49 jours je compterai pour toi

c'est une vraie pépite, ça faisait longtemps que je n'avais pas ressenti ça en lisant une new romance et que c'était bon. L'histoire est super touchante et très très intrigante, les personnages tellement attachants. J'ai élaboré mille hypothèses sur le pourquoi du comment, et elles sont toutes était balayé d'un revers de la main. Je ne m'attendais vraiment pas à ça. Je suis passée par plein d'émotion différente, le rire, la légèreté, la peur, le stress, la tristesse ect. Mais je ne peux pas vous en dire plus !!

J'ai adoré Sawyer, son caractère, son humour, sa bonne humeur absolument tout. C'est vraiment un mec en or, au top-niveau. Breen est vraiment super aussi et j'aime son humour et sa repartie.
Il faut absolument que vous lisiez ce livre, l'auteure m'a conquise.

49 jours, je compterai pour toi est une lecture surprenante. La plume de l'auteure nous embarque dans des émotions poignantes. D'un bout à l'autre de notre lecture, nous subissons la douleur de notre héroïne, ....
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Avant même sa sortie ce livre faisait déjà parler de lui. L'auteure a une belle place dans le monde de l'édition, je n'ai entendu que des bonnes critiques au sujet de sa plume et de ses précédentes romances mais personnellement je n'ai encore jamais eu l'occasion de découvrir par moi même le style de C.S. Quill.
Devant l'engouement des lectrices avant, pendant et après la parution de "49 jours je compterai" pour toi" il fallait que je vois par moi-même ce que contenait cet ouvrage et au moment où j'ai pris cette décision une amie s'est offert la version papier..... ni une, ni deux, un petit sourire, une petite moue qui va bien et hop le livre était entre mes mains (Merci Jess!)😉😉
J'ai donc mis de côté ma casquette de chroniqueuse pour enfiler celle de simple lectrice mais en découvrant ce qui se cachait derrière ce titre il fallait que je partage avec vous mon avis parce que honnêtement Wahou.... je suis en admiration devant le talent et la plume de C.S. Quill.

Cette histoire a beaucoup de secrets, les émotions ressenties par les personnages sont tellement fortes et tellement profondes que même Breen, l'héroïne principale, à la gorge qui se serre au moment où elle devrait en parler. Les mots sont comme bloqués - Breen, c'est ce personnage qui en a le plus à nous en dévoiler, son passé est la partie la plus floue et j'ai vraiment était frustré de ne pas connaître ce qu'il renfermé. Ce que renferme Breen est vraiment à porté de main, c'est sans cesse sous nos yeux et pourtant ; j'ai vainement tenté de la deviner.... sans succès.

Je me suis faite plusieurs probabilités dans ma tête, le fait que le présent et les souvenirs concordant avec les jours qui s'écoulent se superposent régulièrement, a fait que j'avais la vérité sous mes yeux mais je n'ai rien vu. J'avançais dans ma lecture à la fois rapidement, à la fois plus doucement en essayant de rassembler les pièces du puzzle ; jusqu'au moment où j'ai compris mais, pour tout vous dire, je n'ai pas voulu croire en cette version qui pourtant était tellement évidente. Je suis même retournée au début de l'histoire afin de relire quelques passages avec ce que je pensais avoir deviner et c'était comme si le voile se levait brusquement. Et là j'ai su.... j'ai su que la vérité allait être douloureuse et j'ai vraiment été époustouflé par le talent de l'auteure pour avoir créée une telle illusion.

Avant de continuer à vous expliquer ce que m'a vraiment fait ressentir ce livre je vais vous parler un peu plus de l'histoire en général. Attention pas de spoil! Si vous vous faîtes spoiler, votre lecture sera complètement gâché, Breen et son passé sont en grande partie l'âme de ce récit donc faîte vraiment attention en lisant les commentaires 😉
"49 jours je compterai pour toi" est l'histoire d'une rencontre. La rencontre entre Breen et Sawyer.
Chacun a ses secrets, chacun a ses fêlures, chacun a vécu ses drames mais la douleur qu'ils ressentent n'a rien à voir. L'une est actuelle et continue car elle a lieu en ce moment même tandis que l'autre est beaucoup plus ancienne beaucoup plus profonde au point que le coeur de celle qui la ressent est, à ce jour, brisé - déchiré - comme mort.
La relation qui va unir ces deux personnages va être tendre, complice et brûlante seulement ils ne vont pas la vivre de la même façon et c'est un point de vue alterné qui va nous montrer ce qu'ils vont vraiment ressentir l'un envers l'autre.

