J'ai découvert
Maurice Périsset il y a peu avec
Les proies immobiles. Alors, quand j'ai découvert sur les rayonnages d'un bouquiniste, je ne pouvait que vouloir le lire.
Ces huit nouvelles sont globalement bonnes mais frustreront certains lecteurs par ce que j'appellerais « un manque d'approfondissement ». En effet, si les thèmes développés sont bons, elles donnent l'impression de n'être qu'un premier brouillon.
Elles sont courtes et je ne me vois pas donner plus d'informations sur chacune d'entre elles sans révéler leurs trames. Je n'en ferait donc rien. Je dirais simplement que la dernière, Treize Roses couleur de sang, est ma préférée. Je la trouve plus réussie que les autres.
En bref : Les textes de ce recueil ont un point commun avec
Les proies immobiles : la lenteur. Et c'est peut-être pour ça que je ne suis pas plus enthousiasmé que cela par ce volume. Quoi qu'il en soit, si vous avez l'occasion de le lire, donnez-lui sa chance.
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