L'héritage, tome 2 : L'aîné

Relecture de ce 2e tome des aventures d'Eragon et de Saphira et comme le premier on ne s'ennuie pas une seule seconde même durant son séjour chez les elfes, qui reste pour moi mon moment préféré de ce tome.

Quelques longueurs de description durant les passages centrés sur Roran durant son voyage qui rendent ces chapitres assez long à lire.

Je poursuis tranquillement mon voyage à travers l'Alagaësia. Et je dois dire que j'y prends grand plaisir. Pas une once d'ennui aux côtés d'Eragon et de Saphira : il y a un bon dosage entre action, réflexion et émotion.
J'ai surtout noté de beaux passages au fil de ce second tome, emplis de douceur et de tendresse, même dans la douleur : la solitude en tant que dragonne de Saphira, la rencontre entre Eragon et Oromis, les souffrances de ces deux personnages ou encore les décisions radicales prises par Roran en font partie. de plus, la relation Eragon-Saphira gagne en profondeur, ce qui est un bonheur tant cette dragonne est un personnage fantastique !
Si L'Aîné est l'occasion de se rendre à Ellesméra et de découvrir davantage les elfes – toujours intéressant quoique assez classiques –, c'est aussi le théâtre des entraînements avec Oromis et Glaedr et je dois avouer que ces chapitres m'ont captivée. J'ignore pourquoi, mais j'adore ce genre de passages, à l'instar de l'apprentissage de Marchombre d'Ellana auprès de son maître (Le Pacte des Marchombres, de Pierre Bottero).
Le changement de point de vue est appréciable et suivre Roran a été un plaisir. On découvre un personnage volontaire, placé dans une situation totalement périlleuse, qui se retrouve à assumer tout un village sans magie, sans dragon, et je dois dire que je vois ces chapitres et ce personnage différemment à présent : jeune, j'étais impatiente de retrouver Eragon, mais à présent, si j'apprécie leurs deux parcours, le personnage de Roran m'intéresse davantage. Deux aventures parallèles, l'une pleine de magie, l'autre plus terre à terre, mais toutes deux trépidantes.
Une seule remarque : Eragon, tu m'agaces avec Arya. Lâche-la deux minutes et attends de voir, mais arrête de nous dire qu'elle est belle toutes les deux pages ! Parce que ça relève un peu du harcèlement à force !
Même si ça reste décidément très classique et pas toujours très innovant, L'Aîné reste un bon second tome, peut-être meilleur que le premier, entraînant, divertissant, épique !

Dans ce deuxième opus, notre jeune dragonnier quitte les Vardens et les nains pour poursuivre sa formation auprès des Elfes. Son apprentissage elfique s'avère assez dur, mais très instructif. Parallèlement, on retrouve Roran, revenu à Carvahall après la mort de son père. Il en veut beaucoup à Eragon, dont il ne comprend pas la fuite, ni le comportement. Mais lui aussi fait le dur apprentissage de la vie. Il devient, un peu contre son gré, un rebelle aux yeux de l'Empire, du moins Galbatorix cherche à s'en emparer. Roran doit protéger ses proches et devient un leader malgré lui. Comme son cousin Eragon, il va devoir affronter de nombreux dangers, et va vivre des aventures fortes.

Contrairement au premier tome, qui était très centré autour du personnage d'Eragon (d'où le titre), ce deuxième roman narre, à peu près à part égale, les aventures d'Eragon et de Roran. du coup, c'est très intéressant, car on a deux récits en un, mais qui évidemment à un moment se rejoignent. Bien qu'Eragon ait quitté les siens, on continue à suivre le parcours des habitants de Carvahall. Et c'est plutôt bien, puisque quelques personnages du village avaient déjà une certaine importance dance le tome 1, il aurait donc été illogique qu'ils n'apparaissent pas dans ce roman. Par ailleurs, l'auteur développe de nouveau assez bien les personnages secondaires, parmi lesquels Arya, Nasuada ou encore Orik. le récit, lui est toujours plus sombre, mais il ne peut en être autrement. En même temps, on sent toujours poindre une lueur d'espoir chez les personnages. Une fois de plus on vit de grandes aventures en lisant cet ouvrage.
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J'ai retrouvé Eragon et Saphira avec un grand plaisir. Il a gagné la bataille des vardens mais non sans quelques pertes. le chef des vardens est mort et Eragon se rend compte que sa victoire est plus de la chance qu'autre chose. Il décide alors de partir chez les elfes pour être formé. On va donc le suivre dans ce deuxième tome lors de sa formation chez les elfes. On va découvrir tout son parcours car il doit faire de nombreux choix qui sont parfois politiques. Eragon ne fait pas l'unanimité parmi les nains ou d'autres tribus.

Ce deuxième tome a donc un rythme plus lent, car il n'y a pas de grande bataille enfin du côté d'Eragon car l'on suit aussi Roran son cousin qui revient dans leur village natal, Carvahall. Il se rend compte que son père est mort et que les ra'zacs sont après lui. J'ai beaucoup aimé la partie avec Roran. Il n'y a aucune magie, juste des humains très courageux qui se battent pour sauver leur terre.

J'aime beaucoup ce deuxième tome, on découvre les personnages un peu plus et l'on approfondie la mythologie. Une fois encore vivement la suite!
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Le 2e tome de cette quadrilogie est très intriguant, de par ce dragon rouge sang sur la couverture. Je crains malheureusement que Saphira ne soit en déroute face à un congénère du camp adverse. Il y aura beaucoup de désillusion dans ce 2e volet, que ce soit pour Eragon ou pour son cousin, Roran.

