L’hagiographie (la vie des saint·e·s) n’appartient pas, normalement, à la littérature de gauche, à plus forte raison lorsqu’il s’agit d’un récit à la première personne. Il est dès lors un peu surprenant, à la lecture du dernier ouvrage de Jean-Claude Rennwald, d’avoir à plusieurs reprises la désagréable impression de lire l’une de ces productions dont l’église était naguère friande. À cet égard, le sous-titre du livre égare plus qu’il ne renseigne sur son contenu : ...
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