Premier livre de poésie d'une jeune écrivaine israélienne, Orin Rosner écrit sur ses parents, son partenaire, l'amour, son rapport au corps et à la mort.
Elle utilise une langue s'appuyant aussi bien sur des métaphores de la vie quotidienne que sur des images plus classiques, empruntant à la poésie hébraïque. Angoisse, tensions, douleur irriguent le texte.