Les anges sans visage

Une famille est retrouvée morte lors des fêtes de fin d'année, le cadet a disparu, l'arme du meurtre : un pistolet d'abattage, pour le moins original ! Sauf que 3 décennies plus tôt, un homme a utilisé la même arme pour tuer 3 personnes !
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Une 1ère avec Tony Parsons, Les anges sans visage est le second tome d'une trilogie (si je ne dis pas de bêtises) je n'ai pas lu le 1er, cela ne m'a aucunement gêné dans ma lecture !
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Un polar très bien ficelé, une histoire qui tient la route ! Des personnages complexes, attachants pour certains, détestables pour d'autres… Un roman plein de noirceur, où certains problèmes de la société britanniques sont mis à jours !
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Max Wolfe, l'enquêteur, tiraillé entre son amour pour sa fille et son métier, apporte vraiment une plus value au récit ! Sa fille, Scout, son rayon de soleil mais aussi le rayon de soleil de cette lecture, l'innocence même, la sagesse !
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C'était vraiment un très bon moment de lecture, auteur qu'on voit rarement passer ici, il mérite d'être lu !

❤️ Quel kiff, mes amis ! Quel kiff !
Ca faisait longtemps que je n'avais pas lu un polar aussi brillant, aussi bien ficelé, tricoté serré serré, tout y est, même un peu de mélo, tout s'imbrique et tout à du sens.

🤨Pourtant, ça n'était pas gagné : j'ai vraiment beaucoup galéré à cause du foisonnement de personnages. Comme c'est le reproche principal qu'on adresse à mon premier bouquin, j'ai décidé de ne pas me décourager et de me laisser porter, tant pis si je en comprenais pas toujours tout, je voulais voir où tout cela allait aboutir.

🤩Et j'ai eu raison. le mystère s'épaissit, se creuse, le danger rode. Tony Parsons évoque beaucoup de problèmes qui gangrènent la société britannique - pas tellement différents des nôtres, malheureusement, on n'a vraiment pas de mal à d'identifier.

🥸Les personnages sont complexes, tout en ombres et lumière, en creux et en bosse. Il y a la présence lumineuse de Scout, le rayon de lumière, la raison de vivre, de croire et d'espérer et l'une des rares notes d'espoir de ce roman très sombre, au regard plutôt désespéré porté sur la société actuelle.
J'ai adoré l'histoire, j'ai beaucoup aimé le style, les personnages, le message aussi, et toute cette noirceur exposée en pleine lumière...

😍Je ne peux que vous le recommander. C'est mon premier coup de coeur 2022, je file illico presto dénicher les autres, regrettant déjà que Les anges sans visage soient son avant-dernier texte 😭

Max Wolfe est de retour ! le lecteur français l'avait découvert lors de sa première enquête "Des garçons bien élevés" et en relisant la chronique que j'avais publiée à l'époque, je me demande bien pour quelles raisons je n'avais mis que deux étoiles parce que j'avais beaucoup apprécié ce polar qui m'avait laissé un souvenir assez bon pour que je lise avec plaisir cette nouvelle aventure.
Toujours aussi paumé entre sa petite fille et son chien , Max Wolfe se trouve confronté à un meurtre odieux , l'assassinat de quatre personnes, les parents et deux enfants, dans une riche propriété londonienne, les faits ayant été perpétrés au moyen d'un pistolet étourdisseur servant pour les animaux dans les abattoirs. le plus jeune enfant de la famille est introuvable et c'est une course contre la montre qui commence pour tenter de le retrouver et d'arrêter le responsable de la tuerie.
Les soupçons se portent sur un homme qui a commis dans le passé un quadruple meurtre avec le même mode opératoire. Aurait-il recommencé à tuer alors qu'il vient d'être libéré après de longues années de détention ? Mais pourquoi cette famille sans histoire avec laquelle il n'avait aucun lien ?
Bien sûr les choses ne sont jamais simples et l'enquête devra remonter plusieurs pistes avant de mettre à jour de terribles secrets de famille. Les policiers londoniens risquent leur vie et dans ce volume on ne peut pas dire qu'ils en sortent indemnes ,Max Wolfe lui-même en réchappant de peu !
Un suspense soutenu qui fait de ce polar un page turner que l'on a bien du mal à lâcher avant la fin. Entre surprise, émotion et indignation, le lecteur s'implique totalement.
Et comme toujours chez Parsons, l'amour des chiens le conduit à placer ces animaux en bonne place dans son histoire, et rien que pour cela, cet auteur m'apparait diablement sympathique !
A suivre de nouvelles aventures de Max Wolfe !

