AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
EAN : 9782896911349
(01/01/1900)
4/5   2 notes
Résumé :
Baie de Fundy, 1860. Azuba Galloway, jeune épouse du capitaine Nathaniel Bradstock, rêve de prendre la mer avec son mari et sa fillette de cinq ans pour échapper à l’atmosphère étouffante d’un petit village côtier où les femmes passent le plus clair de leur temps autour d’une tasse de thé ou à leurs multiples travaux de couture. Il suffira d’une rumeur plus convaincante que ses faibles arguments pour que le capitaine se résigne à l’amener à bord du Voyageur. Une foi... >Voir plus
Acheter ce livre sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten
Que lire après La femme du capitaineVoir plus
Critiques, Analyses et Avis (1) Ajouter une critique
Au temps de la navigation à voiles, une jeune épouse de capitaine au long cours souhaite troquer son quotidien routinier à la maison contre une vie d'aventures sur le vaisseau de son mari. de Londres à San Francisco en passant par le dangereux cap Horn et d'Anvers à Hong Kong, le voyage ne sera pas de tout repos et la femme du capitaine aura grandement le temps de songer à ses choix hasardeux. Un roman historique à la recherche minutieuse et aux personnages psychologiquement bien campés.
Commenter  J’apprécie          10

Citations et extraits (4) Ajouter une citation
– C’est très grave comme tempête? demanda Azuba.
— D’après le capitaine, c’est typique d’une tempête ici. Un suroit. Au cap Horn, on peut s’y attendre, y parait.
Son ton était nonchalant, mais Azuba détecta une note de peur dans sa voix.
— Le bateau est mis à la cape, toutes les voiles sont carguées à part la voile d’artimon puis l’étai du mât de flèche. Il dit qu’il a vu pire. Il fait dire de ne pas vous inquiéter, il va nous faire passer au travers….
Commenter  J’apprécie          60
cette détermination qu'elle voyait en Nathaniel à vivre comme bon lui semblait n'était pas plus égoiste que ce qu'elle-même désirait; que le maque de compassion dont tous deux souffraient formait un terreau fertile ou fleurissait la solitude.
Commenter  J’apprécie          20
C'est la lumière qui l'avait empêchée de succomber au désespoir, une certaine qualité de la lumière, comme la tendresse qu'on devine chez un homme dur.
Commenter  J’apprécie          10
L'espoir était une sensation qu'elle connaissait bien mais qu'elle vivait autrement depuis qu'elle l'avait perdu. Moins nostalgique qu'autrefois, moins apparenté au rêve, l'espoir était devenu pour elle aussi précieux que la vie, telle qu'en soit la forme.
Commenter  J’apprécie          00

Video de Beth Powning (1) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Beth Powning
En direct de leurs salons, Catherine Ego et Sonya Malaborza se rencontrent et parlent de traduction et de littérature (au temps du coronavirus)
En collaboration avec les Éditions Prise de parole.
*LES AUTRICES* Sonya Malaborza s'est aventurée pour la première fois sur le terrain de la traduction littéraire en 2001. On lui doit entre autres la version française du roman The Sea Captain's Wife de Beth Powning et celle de The Birth House d'Ami McKay. Sonya prend plaisir à accompagner des auteurs dans l'exercice de leur profession, notamment à la revue Ancrages. Elle travaille depuis peu aux Éditions Prise de parole. Site web : www.sonyamalaborza.com
Amoureuse des mots dans toutes leurs incarnations, Catherine Ego traduit des romans, de la poésie et des essais, écrit des nouvelles, des poèmes et du « théâtre pour l'oreille », et se produit sur scène pour exalter l'écriture dans l'oralité. S'intéressant aux multiples enjeux qui parcourent et façonnent les sociétés, elle a étudié en science politique, en prévention et règlement des différends ainsi qu'en études autochtones et anime des lieux de parole et des ateliers Guérison des mémoires avec le Centre de services de justice réparatrice (CSJR). Finaliste des Prix littéraires du Gouverneur général en 2015 pour Voisins et ennemis (John Boyko), elle a remporté cette prestigieuse distinction en 2016 pour la traduction de la destruction des Indiens des Plaines (James Daschuk). SIte web : www.CatherineEgo.com
*LES LIVRES* NoirEs sous surveillance, esclavage, répression et violences d'État au Canada de Robyn Maynard (traduction de Catherine Ego) Plus d'informations http://memoiredencrier.com/catherine-ego/ Pour acheter le livre hhttps://www.leslibraires.ca/livres/noires-sous-surveillance-esclavage-repression-et-robyn-maynard-9782897125776.html
Zolitude de Paige Cooper (traduction de Catherine Ego) Plus d'informations https://www.editionsboreal.qc.ca/catalogue/livres/zolitude-2682.html Pour acheter le livre https://www.leslibraires.ca/livres/zolitude-paige-cooper-9782764625941.html
L'accoucheuse de Scots Bay, Ami McKay (traduction de Sonya Malaborza) Plus d'informations https://www.prisedeparole.ca/titres-livre/?id=591 Pour acheter le livre https://www.leslibraires.ca/livres/l-accoucheuse-de-scots-bay-ami-mckay-9782897441708.html
+ Lire la suite
autres livres classés : navigationVoir plus
Acheter ce livre sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Lecteurs (6) Voir plus



Quiz Voir plus

Quelle guerre ?

Autant en emporte le vent, de Margaret Mitchell

la guerre hispano américaine
la guerre d'indépendance américaine
la guerre de sécession
la guerre des pâtissiers

12 questions
3179 lecteurs ont répondu
Thèmes : guerre , histoire militaire , histoireCréer un quiz sur ce livre

{* *}