La grève : Atlas shrugged

C'est très émouvant et ça me met à la découverte de nouveaux mots

Je l𠆚i lu après avoir entendu que c’était l’un des livres les plus influents du monde après la bible.

C𠆞st l’un des livres qui m’ont fait aimer la lecture. Je pensais ne pouvoir que traîner des nuits entières sur YouTube jusqu’à me surprendre à ne pas pouvoir arrêter de lire ce livre pendant toute la nuit.

J𠆚i ris, j𠆚i pleuré, j𠆚i kiffé.

L’intrigue est géniale et l𠆚spect philosophique est poignant, on y trouve quelques clés pour déchiffrer ce monde et franchement que demander de plus ?

1350 pages engagées, mais un plaisir à lire. Un livre majeur de la pensée libérale.

Dans "La Grève" d'Ayn Rand, nous sommes confrontés à un récit monumental qui transcende les limites de la fiction pour devenir un puissant plaidoyer en faveur de la liberté individuelle et de la primauté de l'individu. Avec une vision philosophique profonde, Rand nous entraîne dans un monde où les forces du collectivisme sont défiantes face à l'éclat de la raison et de la liberté.

L'histoire se déroule dans une société en proie à la décadence, où l'innovation est étouffée, la créativité réprimée et la liberté individuelle sacrifiée sur l'autel du collectivisme. Dans ce contexte oppressif, Rand peint un tableau saisissant de personnages héroïques qui refusent de se plier à l'oppression pour leur droit inaliénable à poursuivre leur propre bonheur.

"La Grève" est bien plus qu'un simple roman. C'est un appel à l'action, un cri pour la liberté individuelle dans un monde en proie à la tyrannie et à la stagnation. Avec son message intemporel et sa narration captivante, ce livre mérite une place de choix parmi les grands classiques de la littérature engagée. Une lecture indispensable pour tous ceux qui aspirent à une vie de liberté, de raison et de réalisation personnelle.

Une oeuvre majeure de la littérature. Probablement le plus grand livre du XXe siècle. Ce n'est pas qu'un roman c'est une philosophie, un rapport d'être à la vie. Ici, le capitalisme n'est pas le grand méchant qu'on aime décrire. Il est aboutissement de soi. Mais le vrai capitalisme, celui qui bâtit, celui qui se bâtit. Sans aide, sans subventions, sans ce collectivisme malsain et l'humanisme délétère. Encore plus fort que Nietzsche parce que tellement concret, parce qu'écrit par une femme qui connaît par coeur à la fois le monde russe et le monde américain. Magistral !