Les Contes interdits : La reine des neiges

Fait en livre audio, ce fut une lecture intéressante mais surprenante.
Surprenante car la narration est en Québécois. Normal pour un roman écrit par un auteur de cette nationalité le direz-vous. Mais je ne m'y attendais pas.
Néanmoins la mise en ambiance de cette écoute était bien faite.
L'histoire n'est pas très surprenante mais efficace. La ressemblance avec le conte est malgré tout légère.
Un conte horrifique qui reste efficace.
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Je l'ai fini au alentours de 4h du matin et je peux vous dire que c'est une chose à ne pas faire si vous voulez avoir le sommeil tranquille, ce qui ne fut pas mon cas.
J'avais jamais lu cet auteur et puis là, je vous jure que c'est presque qu'un claque. J'ai bien aimé que l'auteur mélange culture autochtones avec un peu de culture québécoise. L'intrigue du roman est parfaite et l'addictivité n'en parlons pas. C'est un bon roman que je conseille vivement !

Premier contes interdits que je lis et je ne suis pas déçue bien au contraire j'ai adoré 🤩🤩!
Rien à voir avec le Disney 😲😂!
Je suis restée sur ma fin, j'ai trouvé cela court.
Je continue mes lectures des contes interdits ❤️!

1er livre que j'ai lu de la série des contes interdits. Je le trouve plus dans le suspense que dans l'horreur (c'est pas mal pour commencer du coup!) Je l'ai lu assez rapidement, curieuse de connaitre la suite... assez mystique et mystérieux, je le recommande mais ce n'est pas mon préféré

J'ai adoré ce livre… effectivement on est loin du Disney mais je l'ai trouvé addictif.. quand on le commence on a du mal à le poser pour connaître la suite…
Pour le moment un de mes préférés des contes interdits…
Je le conseille vivement et pourtant il est rarement conseillé par les accros aux Contes…

Ce roman a été le premier que j'ai acheté à cause de bookstagram, une des premières personnes avec qui j'ai discuté dans cette merveilleuse communauté ne lisait que des contes interdits et je n'en disais que du bien, j'avais donc craqué pour ce roman. Plus de 2 ans et demi après je l'ai enfin lu et c'est l'exemple parfait de "il ne faut pas laisser les livres trop longtemps dans la pal car nos goûts changent", cette lecture n'a pas trop marché pour moi... Tout d'abord le roman fait moins de 200 pages et avec cette longueur difficile pour moi de bien accrocher aux personnages, j'ai peut être aussi manqué d'approfondissement sur l'intrigue ou le dénouement. J'ai cependant apprécié que l'intrigue se passe au Québec ainsi que le conte qui est abordé ici. On est loin de la reine des neiges qu'on a pu voir ces 10 dernières années, ici c'est le conte originel qui est revisité et il est glaçant. Je pense que j'aurais clairement plus apprécié ma lecture il y a deux ans quand je l'avais achetée, je vais essayer d'apprendre de mes erreurs 😂
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Avant tout, attention, pour ceux qui ne sont pas fans des tournures et expressions québécoises alors ce livre n'est pas fait pour vous. Personnellement, ça ne me dérange pas, mais il faut dire qu'il y en a à foison ici. Après, ce sont des auteurs canadiens donc personne ne peut dire qu'il n'est pas prévenu avant la lecture !

Contrairement à beaucoup d'autres contes interdits, on démarre « normalement », pas d'effusion de sang ou autre dinguerie bien gore. L'histoire et les personnages se mettent en place doucement, trop doucement ? J'ai trouvé qu'il y avait pas mal de longueur dans ce début de livre. On retrouve une légère part de fantastique, mais via les rêves du personnage donc, pour moi, ça passe.

Et ensuite….C'est mou ! Pour un conte interdit on est très loin d'une effusion de sang permanente ! À vrai dire, il n'y a pas vraiment de violence dans les 2/3 du livre. C'est à peine si on peut parler d'un thriller, car nous sommes sur une histoire qui a pour base un suicide et non pas un meurtre. le rythme arrive beaucoup trop tard dans ce livre et malheureusement, il arrive avec la bascule dans l'univers fantastique quasiment au ¾ de l'histoire. Tout est trop prévisible dans cette fin, certes il y a du sang et de la violence, mais on est très loin de ce que j'attendais.

Rien de bien folichon au niveau des personnages non plus. La fameuse Elsa aussi bien qu'Anna le personnage principal ne sont pas spécialement attachant et ne donnent pas vraiment de reliefs à une histoire qui en aurait eu cruellement besoin.

On est donc très loin du coup de coeur. C'est dommage, car j'ai déjà lu des livres de cet auteur qui m'ont vraiment bien plu et c'est un auteur que je recommanderai sans hésitation (surtout « la belle et la bête » dans la meme collection!). Je m'attendais vraiment à autre chose mais bon on le sait avec les contes interdits, soit ça passe soit ça casse ! Et pour moi, celui-ci n'est pas passé !

On peux dire que j'ai été « libéré ,délivré » à la fin de cette lecture ?😬😁 Elle était facile celle-là …
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Ce conte interdit nous plonge dans une ambiance hivernale, propre à celle que l'on connait de la reine des neiges, contrairement à d'autres contes interdits, qui on une ambiance totalement décalée du conte d'origine.

