Sekt : L'origine du venin

La quatrième de couverture était prometteuse le début également il y a tous les éléments pour que j'aime ma lecture l'ésotérisme, le côté policier, le côté mystique mais la mayonnaise n'a pas pris.

Et pourtant qu'es ce que j'ai aimé lé début cette homme qui est retrouvé sur une croix crucifié par une bande d'allumés au milieu des bois.

Je crois en premier lieux que je n'ai pas du tout adhérer aux personnages chargés de mener l'enquête tous deux têtes à claque Serge le flic muté dans ce service après avoir tué un homme (mais à aucune moment du récit il ne regrette son geste même au contraire) et Marie-Hélène très coincée qui dans le récit devient plus chaude que la braise....


Le côté fantastique m'a laissé pantoise et certains faits m'ont parus plus qu'énormes du coup ma lecture a stagné, sans compter le côté très cru et vulgaire de Marie-Thérèse.

J'ai eu beaucoup de mal à terminer ma lecture ce qui est dommage car j'en attendais beaucoup.

Un roman qui plaira sans doute aux personnes appréciant les thrillers ésotériques fantastique.

Résumé Sekt L'origine du venin de Vincent Ravalec
Un homme est crucifié. La police est appelée.

Serge est un flic déclassé car il a tué un suspect.

Marie-Hélène était juge. Ils veulent l'un et l'autre se racheter avec ce nouvel travail.

Avis Sekt L'origine du venin de Vincent Ravalec
Je suis contente d'avoir fini ce roman car cela me permet de passer à autre chose. Je suis désolée pour l'auteur mais je me suis ennuyée. Par respect, je suis allée jusqu'au bout pour voir si je pouvais un tant soit peu révisé mon jugement. Et j'ai bien fait, car il a fallu attendre la moitié du roman pour que tout se décante et que les évènements se succèdent les uns aux autres. Mais cela ne reste pas une de mes lectures préférées.

Pourtant, les sujets abordés, soit les sectes, le monde occulte, ceux qui tentent par tous les moyens d'avoir pression sur les autres, faire fortune avec un produit miracle, me tentaient tout particulièrement. Ce n'est pas que cela soit mal écrit, loin de là, je tiens à cette note positive. Mais pour moi, c'était trop académique, voire incompréhensible à certains moments car tout se mélangeait. Pourtant, ce n'est pas la première fois que je lis sur ce genre de sujets. Mais même mêlé à une enquête, ce n'était pas assez ludique, assez prenant. Ce roman est le premier de la trilogie. Je ne sais pas, à ce stade, si je lirai les suivants.

Des esprits en connexion les uns avec les autres. Entrer dans l'esprit de quelqu'un, voir ce qu'il pense, lui insérer des pensées et vraiment tenter de lui faire croire. C'est ce que certains ressentent. le Mal, le Diable, sont partout, prêt à éclore. Il suffit d'être sensible, d'y croire. La force de la pensée est importante et permet à certains d'en profiter pour tous leurs crimes au nom d'équations, de positions qui arrivent à terme.

Sciences occultes, rites et signes païens et/ou ésotériques, politique, argent, pouvoir sur les autres, Dieu et Satan, mais les personnages m'ont fait continuer ce roman. J'ai beaucoup aimé Marie-Hélène et Serge, ex-juge et policier déchus. Ils ont été approchés pour enquêter sur les sectes. Ils vont vivre, l'un et l'autre, de nombreuses expériences. Il leur faudra du temps pour s'apprivoiser, pour partager leurs expériences, même s'ils taisent beaucoup, comme les pensées sexuelles que peut éprouver Marie-Hélène. Ce sont eux, finalement, qui me feront peut-être lire les deux autres tomes. Car je pense qu'ils n'ont pas fini de vivre des aventures assez difficiles.

