Après avoir lu une critique qui vantait l'écriture « stylisée, émouvante et dans l'air du temps » d'
Elena Piacentini, et parce que les thèmes de son roman m'attiraient, j'ai voulu découvrir
Vaste comme la nuit. Au final, je n'ai pas du tout accroché à ce roman que j'ai trouvé ennuyeux, vague et mal ficelé.
Par un concours de circonstances qu'il n'est pas utile de détailler ici, le capitaine de police Mathilde Sénéchal est amenée à retourner dans son village natal, près de Dieppe. Là-bas, de sombres affaires ressurgissent du passé. Elle découvre que trente ans auparavant, une jeune femme, Jeanne Bihorel, a disparu. Cette même année, alors qu'elle n'a que neuf ans, Mathilde est victime d'un accident de vélo qui lui fait perdre la mémoire. Existe-il un lien entre la disparition de Jeanne et l'accident de Mathilde ? Cette dernière a-t-elle vu quelque chose avant de tout oublier ? Que s'est-il vraiment passé le 24 juillet 1987 ?
Jusque là, le roman commence assez bien. La perte de la mémoire est une thématique qui me plaît beaucoup dans les polars (surtout depuis l'excellent Avant d'aller dormir de S.
J. Watson!), pour les possibilités qu'elle ouvre à l'intrigue. Une mémoire défaillante renferme à double tour des secrets. La quête de la vérité dans l'affaire Bihorel amène donc Mathilde à partir aussi à la recherche de sa mémoire envolée. Une quête aussi compliquée à mener pour le personnage, que passionnante à suivre pour le lecteur. du moins, en temps normal.
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