49 jours est comme un compte à rebours que Breen s'impose, elle va compter les jours qui défilent avec acharnement comme si cela était vital. Seul la fin du compte à rebours sonnera la réponse à la question ; Est-ce que Breen, malgré son coeur détruit, est-elle encore capable d'aimer? de ressentir toutes les vibrations et les sensations que peuvent offrir l'amour envers quelqu'un?

Sawyer est un homme doux, attentionné, drôle, bienveillant et qui veut prendre son temps avec notre héroïne pour ne rien gâcher.... enfin il va essayer de prendre son temps. Ensemble, Breen et Sawyer sont extrêmement touchants, attachants ; ils sont drôles, jeunes, ils profitent l'un de l'autre passionnément. Des personnages authentiques.
La grosse zone d'ombre qui plane sur leur couple pourtant si beau c'est que Breen est vraiment très mystérieuse, elle ne dévoile absolument rien de son passé, cache bien trop de chose et cela va ronger Sawyer. Acceptera t-il d'attendre pour avoir toutes les réponses à ses questions et enfin espérer posséder le coeur et l'âme de Breen en plus de son corps?

En ouvrant ce livre ce que je voulais surtout découvrir c'était la plume de l'auteure et je dois dire qu'elle est juste SUBLIME.
Je ne sais pas quels mots assez forts je pourrais utiliser pour vous décrire cette plume mais si je me serais retrouvée en face de C.S. Quill au moment où j'ai refermé son roman je l'aurai applaudi.
Ses mots glissent sur le papier, ils sont beaux, touchants, vivants, harmonieux, légers et surtout ils m'ont tellement hypnotisés que je n'ai pas vu venir la finalité de ce qu'ils renferment et de ce qu'ils vont libérer au 49 ème jour.
Plus haut je vous parlais du moment où j'ai deviné la vérité, je l'ai deviné le 48ème jour pour tout vous dire et lorsque j'ai tourné la page, lorsque le jour ultime s'est déroulé sous mes yeux j'ai du refermer le livre quelques instants pour me reconnecter avec ma réalité. Hé oui, sans exagération, c'est vraiment ce que j'ai fait et bien sûr les larmes sont venues se rajouter à mon appréhension de découvrir le fil de cette journée.
Cette histoire n'a rien à voir avec ce que j'ai pu lire dans le passé, ce n'est pas une simple romance c'est plutôt une histoire qui a la capacité de nous toucher en plein coeur, de nous faire perdre nos repères, qui nous met face à une douleur et à un amour dont la vraie nature est au delà de ce que l'on aurait pu imaginer.

Au final, j'ai donc eu un coup de foudre pour la plume de l'auteure, un coup de coeur pour la façon dont elle a dirigé tous les détails et événements de son roman, pour la manière donc elle a parlé de se sentiment qu'est l'amour dans son histoire unique et magnifique.
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Il est rare que je ne parvienne pas à trouver tout de suite des mots pour écrire ma chronique juste après avoir tourné la toute dernière page. C'est pourtant ce qui est arrivé hier soir après avoir terminé ce roman qui m'a tenu en haleine chapitre après chapitre, jour après jour. La couverture était sublime et le résumé m'avait intrigué dès le début. Je vais tenter de vous parler de ce roman sans ne rien spoiler car toute la magie de la lecture réside dans le fait de ne rien savoir , de se poser mille questions , de se torturer l'esprit et de chercher encore la clé de l'énigme. Je me suis pris une sacrée claque et c'est un coup de coeur immense pour ce roman.



