Peut-être pas une oeuvre majeure, mais un souvenir de jeunesse qui m'a accroché à la S.F. comme nombre de livres de cette collection dont je pleure la disparition. Une collection qui, elle, reste majeure par contre pour moi. Elle était la seule à privilégier les auteurs français et n'a toujours pas trouvé à ce jour successeuse digne de relever le défit.
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Quatrième de couverture
Nous ne sommes pas des barbares, mais tous les récits se rapportant à notre lointain passé concordent. La civilisation des Dieux a péri d'un exès de population... Les hommes s'étaient répandus sur la Terre sans limite. Ils proliféraient librement, des lois décrétaient la vie humaine sacrée. Personne n'avait le droit de la prendre malgré l'appauvrissement progressif de la nature... Les terres ne donnaient plus de nourriture, on exploitait les mers et les océans jusque dans leurs plus grandes profondeurs. Sans les famines abominables qui ont ravagé l'Univers, nous en serions encore au même point...