Au service de la protection du patrimoine artistique italien, c'est le branle-bas de combat : pour protéger son poste face à un jeune technocrate aux dents longues, le chef actuel du service doit réussir l'impossible. À savoir arrêter un hypothétique voleur qui aurait dérobé pendant des années les plus grandes toiles sans jamais être inquiété.
Quelques indices font leur apparition pour dépoussiérer un dossier enterré depuis des années. Mais voilà, le suspect principal fait une mauvaise chute (assez suspecte, on s'en doute) quelques heures avant de révéler des informations capitales.
Un polar à l'ancienne honnête, mais pas vraiment surprenant. Étant donné le peu de personnages vraiment suspects, et l'inégalité de leur développement dans l'histoire, on devine un peu trop facilement l'identité du coupable.
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Iain pears nous promène de Florence à Londres dans les pas de ses personnages. D'une par Flavia di Stefano, enquêtrice au Service de Protection du Patrimoine à Florence, d'autre part Jonathan Argyll, son amoureux, d'origine anglaise, revendeur de tableaux trop honnête pour faire des affaires.
Argyll part pour un court séjour à Londres, et en profite pour rechercher des renseignements sur une affaire en cours levée par Flavia et son chef.
Comme à chaque fois que Jonathan se lance dans quelque chose pour aider Flavia, rien ne se passe comme prévu. L'homme qu'il doit rencontrer est mort quelques heures plus tôt, et ce n'est pas un accident!
Il était soupçonné de vol de tableau depuis 30 ans, sans laisser d'indice.
Argyll élabore d'après ses recherches une théorie, dont il persuade Flavia de sa justesse, malgré quelques zones d'ombres.
Peu de temps après, il se rend compte de son erreur. Doit-il donner la nouvelle version des faits à Flavia, au risque de la perdre, ou doit-il se taire, quittant Londres avec un dessin de Léonard de Vinci pour prix de son silence? Son intégrité morale en prend un coup, mais c'est ça quand on mène une enquête à l'affectif, on perd son objectivité!
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Polar sympa car le thème est intéressant et il n'y a pas de violence.
Les personnages sont sympathiques....enfin pas tous puisque l'on assiste également à des luttes de pouvoir.
Le style n'a rien d'extraordinaire mais ce polar est un bon moment de lecture
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Sympa mais un peu mou. Pas inoubliable.Quelques bons moments tout de même.
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Le trio formé par le général Bottando, chef du Service chargé de la protection du patrimoine artistique , l'inspectrice Flavia et le marchand d'art Jonathan Argyll vont affronter Giotto, auteur probable mais insaisissable de plusieurs ouvres d'art depuis plus de trinte ans.
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