Breen Peterson est une jeune femme qui va nous scotcher dès le départ. On ne sait que peu de choses à son égard et cela nous amène à nous poser des tonnes de questions sur son passé et sur les épreuves qu'elle a traversées. La plume de CS Quill est tellement superbe qu'on peut s'imaginer des tas de scénarios et forcément on élimine les hypothèses au fur et à mesure de l'avancée de l'intrigue. Elle vit en Bretagne depuis toujours et elle est hantée par les fantômes de ce passé. Elle ne vit pas , elle survit et elle a un tic dans le sens où quand elle est dans une relation , elle sait qu'elle a 49 jours pour briser la "malédiction" et peut être accepter que la personne ait une place dans sa vie. Nous avons des flashbacks 5 ans auparavant en 2013 et nous découvrons alors sa vie avec Will. On va évidemment se poser encore plus de questions. Qui est il? Que cache t-il? Quel impact a t-il eu sur sa vie? Elle l'a dans la peau car non seulement elle a un tatouage dont la signification peut se lire de deux manières mais en plus nous avons des morceaux de sa vie avec lui, de sa souffrance , de son amour.



Il est évident que leur relation est unique et qu'elle ne peut pas l'oublier. C'est d'ailleurs ces souvenirs qui la hantent et qui l'empêchent d'avancer. Sa voisine Mei est au courant de leur vie , de leur secret, de leur relation mais nous, nous nous posons encore plus de questions. J'ai trouvé le personnage de Breen très intéressant psychologiquement parlant car nous allons la découvrir à deux époques de sa vie et nous découvrons ses failles, ses "faiblesses" mais surtout sa force incroyable d'avancer malgré tout ce qu'elle a vécu. Quand elle va rencontrer Sawyer , elle nous offrira parfois une autre facette mais cette lumière et ce bonheur pourraient être dépendants de ce compte à rebours. Acceptera t-elle de s'ouvrir à cet homme et lui dévoiler ses secrets les plus sombres?



Sawyer Hall est un héros que j'ai adoré découvrir car j'ai senti dès le début que son arrivée en Bretagne n'était pas anodine. C'est un globe trotter et sa rencontre avec Breen va tout bouleverser. Il sait capter les émotions par le biais de son appareil photo et son talent est reconnu mondialement. Il déborde de projets et a vécu des choses formidables même si lui aussi porte ses secrets et ses souffrances. Il sera plus ouvert sur la situation donc nous ne nous poserons pas longtemps des questions sur ce qui le ronge mais une fois de plus ses ressentis , ses émotions sont superbement exprimés. Il sera aussi d'une patience et d'une compréhension énorme car il sent que Breen lui cache énormément de choses , qu'elle ne se livrera pas comme lui le fera mais pourtant il s'accrochera et tentera de percer le mystère et de se faire une place dans sa vie . Y parviendra t-il alors que son temps est déjà compté?



Bref, si vous n'avez pas encore lu ce roman de CS Quill , je ne peux que vous le recommander car il est magnifique , sublime, prenant , entêtant, mystérieux et pourtant si émouvant. Il y avait longtemps que je n'avais pas été sur des montagnes russes d'émotions et ce roman est clairement un coup de coeur.
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C.S QUILL est déjà bien connue des fans de romance si vous suivez un peu les parutions de Hugo New Romance. En effet, elle n'en est pas à son premier roman puisqu'elle a sorti deux séries publiées dans la même maison : « Burning dance » et « Prude à frange ».

Je l'avoue, je n'avais jamais lu un livre de C.S QUILL avant « 49 jours ». Pourtant, j'ai les premiers tomes de ses deux séries dans ma PAL. Alors je ne pourrai pas vous dire s'il y a vraiment une différence avec ce qu'elle écrit habituellement, ni même si sa plume est différente.
Je me suis laissée emportée par le résumé et par les avis plus que positifs de l'équipe d'Hugo pour me décider à le lire.