Une alliance se créé entre plusieurs races, toutes opposées au règne de Galbatorix. Le but est de rendre leur liberté aux habitants de l'Alagaësia, rendons Narnia au Narniens.

Le dragon et son dragonnier (question, y a-t-il des dragonnières ?) poursuivent leur but de liberté tout en continuant leur apprentissage auprès des elfes, dans le but d'en apprendre le plus possible pour trouver la faille face à leur ennemi.

On voyage toujours beaucoup dans les lieux et les clans. Le récit est rythmé comme un film et ça a été difficile de me décrocher de mon livre pour faire des choses nécessaires, comme manger ou aller travailler.

le style de l'auteur est toujours fluide et simple. L'action est toujours très présente et le livre se lit très.
L'histoire n'est pas vraiment originale quoi que j'ai été agréablement surprise par la partie de l'histoire qui concerne Roran, quand bien même celle-ci semble être favorisée largement par la chance. Une autre surprise est l'apparition d'un autre dragon ainsi que son dragonnier, même que l'auteur nous fait deux fois la surprise !

J'ai également beaucoup apprécié la formation du couple dragon/dragonnier, même si, elle semble vraiment rapide pour quelqu'un qui doit sauver le monde.
Je trouve dommage que certaines pistes n'aient pas été exploitées alors que d'autres apparaissent presque par magie. Par exemple, la confrontation qui aurait pu naître de la succession entre Nasuada et les anciens des Vardens, mais la disparition "par magie" des douleurs d'Éragon.

Les personnages sont toujours attachants, quoique Arya, perde beaucoup de son charme, mais j'ai trouvé de nouveaux chouchous en les personnes de Roran et Kathrina. Je n'ai pas du tout apprécié le roi Orrin, d'autant qu'il n'a aucune utilité à l'histoire. On se demande parfois si l'auteur ne voulait pas lui faire jouer un rôle plus important mais y a renoncé.

En conclusion, un deuxième tome facile et plaisant à lire qui recèle plusieurs surprises, même si l'histoire suit toujours plus ou moins des pistes dites "faciles".
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J'ai eu le même ressentiment avec ce tome 2 qu'avec le tome 1 : une belle lenteur par moment... C'est dommage.

Nous retrouvons bien sûr Eragon avec Saphira sa dragonne, qui partent en quête de trouver la cité des Elfes, Ellesméra.
Eragon va suivre une formation intense de Dragonnier avec son Grand Maître Oromis.

En parallèle nous nous retrouvons avec Ronan, le cousin d'Eragon, surnommé maintenant Puissant Marteau, qui lui aussi se retrouve Héros malgré lui à sa façon.
Carvahall est menacé, il fera tout pour aider les villageois et retrouver sa bien-aimée...

Quoi que l'histoire soit agréable, le pavé aurait pu largement être raccourci...
Trop de détails inutiles, trop de répétitions, on se lasse facilement à plusieurs passages...
Notamment lors de sa formation, c'est vraiment très long, on n'en voit pas la fin, tout se répète chaque jour : il s'entraîne, il a mal au dos, il apprend la vie des Elfes et leurs vestiges, il s'entraîne, il a mal au dos...

Il faudra attendre au moins la 500ème page pour que, enfin, l'histoire bouge.
La fin nous emmène dans le 3ème tome avec plaisir.

c'est avec plaisir que j'ai retrouvé Eragon et Saphira pour la suite de leurs aventures. Un tome où l'on découvre un peu plus leur capacités et le lien qui les unis. Des facultés qu'ils vont travailler et développer avec l'aide de deux nouveaux personnages. Outre leurs évolutions en tant que guerrier, nous allons également les voir se débattre avec de nouvelles émotions, de nouveaux doutes. En somme, nous les voyons ici grandir et mûrir. En parallèle nous suivons également le cousin de Eragon: Roran, un personnage que j'apprécie beaucoup, il se révèle clairement dans ces pages. Les deux hommes sont fort différents l'un est plus sombre que l'autre et se nourrit des ces blessures pour avancer dans sa quête. Tous deux partagent le courage et la détermination. J'ai beaucoup aimé cette alternance de points de vue, ces destins qui sont liés et en même temps bien différents. Grâce à ces changements on voyage énormément au cours du récit, rencontrant de nombreux paysages, peuples qui m'ont clairement fait penser à l'univers de Tolkien. C'est une lecture que j'ai vraiment appréciée, plus poussée que le premier, ce qui en à fait une lecture fort agréable.

Suite de la quête d'Eragon, dans ce deuxième tome il s'en va parfaire son instruction de dragonnier au pays des Elfes auprès d'Oromis et de Glaedr.
Il se fait de nouveaux alliés, prête allégeance à la nouvelle reine des Vardens, Nasuada, et devient fils adoptif du roi des nains. Il rencontre également de nouveaux ennemis.
Et il fait la connaissance de son frère...
Toujours aussi captivant !

J'étais bien content d'avoir retrouvé Roran qu'on avait délaissé depuis les premiers chapitres du tome 1 et ça fait du bien de suivre un autre personnage qu'Eragon. Lui et Saphira vont aller jusqu'au bout de leur destin et on ne peut pas avoir un petit pincement de coeur quand on lit la relation un peu ambiguë entre Eragon et Arya.