Je remercie Netgalley et les Editions Tohu-Bohu pour cette lecture.
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Après avoir lu quelques chroniques de mon côté, souvent assez mitigées, j'ai voulu découvrir par moi-même ce thriller plutôt particulier. Très intéressée par les histoires ou faits réels à propos des communautés sectaires, j'avais quelques attentes face à ce nouveau roman. Et même si j'ai remarqué toute la documentation sur l'univers des sectes et leurs dérives qui apporte un effet très réaliste au récit, j'ai été vraiment déçue par ma lecture. Dès le début, j'ai été interpellée par le style haché constitué de phrases courtes et de phrases simples qui n'ont pas selon moi amené du rythme à l'intrigue. le temps du présent m'a souvent dérangé surtout quand il se mélangeait quelquefois assez brutalement à l'imparfait et au passé simple. L'écriture de Vincent Ravalec ne m'a donc pas du tout convenu malgré les sujets à découvrir de ce roman.

Les liens entre les sectes, la religion, la foi, le dévouement, l'embrigadement, les sacrifices, etc… sont bien amenés et racontés. Démis de leur fonction, Serge, ancien des stups et de la BRB, et Marie-Hélène, ancienne juge, vont être choisis pour être les premiers éléments d'une nouvelle cellule policière, la MIOLDS, afin de lutter contre les dérives sectaires. Peu enclins à côtoyer les illuminés et les extrémistes religieux, les deux nouveaux collègues ont peur de vite s'ennuyer face à des petites affaires sans importance. Heureusement pour eux, la MIOLDS va faire face à une enquête très complexe et dangereuse qui va mettre en péril la vie de ses enquêteurs. Entourés de disparitions de vierges, de symboles étranges et mystérieux, de sacrifices humains et d'une nouvelle plante potentiellement désintoxiquante, Marie-Hélène et Serge enquêtent ensemble sous les ordres de Laurent Tirson et avec l'aide du professeur Gasquet afin de mieux comprendre les dangers et les mystères de toute cette histoire.

Seulement, si cette dernière est intéressante, les remarques orales et les pensées de Serge m'ont complètement sorti de l'histoire tellement elles m'exaspéraient. Ce protagoniste aigri, raciste, homophobe et violent me sortait complètement par les yeux tellement il m'a semblé antipathique. Ces réflexions n'ont permis qu'à me rendre le personnage de plus en plus détestable et ses problèmes familiaux ne m'ont pas du tout intéressé. Si Marie-Hélène aurait pu relever le niveau, je l'ai trouvé bien effacée face à son collègue. Elle possède un caractère très en retrait, naïf et coincé. Elle peine à instaurer une barrière entre sa vie professionnelle et ses émotions qui ne devraient pas sortir de la sphère intime. Et du moment où elle raconte les raisons de son renvoi comme juge, j'ai eu beaucoup de mal à accrocher avec ce personnage. L'auteur semble tout faire pour nous présenter des protagonistes ambigus, grinçants jusqu'à en devenir agaçants. Malheureusement, je n'ai pas réussi à m'y faire, ce qui a réellement entaché ma lecture. Je ne compte pas lire la suite même si je remercie la maison d'édition Tohu-Bohu et NetGalley pour ce partenariat.
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Avec le 1er volume de la trilogie Sekt, j'étais heureux de retrouver Vincent Ravalec. J'avais encore en tête son magnifique 1er roman le Cantique de la Racaille (1984) si proche de l'univers D'un Monde Sans Pitié de Rochant (film de 89). Ça ne date pas d'hier. Comme tous les souvenirs, ils se meuvent avec le temps. On ne garde que la quintessence de l'émotion. Moralité, mon attente était forte.
Le pitch pour commencer. Au sein de la MIOLDS, Mission Interministérielle d'Observation et de Lutte contre les Dérives Sectaire, sous la férule de Tirson, nouveau patron proche du pouvoir, Marie-Hèlène, ancienne juge d'instruction placardisée et Serge, flic déchu se voient charger d'enquêter sur un bonhomme, Pierre, qui s'est volontairement fait crucifié au sein de la confrérie « Soeurs et frères en Christ-Roi ». Il lui fallait sauver le monde du mal grandissant. En parallèle tous deux se retrouvent sur une enquête où deux jeunes filles vierges ont été enlevées le même jour. Entre la nécessité d'afficher rapidement des résultats et un besoin de rédemption, les membres de la mission vont devoir parcourir ce qui ressemble à une initiation sur le chemin du mal. Mais on ne marche pas sur les traces du diable sans y laisser une part de soi. Et lorsque les personnages sont déjà forts cabossés, il y a fort à parier que la lecture de ce roman ne nous entraine pas vers un avenir éthéré et subtil.
Et c'est parti pour un semblant de foutraque. Il est rare que je ne m'attache pas à un roman. Mais, je dois l'avouer, Vincent Ravalec m'a perdu. A trop vouloir embrasser les thèmes, de la crucifixion aux cérémonies pseudo-sataniques, des dérives religieuses au chamanisme, il mélange les styles. J'ai eu le sentiment de passer du roman policier à une critique sociétale et politique avant de fondre dans une étude de moeurs où se retrouvent pêle-mêle des dérives sectaires, des tatoueurs, le tout sur fond d'attentats islamistes dans un Paris que j'avais du mal à discerner.
Fait est que le duo, Marie-Hélène & Serge entament une belle descente aux enfers. le lecteur les suit. Il a la tête à l'envers. Ce point-là est réussi. C'est glaçant, et étouffant. Il y a quelque chose de consistant, de visqueux sous les pages de ce 1er tome de Sekt. Néanmoins, j'ai trouvé cela un peu fouillis. On saute du coq à l'âne de manière un peu trop rapide pour moi. Chaque page requiert une forte attention. Mais à la réflexion, comme quoi chroniquer a du bon, c'est surtout le mélange des temps employés et des styles ont parasité. J'ai trouvé ce roman épuisant à lire.
Reste à venir le tome 2 pour découvrir où Vincent Ravalec nous embarque.

