Les croassements de la nuit

Douglas Preston & Lincoln Child
Les croassements de la nuit




Quatrième de couverture :


Medicine Creek, un coin paisible du Kansas. Aussi, quand le shériff Hazen découvre le cadavre dépecé d'une inconnue au milieu d'un champ de maïs, il se demande s'il ne rêve pas : le corps est entouré de flèches indiennes sur lesquelles ont été empalés des corbeaux. Oeuvre d'un fou ? Rituel satanique ? Il faut le flair de Pendergast, l'agent du FBI, pour comprendre que cette sinistre mise en scène annonce une suite.
Qui sème parmi les habitants une épouvante d'autant plus vive qu'il ne fait pas l'ombre d'un doute, pour Pendergast, que le tueur est l'un d'eux…

La suite, c'est sur mon blog : http://cultureconfiture2.blogspot.com
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babelio_id:Preston-Les-croassements-de-la-nuit/7544

Voilà un nouveau inspecteur qui va me suivre un moment. J'aime le personnage, l'univers assez sombre. Les enquêtes sont bien menées, le style est efficace. Je préfère ces livres plutôt qu'une série. Mais ces livres pourraient devenir une série!!!! Ici le mystère est lié à des légendes. C'est bien menée jusqu'au bout. Bonne lecture!

j'adore ces auteurs cet univers que je décris en Scooby-doo pour adulte, avec des vrais monstres et sans explication débile pour justifier le paranormal. Mais dans ce livre, ils nous sortent un réchauffé de Relic. Il y a tout: les autorités obtuses et incompétentes, l'urgence de garder le problème secret (de le premier c'était pour l'ouverture d'une exposition, dans ce nouveau tome, c'est pour optenire l'implantation d'OGM, le final, trop logue, dans les sous-sols avec un monstre qui se téléporte, les morts seuls qui ce multipli, la montre rapide fort et inhumant, tout y est. j'ai aimé relic et j'ai aussi aimé ce livre, mais c'était quand même comme relire Relic. Car comme toujours, les descriptions et les "images" sont parfaites et prêtes pour un film, vous avez tout en tête et même les scènes d'action, creuse dans les Romant (sans l'image) prenne vie et traiping ici. si vous vouliez relire Relic avec une nouvelle peinture, ce livre est pour vous

Encore un superbe Douglas Preston, avec le personnage charismatique de Pendergast (dont au regard de l'élégance classique décrit par l'auteur j'imagine incarné par Benedict Cumberbatch dont j'ai admiré le rôle d'acteur dans la série Sherlock Holmes).
On s'éloigne un peu de New York, pour plonger dans le fin fond des Etats Unis, dans une région moribonde et ou des scènes macabres de crime ont lieu.
L'atmosphère est lourde, et comme d'habitude on s'attache aux personnages pittoresques décrits par Preston.
L'histoire fait un peu plus de 800 pages, mais le suspense et le personnage truculent de Pendergast fait que j'ai dévoré (une fois de plus), ce roman passionnant….
Un auteur à lire et à découvrir pour les lecteurs désirant une intrigue superbement ficelée. Vous serez ensuite comme moi, un junkie de Preston & Child et de ce héros si charismatique.
Vivement je l'espère, une version cinéma de cet auteur et de son inspecteur du FBI !

Excellente découverte pour moi : ce thriller m'a captivée du début à la fin. J'ai beaucoup aimé les traits d'humour et bien entendu j'aime beaucoup le personnage de Pendergast.

Très prenant

La découverte, en plein champs d'un cadavre dépecé plonge une petite ville du Kansas dans la terreur. La police locale va recevoir l'appui non officiel du FBI. Et ce, en la personne de l'agent Aloysius Pendergast qui se passionne pour les homicides atypiques…

Pas facile de chroniquer un ouvrage indépendamment de son cycle… Dans le cas des romans de Preston et Child consacré à Pendergast, la chose est possible pour certains qui s'extraient davantage du cours chronologique. C'est le cas des Croassements de la nuit. de tous les romans Pendergast, c'est mon préféré. En tant que personnage récurrent du cycle Pendergast est le seul présent. Et si les « figures » préférées des auteurs ont leurs représentants dans ce roman : « chercheur universitaire », « journaliste », « policier », « assassin déviant et monstrueux », « anthropologie » on a ici l'impression que les auteurs réinventent davantage les relations entre ces différents effecteurs de l'action. Les personnages secondaires sont donc attachants et le cadre de l'histoire, cette petite ville perdue, dépeuplée, au fin fond du Kansas pittoresque à souhait, m'a davantage intrigué que New York et les proches abords du Muséum d'Histoire naturelle souvent visités dans ce cycle de Preston et Child. le personnage de Corrie est une réussite, et ses échanges avec Pendergast sont passionnants.

On reconnait l'habileté des auteurs dans leur façon de construire l'intrigue autour des personnages à des moments clefs de la narration. Consistants, vivants, comme souvent dans cette série. L'horreur, le mystère des crimes est original, recherché, bien documenté, réfléchi et donne lieu à diverses pistes où le lecteur peut se perdre à loisirs. Comme d'habitude dans les romans de ce cycle, les dernières heures du récit donne lieu à un développement important, seconde par seconde des péripéties qui frappent les héros. Mais dans ce roman-ci, j'ai trouvé que ces longueurs ne sont jamais de trop, que la tension est justement dosée, que la lecture reste captivante même si le temps s'étire, et que les surprises sont de vraies surprises… C'est donc un roman haletant et original et intéressant par toutes les spécificités des crimes au centre de l'histoire.
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Premier roman que je découvre rédigé sous le duo Preston/Child. Au début, j'ai eu la sensation que j'avais entre les mains un puissant roman. Gros point positif : les personnages. Un pouce levé particulièrement pour l'inspecteur Pendergast que j'ai de suis adopté comme mon chouchou !
Pourtant, au fil des pages, beaucoup de lenteur, le rythme se perde, ça tire en longueur et voilà ce qui me dérange le plus. Sinon, lecture à conseiller.
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bien aimé