Souillée dans son esprit commùe dans corps, la jeune Moïra raconte naïvement son aventure...
Le « leather face » de « Massacre à la tronçonneuse » hante les pages de ce roman éprouvant, à la limite du supportable... A ranger tout en haut de votre bibliothèque pour que les âmes sensibles ne le trouve pas... Elles pourraient être contaminées !