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3,52

sur 93 notes

Critiques filtrées sur 1 étoiles  
Le Saint Graal, les goûts et les couleurs ou corruption ?

Je vais être dur, je ne veux pas heurter alors si vous vous attendez à aimer le livre ne me lisez pas, je vais vous énerver. Dur autant que pour les derniers romans de M. Bussi. D'ailleurs a posteriori je comprends pourquoi la parole ce dernier apparaît sur le bandeau pour E. Piacentini. Soit j'ai beaucoup changé, soit la plume de l'auteure n'est plus la même car j'avais beaucoup aimé "Aux vents mauvais", mais ici ... Le style est incroyablement banal, ou disons, ras les pissenlits. Le prix : 19,90 euros, très cher payé. Poubelle. Tellement banal que l'intrigue, à la base extrêmement menue et quelconque aussi (un peu de famille, un peu de dernière guerre, un peu de désir d'enfants, un peu d'amour, etc.), ne présente plus aucun intérêt.

Quand j'ai compris que cette banalité s'étalerait et dépasserait la page 100, j'ai lu le reste en 2mn en diagonale pour ma foi, au point où j'en étais, connaître la fin de cette mauvaise série B, à croire que je n'avais rien d'autre à faire.

p80. "Il songe que la vie est la succession et la somme de ces alternances et qu'il faut se hâter de faire l'inventaire des belles choses ... car les heures où il nous faudra pleurer sont déjà comptées." Pfffff.

p83. "Tu peux t'appuyer sur moi ... Tes peurs je peux t'aider à les surmonter. Même celles que tu n'oses pas me confier". Re-pfffff.

Et devinez ? Le titre ? "Vaste comme la nuit", ce sera quoi d'après vous ? Eh bien ce sera le feu d'artifice final (p306) : le "bonheur qui explose vaste comme la nuit". Immense pfffff.

(Notez qu'histoire que ce soit bien lourd, les deux mots "vaste" et "nuit" ont été utilisés plusieurs fois ensemble dans le texte.)

Il est vrai que si j'avais vu avant les citations relevées par Norfeuille, je me serais méfié : "La nuit est assez vaste pour noyer la petitesse des hommes ..." encore plus pffffff.

Je ne peux m'en prendre qu'à moi, il faut que je sélectionne bien mieux les livres avant de les acheter, que ma perplexité face à certaines critiques dithyrambiques soit une vraie mise en garde, un voyant rouge.
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Après avoir lu une critique qui vantait l'écriture « stylisée, émouvante et dans l'air du temps » d'Elena Piacentini, et parce que les thèmes de son roman m'attiraient, j'ai voulu découvrir Vaste comme la nuit. Au final, je n'ai pas du tout accroché à ce roman que j'ai trouvé ennuyeux, vague et mal ficelé.
Par un concours de circonstances qu'il n'est pas utile de détailler ici, le capitaine de police Mathilde Sénéchal est amenée à retourner dans son village natal, près de Dieppe. Là-bas, de sombres affaires ressurgissent du passé. Elle découvre que trente ans auparavant, une jeune femme, Jeanne Bihorel, a disparu. Cette même année, alors qu'elle n'a que neuf ans, Mathilde est victime d'un accident de vélo qui lui fait perdre la mémoire. Existe-il un lien entre la disparition de Jeanne et l'accident de Mathilde ? Cette dernière a-t-elle vu quelque chose avant de tout oublier ? Que s'est-il vraiment passé le 24 juillet 1987 ?
Jusque là, le roman commence assez bien. La perte de la mémoire est une thématique qui me plaît beaucoup dans les polars (surtout depuis l'excellent Avant d'aller dormir de S.J. Watson!), pour les possibilités qu'elle ouvre à l'intrigue. Une mémoire défaillante renferme à double tour des secrets. La quête de la vérité dans l'affaire Bihorel amène donc Mathilde à partir aussi à la recherche de sa mémoire envolée. Une quête aussi compliquée à mener pour le personnage, que passionnante à suivre pour le lecteur. du moins, en temps normal.
Lire la suite sur : https://lesmarquespagedunecroqueusedelivres.wordpress.com/2020/12/17/vaste-comme-la-nuit-elena-piacentini/
Lien : https://lesmarquespagedunecr..
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