Comment (bien) rater ses vacances

Je pense que ce livre s'adresse plus à des ados mais j'ai bien souri en suivant les pérégrinations de ce jeune de 17 ans qui décide d'aller en vacances chez sa grand-mère et se retrouve à devoir tout gérer. Imaginez qu'il pense manger des oignons trouvés dans le cellier alors que ce sont des bulbes de tulipe. Mais pas facile à 17 ans de devoir tout faire seul quand sa grand-mère (chez qui on habitait) se retrouve à l'hôpital sans rien pouvoir gérer, que ses parents sont perdus sur le GR20 en Corse et donc injoignables et que sa petite soeur est en colonie de vacances et qu'il ne faut pas l'affoler.

Un petit roman facile et rapide à lire qui m'a fait passer un bon moment.

Pour bien débuter cette critique, je voudrais dire que j'apprécie énormément cette série de livres “doados” de Rouergue. J'en possède déjà plusieurs qui traitent de pas mal de sujets différents mais toujours très intéressants. Ce livre m'a un peu moins touché mais j'ai quand même passé un bon moment et j'ai pris du plaisir à le lire. Je pense avoir pris un peu trop d'âge et de maturité pour l'apprécier totalement. Je le conseille à un public de jeunes disons vers 15 ans.. si vous voulez vous fendre la poire c'est par ici

Je l'ai découvert grâce à l'Annexe - @l_annexe - qui m'avait donné envie avec sa critique de le lire et je ne connaissais pas du tout la plume d'Anne Percin, je sais qu'elle ne fait pas que de la littérature ado, mais également adulte.

Pour celui-ci c'est plutôt orienté ado avec l'histoire de Maxime, 17 ans, qui se retrouve à passer ses vacances en banlieue parisienne à s'occuper de sa grand mère. Vacances, qui comme vous devez l'avoir deviné, ne se passeront du tout comme il l'aurait souhaité.

J'avoue, je pensais que j'accrocherai beaucoup plus, mais dans l'ensemble c'est une chouette lecture surtout pour l'été qui devrait plaire à votre ado.

Le style est assez drôle et très sarcastique avec de jolies références musicales et cinématographiques.

Une jolie découverte, mais je ne sais pas si je lirais la suite car il y a 3 tomes je crois.

Cet été, les parents de Maxime ont décidé d'aller faire de la rando en Corse. Autant dire qu'il n'envisage pas un instant de les accompagner. À la place il demande, sans l'avoir préalablement réfléchi, à aller chez sa grand-mère au Kremlin. Un été qui s'annonce donc des plus calmes… C'était sans compter un accident inopiné, des policiers incrédules, des tentatives culinaires potentiellement risquées, et des discussions numériques animées !

Je connaissais la plume d'Anne Percin plus fine et sérieuse et ai eu au départ du mal à me plonger dans Comment (bien) rater ses vacances. Un départ plutôt court il faut l'avouer, car si l'écriture manque de sobriété dans la blague et la réflexion pseudo-adolescente, ça reste savoureux. Un roman où le quotidien se transforme en aventure : les premiers pas dans l'autonomie sont mal assurés et attendrissant. J'ai souri régulièrement et ai trouvé du plaisir à ma lecture. Gros suspense pour la suite : vais-je rester circonspecte ou me laisser happer ?
Lien : https://auxlivresdemesruches..

: Maxime, 17 ans, n'a vraiment pas, mais alors vraiment pas envie de partir en vacances avec ses parents. Il préfère, et de loin, rester avec sa grand-mère à Paris. Ce qu'il n'a pas prévu c'est que sa grand-mère allait faire un malaise et se retrouver à l'hôpital, que ses parents seraient injoignables et qu'il devrait se débrouiller seul sans presque un sou...e roman est un vrai moment de jubilation, un petit bonbon de bonne humeur malgré les péripéties de notre héros. Il donnerait presque envie de bien rater ses vacances. Une lecture rafraîchissante qui peut être lu au soleil ou au fond de son lit.

très souvent drôle.

Maxime, 17 ans, doit se prendre en charge tout seul durant les grandes vacances suite à la crise cardiaque de sa grand-mère paternelle.
Alors qu'il pensait profiter des bons plats et de la compagnie de sa mamie, il est condamné à faire des allers-retours à l'hôpital, il manque d'être emmené au commissariat suite à un quiproquo et apprend que son papa et son oncle n'ont pas le même père.
Bref, la pause estivale se révèle pleine de surprises et pas seulement de mauvaises puisqu'il fait la connaissance d'une jolie blonde sur Spacebook : Natacha alias Pikachu.
Un roman bien écrit et bien ficelé. Je n'ai toutefois pas accroché à l'histoire et le personnage de Maxime n'a pas réussi à me captiver malgré certaines réparties franchement désopilantes.

Je ne me suis jamais intéressée à la maison d'édition du Rouergue car j'ai toujours trouvé le design de leurs livres extrêmement laids. Mais heureusement, l'intervenant qui nous a fait cours sur le rayon jeunesse il y a quelques semaines a su me donner envie de découvrir leur catalogue en nous parlant passionnément de quelques uns de leurs livres, dont celui ci.