« 49 jours, je compterai pour toi », c'est l'histoire émouvante de Breen.
Cette jeune femme a rencontré Sawyer Hall lors d'une exposition photo dans sa ville. Il est photographe et le courant passe immédiatement entre eux. Une alchimie qu'ils ne peuvent refouler, une attirance dont il est difficile de résister.
Depuis le premier jour, Breen marque dans le creux de sa paume les jours qui passent depuis que sa relation avec Sawyer a commencée. le compte à rebours s'est enclenché, une fin déjà programmée. Car Breen ne sait pas aimer plus de 49 jours… Mais peut-être que Sawyer est celui qui arrêtera cette malédiction ?

Ce livre est vraiment particulier, intense en émotions, très loin des romances classiques que l'on peut lire.
Pourtant, tout commence comme un récit du genre.
Breen et Sawyer se rencontrent immédiatement, dès les premiers instants de notre lecture. On tombe alors rapidement sous le charme de ces deux personnages qui vont nous faire rire et sourire pendant plusieurs chapitres. J'ai adoré leurs joutes verbales, leurs petits instants de folie, leurs moments de vie insouciants et spontanés. le trait d'humour de l'auteur est absolument irrésistible et donne une dimension plus humaine à son univers, plus véridique. Certaines scènes restent en mémoire et vont nous mettre du baume au coeur tout au long de notre lecture, car on en aura besoin.

Car oui, comme je l'ai dit, « 49 jours » est bien plus qu'une simple romance… Et dès le début, nous en avons un aperçu.
Le livre commence cinq années avant la rencontre de Sawyer et Breen. Nous sommes dans le passé de la jeune femme, lors d'un moment particulièrement intense et douloureux pour elle. Seulement, à la fin de ce chapitre, de ce jour dans le passé, elle rencontre une personne qui va changer sa vie : Will.
Le grand mystère de cette histoire réside en son identité. Qui est Will ? Il n'est jamais précisé qui il est vraiment. Ce secret que garde Breen, elle le garde aussi pour nous lecteur. C'est un moyen pour l'auteur, en ne révélant jamais son identité et en jouant avec ce mystère, de nous maintenir en haleine et de nous faire réfléchir à toute vitesse. Vous ne pourrez pas rester de marbre sans rien faire, sans imaginer toutes les hypothèses possibles, plausibles ou non justement. Je ne compte pas combien de scénarios nous avons imaginés avec Audrey. Certains étaient mignons, d'autres très tristes et d'autres particulièrement horribles pour les personnages. On a rigolé, mais surtout beaucoup tremblé avec et pour eux.

Le livre est présenté de manière très particulière, car il n'y a aucun chapitre.
A la place, le récit est divisé en jours. Nous suivons presque chacun des 49 jours, ce fameux décompte qui poursuit Breen. Nous avons une vision présente, puisque nous allons découvrir l'évolution de la relation entre Breen et Sawyer, mais aussi une vision passée.
Nous retournons très régulièrement dans le passé de Breen, un retour qui nous permet d'opposer le passé et le présent. Ainsi, nous pouvons mieux comprendre les joies et les peines de la jeune femme, ou avoir encore plus de doute sur ce qui lui est arrivé.

L'univers de C.S QUILL m'a complètement chamboulée.
D'abord, sa plume est particulièrement belle. Toute en simplicité, mais elle touche à chaque fois notre coeur en appuyant sur les bons mots. J'ai aimé sa poésie, sa tendresse envers ses personnages, son amour pour son récit qui transpire à chacune de ses phrases.
Le rythme est bien maîtrisé, on ne s'ennuie pas une seule seconde. En tant que lectrice, j'aime être sortie de ma zone de confort, j'aime réfléchir, être actrice de ma lecture et non pas simplement spectatrice. En cela, j'ai adoré cette lecture qui a fait tourner mes méninges du début à la fin.

