Vous reprendrez bien un peu de magie pour Noël ?

Comédies de noël, feelgood etc, un genre de livres dont j'étais peu friande jusqu'à maintenant. C'est en voyant ma bibliothèque aux titres plus noirs et déprimants les uns que les autres que je me suis dit: pourquoi pas tenter un genre nouveau ?

À mon plus grand plaisir car j'ai dévoré et savouré ce petit livre de Noël de Carène Ponte ! J'ai ri comme jamais, ça m'a fait un bien fou !!

Victoria est une trentenaire ambitieuse, elle tient d'une main de fer son agence de pub ne laissant aucune place au sentimentalisme, au lâcher-prise et à la convivialité. Victoria est une winneuse, une guerrière qui déteste perdre son temps et s'accompagner de loosers. Son adage ? « Les gagnants trouvent des moyens, les perdants trouvent des excuses » (Roosevelt).
Elle aime quand Noël tombe un samedi pour travailler un jour de plus, dans sa voiture elle n'écoute que des podcasts sur la réussite professionnelle, à ses yeux, l'univers regorge de personnes autant incompétentes que stupides. Travail, productivité, rentabilité c'est tout ce qui compte pour Victoria.

Suite à un accident de la route, elle se retrouve dans le coma où elle atterrit dans un centre de réhabilitation de Noël. Si elle veut vivre, il lui faudra se racheter avant le 26 décembre auprès de quelqu'un à qui elle a fait du mal.

Cette personne, ce sera Dakota, tout le contraire de Victoria. Une jeune femme profondément gentille qui s'occupe avec amour de sa grand-mère Mounette.

Ce roman est un condensé de bonne humeur et savoureux sur toute la ligne. Les personnages sont chacun terriblement attachants. Malgré le côté hautain et insensible de Victoria, elle parvient à faire mouche à travers son caractère qui pique, qui mord, qui ne lâche rien. Sa repartie, sa verve sont jubilatoires.

Mounette est elle aussi hyper épatante même si elle commence à perdre la boule. Donnez lui en décembre du Sissi et elle sera heureuse.

Voici donc une savoureuse mignardise de noël relevée par des répliques qui malaxent les zygomatiques. Un roman cookie cannelle et piment d'espelette qui clignotent joyeusement de pep's préparé par une écrivaine sacrément vivante et vivifiante et férocement inspirée. C'est trop bon de s'alléger l'esprit, de respirer un bon bol d'air frais, de se trémousser dans une sympathique ambiance de Noël, de rire, un peu, beaucoup. Et tout ça rien qu'avec un livre.

Je sens que je vais renouer avec ce genre de livres trop bons pour le moral.

Eh oui, j'ai lu un conte de Nowel, avec une pincée de magie et un brin de romance, le pire étant que j'ai aimé ça.
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J'ai retrouvé avec grand plaisir Carène Ponte, dont le livre Tu as promis que tu vivrais pour moi m'avait beaucoup plu.
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De là à récidiver avec un autre filgoude, de Nowel de surcroît, voilà qui me semblait impensable.
Mais c'était sans compter sur le retour tentant de ma chère Magali, qui m'a fait replonger du côté obscur de la farce.
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Deux femmes, Dakota qui vit avec son frère Austin chez ses grands-parents, puis continue de veiller sur sa Mounette tout en animant une émission radiophonique, et Victoria, élevée dans un cadre très strict, ne laissant aucune place ni à l'imprévu ni aux sentiments. Pour le père essentiellement (la mère on n'en sait rien, elle est comme transparente), seule la réussite professionnelle compte ; c'est donc pareil pour Victoria, qui tyrannise les employés de son agence de publicité.
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Par un pas si fâcheux concours de circonstances, le destin de ces jeunes femmes qui se sont connues au cours de leurs études va se croiser à nouveau.
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Carène Ponte m'a réconciliée avec le feel-good. Sa plume alerte, incisive, fluide, m'a une nouvelle fois transportée, et la finesse de son humour m'a fait sourire tout au long du roman.
En bref, un très bon livre, à mettre entre toutes les mains.

A la suite d'une "rencontre" avec un bus, Victoria, atterrit dans une sorte d'anti-chambre du Paradis , un centre de réhabilitation de Noël. Deux espèces d"anges" lui propose un marché, si elle arrive à se racheter auprès d'une personne qu'elle a blessée dans le passé, elle aura le "droit" de revenir sur terre. C'est que voyez-vous, Victoria n'est pas une trentenaire très sympathique ( la faute à son papa très ambitieux) . Elle se souviendra de la petite Dakota au collège avec laquelle, elle n'a pas été tendre (aujourd'hui , on parlerait de harcélement). Et la voilà partie, se faire pardonner quelques jours avant Noël...