Dès la lecture du résumé j'ai su que l'humour un peu noir de cet adolescent allait me plaire. Mais j'étais loin de savoir jusqu'où allait aller Anne Percin dans son concept, à utiliser jusqu'aux notes de bas de pages pour faire rire le lecteur. Maxime est vraiment très drôle, enchaîne références sur références et blagues plus ou moins de mauvais goût. J'ai vraiment été très réceptive à cet humour, tout simplement parce que toutes ses références me parlent, mais je ne pense pas que ce soit le cas de tout le monde, et surtout pas des jeunes qui seraient amenés à lire ce livre. En effet, je n'ai pas trouvé que Maxime soit un jeune de son temps, avec ses goûts pour le rock des années 80, les vieux films gores ou encore les polars, il ne représente pas vraiment selon moi un ado d'aujourd'hui. Ma vision est peut-être un peu négative, mais dans tous les cas c'est quitte ou double : ce livre plaira beaucoup, comme il m'a plu, ou ne plaira pas du tout.

L'histoire en elle même est aussi très comique, Maxime enchaînant les pires situations possibles. Il fait cependant tout pour garder le moral et ne se départ que rarement de son humour. Moi qui ne suis habituellement pas réceptive aux histoires de tous les jours, dans la vraie vie ennuyeuse et notre monde déprimant, j'ai cependant été très touchée par Maxime et sa famille dans laquelle je me suis beaucoup retrouvée. Moi aussi je ferais tout pour ma Mamie, mais je ne suis pas sûre que j'aurais autant géré que Maxime devant toutes ces situations auxquelles il a du faire face. Ce livre est un véritable hommage à la famille et il m'a rendu très nostalgique.

Si j'ai trouvé que le concept s'essoufflait un peu vers la fin par manque de renouvellement au niveau de l'humour, j'ai tout de même passé un bon moment de lecture avec ce livre. L'histoire a su, elle, me surprendre dans les dernières pages et j'ai été heureuse de comprendre qu'il y aurait une suite et en quoi elle allait consister. J'ai assez hâte de savoir dans quelles situations pas possibles va à nouveau se retrouver Maxime, je m'y suis vraiment attaché à cet ado qui me rappelle beaucoup une personne de ma connaissance.
Lien : http://bookshowl.blogspot.fr..

Depuis que j'ai commencé à travailler en section jeunesse, je voyais passer ces romans et surtout cette auteure régulièrement dans les prêts et les retours. D'Anne Percin, je n'avais lu (jusqu'à ce roman-là^^) qu'un seul petit livre : le jour du slip, je porte la culotte, qu'elle avait co-écrit avec Thomas Gornet.

J'avais beaucoup aimé ce roman et j'étais prête à lire d'autres romans de cette auteure, mais je n'en ai pas eu l'occasion. Quand j'ai pu récupérer « Comment (bien) rater ses vacances » sur ma liseuse, j'ai sauté dessus!

Et franchement, j'ai bien fait, parce que cette lecture fut un véritable plaisir! Je m'attendais certes à une lecture plaisante, mais pas à ce point-là! Je ne voulais pas lâcher ce roman, cette bonne humeur, cet humour et ce héros vraiment trop adorable.

Je suis d'ailleurs ravie de savoir qu'il existe une suite, sous le titre de « Comment (bien) gérer sa love story » et « Comment devenir une rock-star ». J'espère vraiment qu'il y a le même peps, la même fraîcheur dans ces deux suites, parce que cela serait vraiment dommage sinon!

Le style est fluide, agréable. Il n'y a rien à dire dessus, cela se lit dès 13 ans sans le moindre problème. Peut-être même avant, mais je pense tout de même qu'il vaut mieux avoir au moins 13 ans pour vraiment apprécier les thématiques très adolescentes du roman. L'âge parfait pour le lire serait même plutôt 15 ans si vous voulez mon avis. Et je pense que cela peut plaire aussi bien aux garçons qu'aux filles.



Il y a plein de situations loufoques et très drôles (je pense particulièrement à celle avec les policiers ou les « lettres » qu'il écrit à ses parents sans jamais les poster), des moments émouvants, des scènes où les adolescents se reconnaîtront (internet, les sorties, les conversations sur le net…).

Je trouve qu'Anne Percin a réussi à merveille à se fondre dans la peau d'un adolescent de notre époque (ce qui n'est pas toujours très simple) et qu'elle arrive à parler sans difficulté des thèmes qui leur sont proches. Ce qui est sans conteste une réussite je trouve. On ne s'ennuie pas un instant, tout s'enchaîne parfaitement.

Que dire de plus? Vous l'avez compris, je suis conquise. Maxime est un personnage très attachant : il se donne des petits airs de « bad guy », à vouloir paraître méga-intello et plein de réparties qui font mouches (en même temps, avoir pour référence Sherlock Holmes et pour pseudo « Moriaty », c'est logique) mais en fait, on a juste envie de lui faire un câlin tout le temps, tellement il est adorable et touchant.

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Un excellent roman jeunesse, un véritable plaisir à lire, franchement, je le recommande sans la moindre hésitation, à lire plutôt en été par contre!
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Ce petit livre est sympas, très drôle à certain passage. C'est une lecture légère sans prise de tête! Je vous le conseil entre deux pavés!