Les personnages aident beaucoup à entrer dans le récit également.
Breen est l'héroïne qui mettra tout le monde d'accord. Mystérieuse, joueuse, forte même si elle croit le contraire. Elle est également pleine de nostalgie, de peur et de faiblesses, des défauts pour elle, mais qui sont de belles qualités. On tombe immédiatement amoureux de ce petit bout de femme qui ne va pas ménager nos coeurs.
Sawyer est son parfait pendant, la main qu'attendait Breen. Derrière son sourire, son côté aventureux et insouciant, se cache un homme avec ses faiblesses également. J'ai vraiment été touché par le fait qu'il ose les montrer à Breen. C'est un homme, mais un être humain sensible qui a envie de montrer toutes ses facettes à la personne qu'il porte dans son coeur.
J'ai également été charmée par Mei, cette voisine qui arrive toujours au bon moment. Sa relation avec Breen, puis avec Sawyer est touchante. Elle est la conscience, mais aussi le petit génie de ces deux personnages.
En plus des protagonistes que j'ai adorés, il y a ceux que j'ai vraiment détestés. Ils apparaissent parfois, toujours au moment où ça fait mal, permettant de mieux saisir les casseroles que traînent Breen, mais aussi Sawyer.

Le final est quant à lui explosif.
Plus nous approchons de la fin, plus la tension monte. Lorsque le décompte est sur le point de se terminer, le fil est tendu à l'extrême, prêt à se rompre et à chambouler à jamais les personnages.
J'étais déjà tendue, stressée, nerveuse, mais mon coeur a subi encore plus le récit. Je ne saurais décrire tous les sentiments qui sont passés en moi, mais c'était une vraie tempête.


En conclusion, « 49 jours, je compterai pour toi » est un véritable coup de coeur.
C.S QUILL nous offre un récit émouvant, avec un énorme parti pris sur les émotions, qui je suis sûre, ne laissera personne indifférent. Sa plume nous emmène très loin, aux côtés de Breen et de Sawyer qui deviennent de véritables partenaires de lecture. On a vraiment l'impression de vivre avec eux leur histoire. On tremble avec eux, on rigole avec eux, on succombe avec eux.
Le drame, l'humour, la romance, la narration, l'action : tout est parfaitement dosé, maîtrisé. On plonge dans cette histoire qui nous fait réfléchir, qui nous pousse à nous questionner même lorsque le livre est fermé. Pendant toute ma lecture, je n'avais qu'eux en tête.

Si vous adorez Colleen HOOVER, foncez sur « 49 jours » : C.S. QUILL nous livre un roman digne de son homologue américaine.
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🌊Mon Avis : Coucou ! Je vous retrouve aujourd'hui pour vous parler d'un roman de l'auteure qui était depuis trop longtemps dans ma PAL. Un roman dont je reculais la lecture car je craignais d'avoir mal. Mais un roman que j'ai décidé de sortir.

📷Je vous confirme que cette lecture m'a fait mal. Mais ce livre confirme que la plume de l'auteure est une pure merveille. Si elle excelle dans l'humour, preuve en sont les Campus Drivers et Fan Squad, elle est brillante et bouleversante dans un registre plus dramatique.

🌊49 jours je compterai pour toi est un roman qui se situe sur deux périodes de vie de notre héroïne, Breen. Deux périodes de vie qui se superposent. Une que l'on découvre par bribes qui nous plonge dans une certaine obscurité et crainte. Une qui nous la décrit aujourd'hui et dont on aperçoit les conséquences et séquelles de son passé.

📷Le présent met sur sa route Sawyer Hall, photographe de talent, et c'est un véritable cataclysme pour Breen. On la voit peu à peu ouvrir son coeur et son âme à cet homme si merveilleusement bienveillant. Mais on la voit aussi lutter contre ses démons.

🌊Ce roman est une véritable mise en lumière des maux de l'âme et des blessures du passé. Un décompte est lancé. 49 jours. Pas un de plus. Il est difficile de le comprendre, d'en saisir les tenants et les aboutissants. Les jours défilent dans ces deux espaces temporels que sont le passé et le présent.

📷Tout s'emmêle pour à la fois nous éclairer et nous faire nous poser toujours plus de questions. Jusqu'à LA révélation qui je dois l'avouer m'a complètement éprouvée quand tout nous explose à la figure. L'inconnu devient l'évidence. Et je me suis demandée comment j'avais pu passer à côté de cela. C'est du génie pur et dur.