Rythmée et légère , cette comédie est très sympathique. le duo de contraires Victoria/Dakota fonctionne bien, et est enrichi par la famille de Dakota. Je ne m'attendais pas à cette histoire avant de la commencer, le côté "fantastique" surprend dans l'oeuvre de Caréne Ponte.
Agréable lecture.

Je viens de passer un excellent moment de lecture audio avec cette comédie de Noël bien tournée et très amusante.

Victoria, la trentaine, manager psycho-rigide d'une petite entreprise de publicité, focalisée à 300 % sur son travail, dirige d'une main de fer ses collaborateurs dont elle se fiche de la vie privée comme de son dernier cadeau de Noël.
Elle a abandonné dans sa chambre d'enfant ses gants de velours en ne transigeant jamais sur les principes et les règles d'or nécessaires aux bonnes performances de ses employés, ça vaut toutes les heures supplémentaires du monde ! Aucune once de compassion ou d'empathie à leur égard, ils sont ses outils de production, elle est une machine de guerre. le bonheur pffeeuu, c'est de la roupie de sansonnet à côté de la réussite voire la gloire !

Quand elle est renversée par un bus un jour de neige, sa vie va gravement dévier de sa trajectoire.
La voilà bousculée et tenue par le Centre de Réhabilitation de Noël d'accomplir une mission totalement saugrenue, inacceptable, mais c'est à prendre ou à laisser si elle veut sortir du coma.

Je ne vais pas divulgâcher en vous disant qu'elle va peu à peu se guimauviser, comme toute bonne comédie de Noël qui se respecte, vous vous en doutez, mais, comment elle va prendre goût à l'eau de rose, je vous laisse le découvrir.

Carène Ponte en a dans la hotte pour nous faire passer de bonnes fêtes. Voilà un joli cadeau à lire ou à mettre sous le sapin sans hésiter.

Une dernière chose : la version audio est très sympathique, les deux lectrices sont très enjouées, les situations comiques n'en sont que plus réussies, et elles rendent les personnages très attachants.

1ère critique de l'année ! Ici un sujet bien connu, que ce soit dans la littérature ou le cinéma. Un accident de la route envoie une personne acariâtre et seule devant les juges au ciel, prêts à renvoyer le ou la malheureuse sur terre pour lui permettre de se racheter. Victoria, c'est la méchante qui sera renversée par un bus. Dakota et sa grand-mère Mounette sont les gentilles.
Un petit roman plein de bons sentiments, dépaysant à souhait et bien rigolo. Evidemment, on s'attache à chaque personnage et les dialogues et réparties sont bien acides comme je les aime. L'empathie, la vieillesse, la réussite sociale et la solitude sont les ingrédients de ce livre qui rend de bonne humeur.

Et là je m'adresse à tous mes amis et amies babelio pour vous souhaiter une très bonne année 2023. Qu'elle vous apporte de l'optimisme à gogo (ben oui, sinon on est tous bon pour la camisole), de la sérénité (j'en connais qui ont lu des livres sur le yoga :-)), de grandes joies (et même les petites qui font que la journée est réussie), des rires (c'est bon pour les zygomatiques), de l'amour, beaucoup d'amour, une santé de fer (ou en version plus douce, la pêche!), et bien sûr, ce qui mettra tout le monde d'accord… de belles découvertes livresques !

Plus ma bibliothèque grossie, et moins de feel-good il y a. C'était pourtant mon dada à mes débuts sur Babelio, mais d'autres genres ont pris place. 

Le mois de décembre me permet de me réconcilier avec ce style oublié. Ça fait du bien de mettre un peu plus de couleurs dans cette bibliothèque devenue un peu (trop?) noire. 

Cette auteure, c'est une ancienne AFG (Anti Fil Goud) qui me l'a fait connaître, merci NicolaK !

Je n'avais pas très bien accroché à l'un de ses romans, mais les deux sur Noël furent un régal ! 

C'est une histoire simple. Du tout vu tout cuit. Mais c'est un peu le but recherché quand on se plonge dans ce genre de lecture. 

D'un côté, nous avons Victoria, une femme d'affaires, ne pensant jamais aux autres, et de l'autre, Dakota, chroniqueuse radio en psychologie qui reçoit des gens à l'antenne pour les aider.

Un roman choral donc, qui vacille entre ces deux protagonistes. 

Les personnages sont attachants, surtout la grand-mère Antoinette (Dixit Mounette), fan de Sissi.

Pour faire court, c'est un joli cocktail mélangeant de bons ingrédients pour nous faire passer un chouette moment de détente. 

Ce roman a eu l'effet désiré. 

Après avoir découvert Carène Ponte l'an dernier avec "Vous faites quoi pour Noël ?" et "Vous faites quoi pour Noël ? On se marie !" je me faisais une joie de découvrir l'édition de Noël 2021 de cette auteure.

