclure, ce n'était vraiment pas une bonne expérience que cette lecture... s'il y a un regain d'intérêt dans les 100/150 dernières pages, le fait que l'auteure conclut de cette façon, c'est-à-dire sur Hortense et non sur Joséphine, ne laisse vraiment pas un bon sentiment.
Lien : http://revoir1printemps.cana..
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Quelle déception ! Je suis affreusement déçue des Yeux jaunes des crocodiles dont j'avais tant entendu parler. J'ai vraiment peiné pour le lire et j'ai bien cru abandonner en cours de route.

Je n'ai pas réussi à accrocher aux personnages tellement clichés avec d'un côté les bons assez idiots pour se faire rouler dans la farine et de l'autre les manipulateurs sans scrupules, où presque tout le monde couche avec d'autres personnes. En fait, j'ai détesté presque tous les personnages et je suis restée indifférente aux autres. Aucun personnage n'a d'âme avec tout en haut de la liste Henriette, Iris et Hortense. Ah Hortense ! Suis-je la seule à avoir voulu que Joséphine l'abandonne sur une route ? Et ces personnage que l'on n'arrive pas à aimer car misérables dans leur façon d'être : Joséphine et Marcel, Josiane avec son histoire à faire pleurer dans les chaumières mais qui par contre essaie de profiter de Marcel.

Quant aux passés de certains personnages, cela devient complètement hallucinant et tellement irréaliste. Sérieusement comment pourrait-on croire que la Reine d'Angleterre a eu un amant et une fille cachée quand on voit ce qui s'est passé avec Diana ?

Les seuls passages que j'ai apprécié sont ceux de la réflexion sur l'écriture du roman de Joséphine avec sa méthode de travail. Malheureusement, ils sont très courts, trop courts et peu nombreux.

Je n'arrive pas non plus à comprendre quel est l'objectif de ce roman ? Quel message essaie-t-il de faire passer ? Est ce que c'est celui que l'amour et l'abnégation permettent de réussir à surmonter toutes les difficultés de la vie ?

Quitte à lire un roman sur les difficultés de la vie avec des personnages attachants, je conseille Ensemble c'est tout d'Anna Gavalda.
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60 pages légères comme une plume
C'est passé trop vite ! On ouvre la première page et vlan on se retrouve déjà à la dernière !
C'est l'histoire de...en fait non, je ne parviendrais pas en quelques lignes à vous rendre le charme de ces 660 pages. lisez-le.
Des femmes, des hommes, des enfants...qui vivent ensemble par choix ou par obligation. Qui tentent de trouver le bonheur envers et contre tout. La vie quoi ! Rien d'original dans l'histoire, mais l'écriture est fluide, comme un timide qui se livre, avec retenue et délicatesse.

Faut-il le lire ? Oui. Je recommande particulièrement aux fans de Anna Gavalda. C'est encore mieux qu'Ensemble c'est tout.
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Katherine Pancol développe une histoire forte qui m'a intriguée.

Joséphine Cortès s'enlise dans sa vie: son mari Antoine, au chômage, refuse de chercher un emploi inférieur à son précédent poste, qui lui ferait perdre le peu d'estime qu'il a encore pour lui-même; sa fille aînée, Hortense, se révolte et s'émancipe un peu plus chaque jour tandis que la petite soeur Zoé aime se faire passer pour le bébé de la famille; la soeur de Joséphine, Iris, et sa mère Henriette, quant à elles, l'ont toujours prise de haut; et elle peine à joindre les deux bouts avec son salaire de chercheuse au CNRS, où elle s'est spécialisée dans le XIIe siècle, afin d'élever d'élever correctement ses deux progénitures. Mais le jour où elle se rend enfin compte qu'Antoine la trompe, un déclic se produit et sa vie va en être bouleversée. Elle: met à la porte le fauteur de troubles, qui va s'en aller élever des crocodiles au Kenya en compagnie de Mylène, sa maîtresse; va dire ses quatre vérités à sa mère, qui va en être terriblement vexée; va essayer de recadrer Hortense dont l'insolence et le mépris ne font que s'accentuer; passe un marché avec Iris et commence à écrire un livre sur le XIIe siècle pour que sa soeur se voit enfin glorifier comme elle a toujours voulu l'être tandis que l'argent reviendra à Joséphine; va également effectuer des traductions pour le cabinet d'avocat de Philippe, mari d'Iris; et enfin, peut-être, se trouver et/ou se révéler.