🌊Je ne pourrai vous en dire plus sur ce roman au risque de vous en dire trop, car c'est un roman qui se vit au travers des jours dévoilés en tournant les pages. Mais je peux vous certifier que c'est juste brillant et l'auteure a réussi à me saisir jusqu'au bout de cette histoire.

📷Si la romance est belle entre Breen et Sawyer, l'histoire de vie comptée dans ce roman l'est encore plus. Résilience. Reconstruction. Acceptation. Tout est là pour nous prendre aux tripes et attraper nos coeurs à jamais.

🌊Sawyer a su être la virgule qu'il fallait à notre Breen. Cette guerrière éprouvée par la vie qui, habituée à survivre, va enfin apprendre à vivre grâce à celui-ci, et mince quelle explosion de bonheur.

📷Je ne peux que vous conseiller cette lecture. Alors oui cela fait souffrir. Oui ça fait mal. Oui les larmes couleront sûrement. Mais c'est aussi l'un des plus beaux messages d'espoir que j'ai pu lire à ce jour. Un grand merci à Camille D avoir su si bien retranscrire une réalité souvent tabou.
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Waouh, ce livre se résume à ces phrases pour moi :
La vie, la mort, la vie.
L'amour, l'amour, l'amour.
Après la fin, le début.

Quand j'ai commencé à lire ce roman, j'étais un peu dans le flou, je n'avais pas toute les informations pour comprendre.
C'était le but du livre.
C'est pour cela qu'à un moment j'ai été choqué, d'une certaine révélation, j'ai même eu la chair de poule.
Je ne m'y attendais pas du tout.
Cette révélation à fait changé la moitié de ce que j'avais déjà lu et c'est à ce moment que j'ai tout compris...
L'amour est fort.
Et la fin du livre est merveilleuse, je suis tellement contente.

!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!SPOIL !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

Au début on découvre Breen.
L'histoire est partagée en deux (le passé et le présent)
On découvre Will, la 3/4 du livre j'ai pensé que Will était l'ex de Breen et qu'il s'était suicidé suite à sa maladie.
J'ai carrément imaginé ça par rapport aux indices du livre.
Alors que Non, Will n'est pas son ex, Will n'est pas un homme.
Will était son fils, son enfant, son bébé.
En effet il est bien mort, mais dans son sommeil.
Au début je ne comprenais pas que Breen rencontre un homme comme ça je ne sais où, peut être dans un hôpital.
Mais maintenant tout s'explique.
Un hôpital, un bébé la logique.

On découvre dans le présent Sawyer.
Le photographe. La nouvelle relation avec Breen.
Breen compte les jours, 1,2,3...15,16,17...47,48,49.
Par le passé Breen a tenté de se suicider.
Le 49 ème jour est le plus douloureux. Celui de la mort de son bébé, de Will.
Après avoir passé 48 jours au côté de Sawyer dans cette nouvelle relation d'amour.
Le 49 ème jour a été horrible pour Breen.
Sawyer à deux doigts de perdre Breen, à développer toutes les photos qu'ils ont faites ensemble, et de Breen unique puis Sawyer uniquement.
Puis à l'Expo photos..

Puis le 1er jour de Breen : quand elle regarde le portrait de Pen-Hir.
Le 1er jour de Sawyer quand il a vu Breen crier dans le vide ce jour là
Le 1er jour ensemble : maintenant. Celui de la suite ensemble.

5 ans après
Aujourd'hui ils vivent heureux, dans une maison avec jardin près de la maison des parents de Sawyer.
Ils ont eu une petite fille, elle s'appelle Rose et elle est adorable. Et Breen est enceinte d'un nouveau bébé.
Will sera toujours dans son coeur à sa place.
Chaque personne reçoit un amour différent.
Ces 49 jours on appris à faire aimer pour le reste de sa vie.
Et ces 49 jours seront toujours présents :
1. Quand elle voit Sawyer à ses côtés...
16. Quand il la fait chavirer
23. Dispute (c'est un jour 23)
31. Quand ils se retrouvent

J'adore la voisine chinoise elle est grave cool.

