L'Appartement Témoin

« L'appartement témoin » de Tatiana de Rosnay raconte l'obsession d'un quinquagénaire blasé pour un fantôme, la cantatrice Adrienne Duval. Suite à un divorce, celui-ci emménage dans l'appartement témoin d'un immeuble neuf où lui apparait une vision : celle d'une femme jouant Mozart au piano et d'une petite fille, assise par terre. Il comprend qu'elles ont habité l'ancien immeuble et se met à les rechercher.
Un démarrage sur les chapeaux de roue et une intrigue originale nous font voyager aux États-Unis, dans la campagne anglaise et en Italie.
Est-ce par solitude et par isolement que le protagoniste se met à la quête de la personne idéale ?
La première moitié du roman se lit aisément, plus que la deuxième, remplie de détails, de descriptions et de longs passages sur les regrets et les fantasmes.
Particulièrement déçue par la finalité et l'abandon de cette quête du bonheur.

J'ai trouvé ce livre plutôt insipide, vide. Je l'ai lu en me disant que je lisais le premier livre d'un auteur... donc, je me devais d'être moins critique vis à vis mon expérience de lecture, mais bon, j'aurais du de suite lire autre chose d'elle. Il ne m'a interpellé en aucun cas. Il n'était tout simplement pas fait pour moi. J'ai quand même trouvé une certaine fluidité dans la plume, d'où mon 2 étoiles. Mais je retenterai très certainement la lecture d'un autre ouvrage de cette auteure prolifique.

C'est le premier livre de Tatiana de Rosnay où je reste sur ma fin. Pourtant le début de l'histoire me semblait prometteur, puis une fois arrivée à la fin, il y a eu beaucoup trop de description inutile, j'ai moins pris plaisir à poursuivre. Puis, une fois arrivée à la fin, on reste "sans voix". On a envie de dire: "Tout ça pour ça??????"

j'ai du mal avec cette autrice. j'avais écouté "elle s'appelait Sarah", et j'avais eu beaucoup de mal et j'avais trouvé ce livre dans une boite à livre sans faire attention que c'était écrit par la même personne. Bref j'ai essayé de lire ce livre mais j'ai abandonné au bout d'un peu plus de 30 pages car je n'accroche pas au style d'écriture.

Dans L'appartement témoin, un quinquagénaire, divorcé, s'installe dans un nouvel appartement sur Paris où sa fille vient lui rendre visite les weekend. Des visions lui apparaissent, d'abord en pensant qu'il s'agit d'un rêve mais finalement, cela s'avère être quand il est est éveillé, l'état entre l'éveil et le moment où nous tombons dans le sommeil. Il se voit dans un couloir, entendant un piano, une femme y joue, une petite fille près d'elle.

J'ai dévoré ce livre en deux jours car l'intrigue est captivante, tout comme le narrateur, nous voulons découvrir qui est cette femme. Que lui est-il arrivé et pourquoi hante t'elle notre personnage principal. Comme d'habitude, le style de Tatiana de Rosnay est agréable à lire. Ses phrases sont justes et bien travaillées. Elle alterne également les chapitres où nous avons le regard du personnage à des chapitres où nous avons affaire à un personnage extérieur. Cela n'est pas dérangeant même si le point de vue du personnage est toujours plus vivement intéressant.

Dans l'ensemble, j'ai beaucoup aimé, j'ai été embarquée dans l'histoire, voulant en savoir plus. La première partie est selon moi, la meilleure. A partir du moment où le personnage part à la recherche de la fille de la pianiste car il est tout simplement "obsédé" par elle depuis qu'il l'a vue en photo, on perd un peu le sens et ça devient exagéré. Heureusement, la fin redevient censée. Même si au départ, elle m'a laissé un goût amer, s'achevant avec tout ça pour ça ?! après mûre réflexion, je la trouve juste et logique.

Finalement, une nouvelle bonne lecture avec Tatiana de Rosnay, pas le meilleur mais toujours intéressant. Elle aime s'inspirer des lieux pour écrire ses histoires et il est vrai qu'un appartement abrite les secrets de tous les habitants qui y sont passés.

L'intrigue est intéressante et on se laisse surprendre par notre envie de savoir nous aussi qui est la femme au piano.Nous suivons donc notre héros en Amérique puis en Italie. Mais il manque quelque chose pour être totalement conquis par l'histoire, peut-être une réflexion plus approfondie sur le bonheur, sur la quête du bonheur.

Livre moyen,
Le personnage principal du livre, un quinquagénaire emménage dans un appartement témoin où il a une vision d'une femme et d'une petite fille chantant du Mozart. De ce fait, il enquête sur cette femme et sur sa fille. Nous suivons ses voyages et ses réflexions notamment sur sa fille et son ex-femme. La fin m' a un peu déçu, les faits paraissent peu réalistes. Bof, ce n'est pas le meilleur que j'ai lu de cet auteur

J'attendais beaucoup de ce roman qui me semblait très prometteur, j'avais également très envie de découvrir la plume de Tatiana de Rosnay, mais j'ai été assez déçue de ma lecture.

A la fin de livre, on ne comprend pas vraiment pourquoi il a eu cette vision de son “fantôme” dont il devient amoureux de sa fille qui est toujours vivante et qu'il dont il va partir à la recherche… c'était loin de ce que je m'étais figuré.

Le style d'écriture est plutôt bon et fluide, c'est ce qui a fait tenir ma lecture jusqu'au bout, mais l'intrigue reste assez inégale et assez peu crédible.

Je lirais d'autres livres de Tatiana de Rosnay pour ne pas rester sur un avis mitigé, surtout qu'il s'agit après tout de son premier roman.

Comment les visions perçues dans son nouvel appartement font prendre conscience au héros de l'importance des gens qui l'entourent.

Sans intérêt ! Snif !

J'aime beaucoup les romans de Tatiana de Rosnay, où l'action se passe souvent à Paris, je pense aux romans "Elle s'appelait Sarah", "Le voisin" et à "La mémoire des murs".
Une écriture agréable à lire, avec souvent une pointe d'humour.
Un homme , la cinquantaine passé, divorcé ,croit entendre durant la nuit une voix qui chante des airs de Mozart ; le roman nous raconte alors la recherche frénétique, envoutée, passionée pour ce personnage "fantôme" ce qui nous permettra de passer par New-York, Londres pour terminer par Venise, la Sérénissime.
J'ai beaucoup rigolé avec les passages racontant les mésailliances, des gens au "sang bleu" et les regards de haut vde ceux-ci vers les gens de "basses classes".