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Je vais être honnête, je n'ai pas pu terminer ce roman. A mon gout, il a beaucoup trop de lenteur, très peu de rebondissement. Après, ce n'est que mon avis. Beaucoup aiment les romans de Stephen King dont j'adore l'univers, mais pour moi beaucoup trop de lenteur dans ses romans. Alors je vous laisse en juger par vous-même. Si vous aimez le genre d'histoire avec des sectes, la lutte entre le bien et le mal, cet oeuvre peut vous plaire.
Quant aux personnages, je ne m'y suis pas spécialement attachée non plus. Après l'idée d'une nouvelle organisation mise en place pour contrer les différentes sectes, pourquoi pas.
Je ne peux pas réellement en dire plus, vu que je ne l'ai pas terminé. Je vous laisse vous faire votre propre opinion !
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Voilà un livre peu banal! Sur le fond, le ou plutôt, les, sujets abordés sont des plus intéressant: sectes, satanisme, sacrifices humains, drogues, sexe, politique........... Mais peut-être y-a-t-il justement trop d'éléments dans ce récit car j'ai eu le sentiment permanent à la fois d'une grande confusion et d'une grande dispersion, l'impression que ça partait dans tous les sens. Par ailleurs, les personnages ne m'ont pas accrochés. Aucun n'a suscité chez moi ne serait-ce qu'un tout petit peu d'empathie. Enfin et c'est probablement ce qui m'en a rendu la lecture est peu harassante, je n'ai pas du tout été séduite par le style de l'écriture de cet auteur que je ne connaissais pas. C'est souvent une juxtaposition de mots, des phrases mal construites qu'il m'a parfois fallu relire au moins une 2ème fois pour bien en appréhender le sens. Ayant reçu le format numérique gratuitement avec Netgalley, je me suis efforcée d'aller au bout de ce livre me disant en même temps que la fin allait peut-être racheter le reste. Même pas!

Alors que tout démarrait plutôt bien, avec une situation bien macabre, mon enthousiasme est malheureusement vite retombé à la lecture. Mais je sais que ce livre a des arguments qui vont convaincre d'autres lecteurs et je ne voudrai pas que vous vous arrêtiez sur mon avis purement subjectif. Je pense que le souci tient surtout au style de l'auteur qui, avec moi, n'a pas fonctionné. Très vite, je me suis sentie perdue, perdue parce que le récit regorge de détails qui n'ont parfois pas grand-chose à voir avec l'intrigue et qui ont parasité mon immersion, mais aussi parce que les enchaînements de lieu et d'espace sont parfois si brusques que je ne parvenais pas à me situer et ce jusqu'au final où l'ensemble m'a laissé un sentiment de confusion (notamment à propos d'un personnage dont je n'ai toujours pas compris les intentions). le style était peut-être trop [...]

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