Très belle histoire, je recommande.

PS : il y a plein de belles phrases super bien écrites

J'ai trop kiffé ! Gros coup de coeur ! Breen ne sait pas aimé plus de 49 jours jusqu'au jour où elle rencontre Saywer. Sera-t-il celui qui arrivera à l'aider a aimé plus de 49 jours ? J'ai beaucoup aimé cette histoire. Breen est incroyable. Suivre son histoire, la découvrir, la comprendre au fil des pages, c'était très intéressant. Saywer est adorable et attachant. Leurs développements personnels ainsi que celui de leur relation. Je suis ravie d'avoir lu ce livre et je ne j'oublierais jamais les magnifiques citations, les personnages et les émotions que ce livre m'a procuré.

Cela fait bien longtemps que je n'avais pas versé une larme pour un roman, mais ça a été le cas pour celui là.

L'histoire de 49 jours est axée sur un point de vue psychologique, qui m'a tout de suite plu. On découvre petit à petit l'histoire de Breen, aussi bien au présent que cinq ans plus tôt.

Durant tout le roman, on suppose, on imagine, on interprète, sans se douter qu'on est loin du compte. le personnage de Breen est extrêmement attachant, et même si durant le décompte des 49 jours, on ne comprend pas la raison, on s'attache à elle et à ses états d'esprit.
Certains passages sont émotionnellement durs, car on réalise sans difficulté la souffrance qu'elle vit au quotidien. Sa rencontre avec Sawyer semble être la solution pour régler ses peines, et pourtant, ça ne sera pas entièrement le cas.
Sawyer quand à lui, est un personnage attentif, amusant et qui combat aussi ses propres douleurs. Dans un certain sens, les deux personnages se retrouvent dans ce sentiment, ce qui rend leur attachement d'autant plus beau.
On se prend un claque monumentale à la fin du roman, et après plusieurs pages à ne pas comprendre le comment du pourquoi, la révélation est à couper le souffle.

Le style de C.S Quill est parfait. Elle offre une délicatesse d'histoire, avec la puissance de mots parfaitement bien employés.

Un gros coup de coeur pour ce roman !

Ce roman n'est pas passé loin du coup de coeur. Son gros point positif est Sawyer, le personnage masculin qui m'a absolument plu à 1000%, et son point négatif c'est Breen, le personnage principal, qui a mis mes nerfs à rude épreuve et qui explique que le roman ne soit pas un coup de coeur pour moi.


Beaucoup de lecteurs connaissent l'autrice C.S Quill grâce à sa célèbre saga Campus Drivers, mélangeant romance et humour en suivant un groupe d'amis qui inventent une application utile sur leur campus. Sachez qu'ici on est loin, très très loin du registre de Campus Drivers. Pas l'humour et la légèreté de la saga, non, ici c'est une ambiance plus sombre. Et c'est très plaisant de voir que l'autrice se débrouille très bien dans ce thème là aussi.


Breen veut croire en l'amour. Mais elle finit toujours par mettre fin à ses relations avant 49 jours. Ces jours, elle les compte, à chaque fois, comme un compte à rebours dont elle connaît l'issue. Mais pourtant, elle continue à croire qu'un jour quelqu'un arrivera à la délivrer de cette “malédiction”. Et ce quelqu'un pourrait très bien être Sawyer, un célèbre photographe qui vient afficher ses oeuvres dans la petite ville de Camaret, en Bretagne. Une relation naît rapidement entre eux, mais Sawyer ne sait pas dans quoi il a mis les pieds, et Breen espère de tout coeur qu'il sera celui qui dépassera les 49 jours. Tic tac.


Je ne savais pas du tout à quoi m'attendre en commençant ma lecture. Au titre, j'étais persuadée que ce serait une histoire avec une maladie et un compte à rebours avant la mort. Pas du tout. le compte à rebours concerne l'amour.