La plume de Carène Ponte me plaît toujours autant, c'est une certitude. Elle reste dans mes favorites.

L'histoire est plus profonde, ce qui pourrait être un plus. Mais...

Mais je n'ai pas ri à gorge déployée comme Carène Ponte peut me faire rire, ce qui aurait allégé le propos.

Hélas, aussi, je ne suis pas du tout adepte de la petite touche "fantastique" sur laquelle l'histoire repose et ça coince un peu aussi.

Bref, je n'ai pas trouvé ce que j'attendais. Mais ne passez toutefois pas votre chemin. C'est Carène Ponte tout de même !

Une comédie de Noël savoureuse et qui vous met dans l'ambiance. Cela pourrait être tout aussi bien un téléfilm.

Victoria est une jeune femme ambitieuse, élevée depuis toute jeune à réussir coûte que coûte. En revanche, l'empathie est loin d'être son fort. Percutée par un bus à l'approche des fêtes de Noël, des elfes la renvoie sur Terre avec pour mission "se réhabiliter" si elle souhaite continuer à vivre sa vie sur Terre. Son choix se porte sur Dakota, jeune femme sensible, à l'écoute et qui s'occupe de sa grand-mère qui devient de plus en plus sénile.

Les rôles se partagent surtout entre trois personnages féminins. On a Victoria qui est la femme qu'on déteste mais dont la franchise et la répartie font 1/ avancer l'histoire, 2/ beaucoup d'humour. On a Dakota, le personnage auquel on ne peut que s'attacher (surtout par rapport à l'autre...) ET SURTOUT on a Antoinette, qui est à mes yeux la pépite de ce roman, qui m'a fait rire et émue tout à la fois.

Bien sûr, l'histoire est cousue de fil blanc : elles vont apprendre l'une de l'autre. Victoria va revoir ses priorités et essayer de remettre de l'ordre dans sa vie au passage. Mais malgré cette histoire "sans surprises", il y en a quand même une très bonne avec ce personnage de Mounette!

Encore un livre de Carène Ponte que j'ai lu et apprécié !

Mais j'ai failli ne pas le lire car quand j'ai vu le personnage de la grand-mère de Dakota, une des héroïnes de ce roman, j'ai eu envie de refermer le livre et d'aller pleurer sous ma couette. En effet, cette Mounette a la même maladie que ma propre mamie et vu que je suis allée auprès d'elle il n'y a pas longtemps, ça m'a fortement ébranlée.
Puis, je me suis dit que l'auteure l'avait écrit en 2021 et qu'elle ne me connaissait pas personnellement et que je n'avais qu'à m'acheter une carapace et prendre à bras-le-corps ma lecture !

Je n'ai pas regretté un seul instant ! Mounette est adorable et Dakota, une nénette en or même si ses petits défauts à des moments m'ont crispé... Mais je ne lui jette pas la pierre, j'aurais réagi pareil.
Victoria aussi est un personnage fascinant car elle n'a aucune empathie ! En même temps la pauvre, avec le paternel qu'elle se coltine !
Bref, vous aurez compris, cette histoire de Noël aborde des thèmes assez costauds mais avec des traits d'humour.

Merci Carène Ponte de m'avoir fait passer un bon moment de lecture... Même si j'ai pris un bus lors de la découverte de Mounette ^^

Victoria est une jeune femme ambitieuse, chef d'entreprise, dénuée d'empathie et uniquement motivée par sa réussite professionnelle. Un matin neigeux, elle se fait renverser par un bus. Plongée dans le coma, elle rencontre deux elfes du centre de réhabilitation de Noël qui lui proposent une seconde chance si elle s'excuse sincèrement auprès d'une personne à qui elle a fait du mal. Bien décidée à retrouver sa vie de working girl, elle décide d'appeler Dakota, qu'elle n'a plus vu depuis le lycée...

On est en plein dans la comédie de Noël (vu le temps qu'il fait dehors, malgré la date, je dirais que c'est de saison) et ce roman pourrait aisément être adapté en téléfilm.
Nous avons tous les clichés du genre et l'autrice en joue grâce à quelques notes en bas de page qui montrent au lecteur qu'elle n'est pas dupe elle-même de sa technique.
Le récit est drôle dès les premières pages et aussi très touchant sur plusieurs aspects. C'est le personnage d'Antoinette qui apporte beaucoup d'émotions au fil des pages et j'ai beaucoup aimé passer cette semaine d'avant Noël avec tous ces personnages hétéroclites mais tellement complémentaires.

Il faut dire qu'avec Carène Ponte, je prenais peu de risque tant elle s'est fait une spécialité de la qualité du genre. Quelques fous rires et quelques yeux qui brillent avec ce bon moment de lecture pour les adeptes.