4ème de couv':"A Londres, les grandes familles abritent les secrets les plus terrifiants.
Une famille est retrouvée assassinée dans sa luxueuse demeure, après les fêtes du Jour de l'an. le plus jeune fils a disparu.
Quel est le véritable motif du crime ? Pour quelles raisons le meurtrier a-t-il utilisé un pistolet qui sert d'habitude à tuer le bétail dans les abattoirs ?
Trente ans plus tôt, un homme a éliminé un père et ses trois fils de la même façon. Mais "l'Exécuteur" est aujourd'hui un homme malade, mourant, qui vit dans une caravane. Difficile de penser qu'il peut être lié, de près ou de loin, à une famille aussi riche et puissante...
L'enquêteur Max Wolfe va se retrouver tiraillé entre la nécessaire tendresse dont il entoure sa fille, qu'il élève seul, et sa rage de policier endurci, qui n'a de cesse de rendre justice.

MON AVIS: Très rapidement l'atmosphère devient pesante car on devine les horreurs qui se dessinent à travers les découvertes de l'enquêteur Max Wolfe. ça sent le souffre voire même il y a des relents d'enfer qui glacent le sang.
Les sujets traitaient sont ceux dont on voudrait très fort qu'ils n'existent pas. Mais la réalité est là, certains humains n'ont plus d'humain que le nom et sont en réalité des monstres.
J'ai bien aimé l'opiniâtreté de Max, qui ne lâche rien et risque sa vie pour résoudre cette enquête. les dommages sont terrifiants et ne laisse personne intact, même pas le lecteur.
Seul reproche, j'ai trouvé l'écriture un peu trop dépouillée, et les personnages peu fouillés. Mais ça reste une très bonne histoire.

J'ai moins aimer celui ci. Il me manquer quelsue chose ...
J'ai souvent était perdu dans l'histoire, qui partait un peu dans tout les sens par moment, difficile de suivre certain passage. Je trouve l'histoire un peu trop facile, et répétitif aussi. La fin ma un peu déçu par sa facilité également, je m'attendais à beaucoup plus de recherche et d'action.

Âme sensible, abstiens toi !

J'ai failli vomir tripes et boyaux dès le premier chapitre... Eh oui, la littérature est capable de cela, elle est bien plus puissante qu'une gastro-entérite. (J'ai l'âme d'une poète ce soir !)

Mais je t'aurai prévenu ami lecteur, je ne peux guère faire mieux en termes de prévention ! Ce roman noir, très noir est écrit dans les règles de l'Art. Il nous entraîne dans un Londres violent où s'affrontent deux classes sociales. Mais dans chacune d'elles, les Hommes sont capables du meilleur comme du pire. Ça, le flic Wolfe, en charge de l'enquête, le sait bien et il nous offre une plongée en apnée dans ce que le genre humain est capable de plus abject, d'un coté ou de l'autre de la barrière !
Mis à part la terrible scène du début de chapitre, le reste du récit est préservé d'une débauche d'hémoglobine, mais ne nous épargne pourtant pas toutes les horreurs dont l'homme est capable. L'auteur s'est attaché à retranscrire plutôt une atmosphère, que des scènes d'horreur ,et il nous entraîne dans les méandres d'une enquête que l'on suit pas à pas.

Le personnage du détective est particulièrement atypique et attachant : père célibataire, il élève seul sa fille et doit jongler entre son boulot de détective et son quotidien de père de famille célibataire.

De quoi nous changer du flic célibataire qui noie les horreurs de son métier dans l'alcool ou celui, désespérément seul, car son ex-femme s'est barrée avec toute la marmaille, ne supportant plus ses horaires !