Ce roman est complet et nous offre de vivre les bouleversements de la vie de nombreux personnages. Bien qu'ils soient en quantité, on s'y retrouve très bien, sans les confondre. le point central autour duquel gravitent ces diverses existences: Joséphine. Héroïne aussi désolante qu'attachante, cette femme m'a passionnée. Sa prise de conscience, assez brutale pour elle, nous donne vraiment envie de suivre son évolution tout au long du récit. Et assister à ces changements a un effet gratifiant !
C'est une femme de quarante ans que l'on découvre, patiente, timide, recroquevillée sur elle-même et qui n'a aucune confiance en elle. Au fil des pages, son caractère ne va cesser de s'affirmer, au grand étonnement de son entourage. Celui-ci est vraiment hétéroclite, venu de tout horizon: de sa propre famille, dont la volonté d'atteindre les sommets est bien représentée avec Iris et Henriette (aussi nommée le Cure-dent - qui lui va bien mieux), toutes deux ayant épousé des hommes riches - Philippe Dupin et Marcel Grobz; à son amie la plus proche, Shirley et son fils Gary, qui cachent un lourd secret et ne sont pas si pauvre qu'ils le font croire; en passant par Antoine et ses crocodiles, Luca, Mylène, Josiane, les voisins, les enfants... tous ont quelque chose a raconter, tous vont se transformer au cours de ce roman. Que l'on ait envie de les adorer (comme la petite Zoé qui est assez adorable dans son genre, bien que très immature) ou de les détester (sa soeur Hortense est une reine de la détestation dans ce récit: elle est tout le contraire de Zoé, aussi mature que vicieuse, et même carrément dévergondée. Je ne suis pas une violente, mais là... cette fille est insupportable !), chacun nous fait ressentir des choses et c'est là la puissance de ce livre: on vogue souvent entre des sentiments contradictoires entre les uns et les autres, et au final on a envie d'écouter ce qu'ils ont à nous dire.
Si j'ai trouvé qu'il y avait quelques longueurs au début du livre, je me suis finalement laissée happer par ces histoires. L'auteure s'est beaucoup renseignée sur le XIIe siècle, elle m'a captivée à coups d'anecdotes historiques et de références en tout genre: l'époque mentionnée m'a vraiment intéressée. Moi qui aime les romans historiques, j'ai pris plaisir à suivre notre protagoniste principale dans l'écriture de son ouvrage.
La subtilité qu'a su intégrer Katherine Pancol à la psychologie de ses personnages est remarquable, c'est organisé, détaillé et sincère.

Un beau travail dont je suis curieuse de connaître la suite.
Lien : http://letoucherdespages.blo..
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J'adore
J'ai adoré la vie de Jo un personnage attachant et émouvant, avec tous les aléas de la vie quotidienne dé que j'ai finie les yeux jaunes des crocodiles j'ai commencé la valse lente des tortues pour vite connaitre la suite
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Iris à qui tout sourit, belle femme, mari aimant, admirée par sa mère, publie le livre qu'a écrit sa sœur Jo qui est quittée par son mari, délaissée par sa mère.
Bien sur, Iris va se retrouver piégée dans cette imposture et Jo va en sortir transformée
ce livre a fait beaucoup de bruit mais je n'ai pas été emballée, personnages trop caricaturaux, histoire pas très réaliste
je n'ai d'ailleurs pas lu les 2 autres tomes, peut être un jour ?
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Pour ceux qui me suivent, vous aurez remarqué que j'aurai quand même mis un certain temps à lire ce roman. Plusieurs raisons expliquent ceci.

Les Yeux jaunes des crocodiles nous parle de Joséphine et d'Antoine, qui se séparent parce que ça ne va plus. Lui est au chômage depuis un an, elle fait tout pour qu'ils survivent, mais lorsqu'elle apprend qu'il la trompe régulièrement, elle décide de le mettre à la porte. Mais cette histoire, c'est aussi celle de la soeur aînée de Jo : Iris, de sa voisine Shirley, de leur mère Henriette, de leur beau-père Marcel… et d'encore quelques personnes. C'est l'histoire d'un cheni à Paris, principalement, comme on peut tous en connaître. de ceux qui font émerger des papillons de leurs chrysalides et ne laissent pas le lecteur indifférent.

La première chose que je dois avouer concernant ce roman, c'est que j'ai lutté avec. J'ai même pensé à abandonner, avant la moitié. Presque tous les personnages me sortaient par les yeux, il y avait à mes yeux des longueurs dont je comprenais quand même l'utilité… mais j'ai continué. Et je suis contente de l'avoir fait !

