Je dois avouer que je n'en peux plus de voir ces livres publiés dans les années 60 sous la bannière Fleuve Noir se voir attribuer sur Babelio l'éditeur Fleuve éditions. Fleuve éditions n'existait pas bordel ! ANACHRONISME : Y a-t-il quelqu'un ici qui comprend ce mot ?
Mais la valse des blagues n'est pas terminée pour ce livre. Voyons maintenant le titre. Sur la couverture il est clairement écrit "Les Parques". Sur TOUTES les pages du livre apparaît la mention "Les Parques". Et pourtant quelqu'un sur Babelio a eu la géniale idée de changer le titre pour "Les Parqués". Les Parqués ? Ah bon ?
Comme le disait Fernandel dans le Schpountz "On ne saura jamais, on ne saura jamais qui a laissé la corbeille de croissants sous le robinet du bidon de pétrole".
Cependant je conseillerai vivement à celui (ou celle) qui a mis ce livre sur Babelio à le lire et il comprendra que
Peter Randa en donnant le titre "Les Parques" fait référence aux divinités romaines maîtresses de la destinée humaine et non à des vaches mises dans un enclos.
On parle de l'histoire maintenant ?
Philippe Villejame revient sur les traces de son enfance et découvre que son père qui l'avait chassé du domicile avec sa mère vient de mourir. Il laisse un héritage important mais l'absence de testament complique le partage et Philippe va se trouver au milieu d'une lutte dans laquelle plusieurs femmes sont aux prises.
Encore une intrigue dans la France profonde (Deux-Sèvres ?) que
Peter Randa mène sans accroc. C'est distrayant, lecture d'été qui fait oublier les tracas du quotidien et qui devrait être remboursée par la sécurité sociale.