Pour ma part, j'ai beaucoup apprécié l'ambiance très noir de ce roman ainsi que les personnages atypiques et attachants. J'ai en revanche été légèrement déçue par l'intrigue elle-même. Elle tient la route et est parfaitement plausible, mais au vu des méandres pris par l'enquête, je m'attendais à quelque de chose d'encore plus tortueux et fracassant. A la fin, il y a une pointe de "tout ça pour ça...".

C'est toutefois un excellent roman noir, pour les amateurs du genre, et les estomacs bien accrochés !
Lien : https://www.lespetiteslectur..

Des méchants vraiment méchants, des gentils ambigus, un héros très solide physiquement (moi, à sa place, je serais morte plusieurs fois ...) mais il est obligé, il doit s'occuper de sa fille.
Des secrets bien "dégueu" cachés au creux des familles ... mais pas celles auxquelles on pense.
Un bon moment de lecture.

Il y a un peu plus d'un an (à la grosse louche je dirais), j'avais découvert le premier livre de Tony Parsons, « Des garçons bien élevés » et j'avais adoré cette première aventure du détective Max Wolfe. Et bien pour sa seconde aventure, j'ai ressenti le même sentiment.

On se retrouve une nouvelle fois en plein polar anglais où la tension va crescendo. Dès le prologue et ses premières pages, le suspense est posé (tout comme dans le premier livre). Une riche et belle famille est tuée dans sa luxueuse demeure mais un des enfants manque à l'appel. Qu'est-il donc devenu ? Pourquoi cette famille si bien sous tous rapport est-elle massacrée ?

De nombreuses questions se posent mais trouveront au fil de l'histoire des réponses (petit clin d'oeil à ma chronique sur le livre « Les élues » de Maggie Mitchell). Si vous n'aimez pas l'hémoglobine et les esprits tordus, passez votre chemin. Moi, j'ai tout simplement dévoré ce polar à l'accent si british qu'on a l'impression d'évoluer aux quatre coins de Londres avec Max Wolfe.

L'écriture est toujours aussi fluide que dans le premier opus et il est facile de s'attacher à cet enquêteur qui n'est pas dépeint comme un super héros mais tout simplement comme un homme vulnérable. L'émotion est présente à juste dose et malgré que cela ne soit pas d'une originalité grandissime, j'ai trouvé l'ensemble rondement bien ficelé. J'en voudrais plus des lectures comme cela !

Comme le premier, c'est un petit coup de coeur et j'ai hâte de pouvoir lire la suite des aventures de Max Wolfe et la plume riche de cet auteur so british. Pour votre information, le troisième tome est sorti en septembre 2017, sous le titre « le Club des pendus », toujours aux éditions La Martinière.
Lien : http://musemaniasbooks.blogs..

"Les anges sans visage" est un roman violent,trop violent.Les personnages doivent souvent affronter des deferlements de haine et les coups portés sont destinés à tuer de façon trop "spectaculaire"Trop de sang!!.Meler des enfants à ces sinistres descriptions est vraiment très dur.Seul rayon de soleil,l'amour du héros ,Max,pour sa fille chérie et son chien,amour qui nous ramène à un peu d'humanité et marque une pause salutaire.
Le roman est rapide,commence sur "les chapeaux de roue" et conserve de l'action tout au long de son déroulement.
L'excès de sigles m'a vraiment gêné, même si c'est le langage d'aujourd'hui.
Je n'avais pas lu le roman précédent qui jouissait d'une bonne critique mais je suis certain de ne pas lire un éventuel "suivant".Sans m'ennuyer,loin de là, je ne peux pas dire avoir beaucoup vibré. L'histoire est poussée à l'extrême et manque de crédibilité. Ce n'est que mon avis.

J'ai découvert l'auteur avec ce roman et j'ai apprécié ma lecture bien que la violence soit omniprésente et parfois injustifiée... L'idée de départ est très bonne mais au fur et à mesure on tombe dans de la surenchère... Dommage.
Un page turner appréciable mêlant suspense et violence au coeur d'une enquête qui va rester gravee dans les mémoires des enquêteurs !