Ceci est le premier livre de Katherine Pancol que je lis, et je suis étonnée de la facilité qu'elle a à transmettre et décrire les émotions de ses personnages. J'ai été très vite admirative de sa plume qui peut être douce mais aussi incisive et qui a du mal à vous laisser de marbre. Parce qu'elle réussit à coller à chaque personnage, en jouant sur des exercices de style, en s'attardant sur des détails qui peuvent paraître insignifiants… pour leur donner corps et tout simplement pour leur octroyer une vie propre.

Parce que oui, chaque personnage présent dans ce roman – avec ses faiblesses et ses forces, ses coups fourrés, ses regrets, etc. – a ce petit quelque chose qui vous fait dire que vous pourriez le croiser dans la rue, ou même dans votre entourage. Certains, au contraire, vous ferons dire « mais c'est pas possible, celui-là, il faut le secouer à coup de… je sais pas, faut l'assommer avec un pot de confiture pour lui reconfigurer le cerveau, c'pas possible, vraiment ! ». Combien de fois l'ai-je pensé ? À l'encontre d'Antoine, d'Iris et surtout… d'Hortense, la fille aînée de Jo. J'ai tellement eu envie de lui dévisser la tête, à cette gamine !

Et pourtant, c'est Joséphine qui m'a donné envie de continuer. On a l'impression que c'est la seule qui reste douce, droite, et qui suit un chemin qu'enfin on espère plus lumineux. Elle commence en bas et on se demande sincèrement si elle va arriver en haut, ou même au milieu ! Elle a des valeurs, elle se trompe, parfois, elle se bat pour ses filles… difficile de ne pas s'attacher à elle. Bien sûr, on a aussi envie de la secouer. On la prend en pitié. Mais les baffes sont pour les autres !

Vous vous imaginez bien qu'un roman de plus de 600 pages permet de développer l'intrigue, d'aller doucement et de laisser le temps à chacun de vivre un moment particulier avec le lecteur, l'auteur… bref, chacun fait avancer l'histoire à sa façon. C'est une histoire humaine. Une histoire de liens qui se font et se défont, de passé qui remonte, d'avenir qu'on entrevoit et de présent qu'il faut évidemment affronter. Il serait donc très long de vous décrire ce qui se passe dans le roman. Disons juste que chacun évolue selon un scénario qui parle de livre à écrire, d'affaires à racheter, de crocodiles à élever… un cheni, je vous dis. Un beau cheni !

Un beau cheni qui trouve une fin assez particulière, puisque chacun arrive à un point particulier. Chacun a fait des erreurs, a réussi à s'en sortir ou non, doit composer avec ce qu'il a fait, et qui laisse parfois entrevoir quelque chose de meilleur. Ou qui laisse tout juste la place à une quelconque espérance. J'avoue aussi que j'aurais aimé savoir quelques petits trucs en plus après le dénouement à propos d'Iris et de Philippe, notamment. Mais je ne souffre pas d'un manque particulier en y repensant.

Ah, avant que je n'oublie. Quelque chose a eu tendance à me perturber, même si j'ai réussi à trouver d'autres repères au final. Ce roman comporte quatre parties mais aucun chapitre. C'est plus difficile pour rythmer une histoire, quand il n'y en a pas. Alors le lecteur évolue selon les parties de chacun, puisque nous observons une petite séparation quand nous changeons de personnage.

En conclusion, Les Yeux jaunes des crocodiles m'aura fait passer par bien des émotions. Si le début m'a paru laborieux et que j'ai lutté pour continuer, je ne regrette nullement cette décision puisque j'ai fini par m'attacher à certains personnages dont je suis contente d'avoir suivi les déboires. D'autres m'ont révoltée, dégoûtée, j'ai eu envie de les taper et je crois même qu'en m'étant attachée voire identifiée à Jo, ils m'ont blessée. J'ai apprécié ceci dit le réalisme du bouquin, la religion qui transparaît tout en douceur, le combat de l'espérance et de l'amour… comme il est dit dans le résumé, c'est une histoire de vie. Une tranche de vie. Pas facile, un peu romancée mais à peine. C'est parfois cru, ça heurte, mais on en ressort peut-être grandi. On a réfléchi, ressenti, et je ne crois pas qu'on le regrette. Ce n'est pas mon cas, d'ailleurs. J'ai même presque envie de lire un autre roman de Katherine Pancol. Mais pas tout de suite !
Ce sera donc un 15/20 pour moi, malgré tous les démêlés du départ !
Lien : http://leden-des-reves.blogs..
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