Il faut savoir que j'ai beaucoup de mal quand les romances commencent rapidement. J'aime le slow down, et là c'est loin d'être le cas. A la fin du premier chapitre on est déjà dans la relation entre Breen et Sawyer qui viennent tout juste de se rencontrer. Alors forcément, je craignais de ne pas accrocher. Mais en fait ça allait, j'aurais aimé que ça prenne plus de temps, mais Breen n'a pas le temps, 49 jours c'est court. Et puis même si les démonstrations d'attirance arrivent très très vite, ils essaient quand même de ralentir le rythme pour ne pas brûler les étapes.

Et là où par contre j'ai adoré, c'est qu'on met très très longtemps avant de connaître les secrets de Breen. On est pas mis au courant au début, ça laisse du mystère autour de ce personnage. Et en même temps, ça a pas mal joué sur le fait que j'ai fini par ne plus accrocher avec elle. Forcément, on ne comprend pas ses réactions et son comportement, parce qu'on ne connaît pas son passé, on a que des bouts de flashbacks qui ne révèlent pas les éléments essentiels.


Breen, c'est un personnage compliqué. J'étais attendrie par sa détresse, elle semble souffrir énormément sans réussir à le formuler. Même si je ne comprends pas trop cet attachement à compter le nombre de jours de ses couples, j'avais envie de l'apprécier. Mais elle a fini par me lasser. Même en me doutant qu'elle avait souffert de quelque chose, je n'ai pas pu cautionner son comportement. Elle souffre, mais elle fait souffrir tout le monde autour d'elle. Bien sûr Sawyer qu'elle ne veut pas mettre au courant, mais aussi les gens qui l'aiment et qui la soutiennent. Elle a des paroles vexantes, injustes et qui ne peuvent pas être justifiées par une souffrance dont les autres ne sont pas la cause. Sawyer m'a fait beaucoup de peine, car il s'accroche, il veut l'aider et la soutenir, mais il s'en prend plein la gueule, et à chaque fois qu'il met un ultimatum et lui disant qu'il faut qu'elle se confie un peu pour que leur couple avance, il finit par craquer et revenir vers elle qui trouve toujours des excuses de “je te dirai tout plus tard”. Mais en fait, Breen ne pense qu'à elle, qu'à briser une “malédiction” dans laquelle elle s'est elle-même enfermée, et elle ne prend pas en compte que les autres aussi ont des sentiments. Elle se sert de Sawyer sans lui dire, elle dit qu'elle veut qu'il l'aide à dépasser les 49 jours, mais alors qu'il fait tout pour elle, elle le repousse sans cesse. Non, franchement, son comportement est inacceptable, et même en découvrant son passé j'étais toujours d'avis que ça ne l'excusait en rien. Tu peux souffrir et avoir besoin d'aide, mais ça ne te donne pas le droit de bousiller le coeur des autres.

Et Sawyer est un amour. Une crème, un garçon doux, attentionné et attachant. Il est la raison pour laquelle l'histoire m'a plu. On veut plus de garçons comme lui. Et en plus, il est photographe. Et il n'est certainement pas assez soutenu par Breen, car lui aussi a des démons du passé, et elle ne le soutient pas comme un dixième de ce que lui fait pour elle.


Je pense avoir dit l'essentiel vu que l'histoire tourne quasiment qu'autour des deux personnages principaux. J'aurais aimé un peu plus d'apparitions des personnages secondaires, mais puisque Breen s'efforce à repousser tout le monde, le fait qu'on les voit peu fait sens.

L'idée de l'histoire est très bonne, les révélations intéressantes bien que vu qu'elles tardent à venir j'avais réussi à deviner. J'avoue que les flashbacks ne me plaisaient pas trop, notamment parce qu'on reste dans le flou. J'ai dévoré le roman en très peu de temps, la plume de C.S Quill est très agréable et fluide, et je la remercie d'avoir créé Sawyer. J'espère qu'elle écrira d'autres romans comme celui-ci, plus durs à lire mais aussi bien écrits.
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