On sent tout de suite le mystère qui entoure la mort d'Emile, ainsi que l'ambiance assez sombre qui entour les personnages, ce qui donne en effet envie de connaitre le dénouement de l'histoire. Les légendes et histoires autour du peuple algonquien sont également intéressantes, et amène le lecteur à se poser de nombreuses questions.

cependant, j'ai eu un peu de mal à rentrer dedans. La façon dont Anna est mise au courant du décès de son grand-père est, je trouve précipitée. de même pour la façon dont elle décide d'enquêter sur la mort de celui-ci, alors qu'elle vient à peine d'arriver chez sa grand-mère. Elle décide un peu sur un coup de tête de jouer les inspecteurs, et j'ai eu du mal avec cette idée.

J'ai par contre apprécié le fait que la part de “gore” dans ce tome en particulier soit un peu mieux “dispersée” dans le livre. Contrairement à d'autres contes interdits que j'ai pu lire, l'histoire n'est pas basée que sur du gore et de l'épouvante. On est pas écoeuré par chaque chapitre, et c'est un point appréciable.

j'ai finalement adoré la fin du livre. le dénouement autour de la mort mystérieuse d'Emile, vaut tout de même le détour :)

☃ Anna pars chez ses grands-parents, suite au suicide de son grand-père. Là-bas, elle decouvrira des secrets enfouis au fond d'une boîte et décidera de mener sa propre enquête pour savoir réellement qu'est-ce qui c'est passé, qu'est ce qui a poussé son grand-père à se donner la mort, d'une façon plus qu'étrange.

☃Nous sommes face a une réécriture du conte original d'Andersen, "La Reine des Neiges" (qui n'a rien à voir avec le Disney !)

☃Mes attentes pour cette lecture étaient plus élevées, mais au final, j'ai été déçue, car elles n'ont pas été comblées...
Pourtant le début était prometteur ! Des trucs bizarres, une intrigue etc...

☃Malheureusement quand on a de grandes attentes et que rien ne se passe, cela crée de la déception et de la frustration, accompagnées d'une incompréhension, ce qui a été mon cas.

𦀻ien que de nombreux détails soient mis en place pour des clins d'oeil au conte originel (et même des prénoms pour le Disney), l'histoire en elle-même ne semble pas s'inscrire dans la collection "Contes Interdits".

☃Les choix qu'a fait l'auteur m'ont laissée perplexe. Pourtant, sa plume est simple et fluide, tout semble bien s'harmoniser, mais il manque ce petit quelque chose qui caractérise les contes interdits et les rend horrifiques. Je n'ai pas retrouvé d'horreur dans ce livre, comme si Simon Rousseau avait peur d'être trop "cru".

� plus, si vous me suivez depuis un certain temps, vous savez que je déteste les fins ouvertes... Eh bien, ce conte en propose une...

☃J'espère sincèrement que le prochain conte que je lirai sera plus satisfaisant, car celui-ci me laisse vraiment un sentiment de désappointement.

☃Pour conclure, c'est un roman qui se lit, mais qui, pour moi, n'a rien à faire dans la collection interdite.

Anna est une étudiante en journalisme, à Québec, loin de sa famille et surtout de son père parti vivre sa grande aventure en France. Elle vit d'expédients la plupart du temps et n'a jamais vraiment pensé à reprendre contact avec les siens, malgré les regrets évidents qui l'assaillent parfois quand elle y pense.


Quand son père lui téléphone un jour, pour autre chose que lui demander de l'argent, elle n'en croit pas ses oreilles. La nouvelle tombe pourtant comme un couperet : son grand-père paternel est décédé, et elle doit assister à ses funérailles si possible. Anna prend son courage à deux mains et se rend seule en Abitibi-Témiscamingue pour découvrir qu'elle est en retard et ne pourra pas faire acte de présence pour la cérémonie. Mais ce n'est pas si grave, elle n'avait pas spécialement envie de tenir compagnie à de parfaits inconnus.


Le plus important pour elle est de pouvoir retrouver et épauler sa grand-mère dans cette épreuve difficile. Mais le bref séjour qu'elle pensait passer dans la demeure familiale à retrouver de vieux souvenirs tourne court quand elle découvre que son grand-père n'est pas juste mort, il se serait suicidé, et d'une manière particulièrement atroce qui plus est ! Son sens de la recherche de la vérité, hérité de ses études de journalisme, prend alors le dessus et pousse Anna à en apprendre davantage si possible auprès des rares personnes ayant connu son grand-père à l'époque où il était jeune prêtre dans un établissement accueillant des enfants indigènes à rééduquer.


Ce qu'Anna s'apprête à découvrir va faire remonter à la surface de lourds secrets, des secrets si bien enterrés depuis si longtemps que personne n'en avait souvenir, ou ne voulait s'en souvenir plutôt. La belle région cache en effet plus que sa part d'horreurs et de misère humaine, et Anna va s'y retrouver confrontée bien plus vite qu'elle ne le pensait, en compagnie d'un ancien enquêteur venu lui aussi satisfaire sa curiosité et faire toute la lumière sur une tragique disparition d'enfant dans le fameux pensionnat religieux, au tout début des années '70.


Alors que le grand froid s'installe et que la clé du mystère s'approche d'heures en heures, les révélations fusent et Anna doit encaisser une réalité très dure, inavouable, dont elle se serait pourtant bien passée. Quelles que furent ses actions passées, son grand-père s'est à nouveau retrouvé mêlé à une histoire sordide qui l'a achevé moralement et physiquement, au point qu'il ait du en finir pour de bon. Que s'est-il réellement passé cette nuit-là dans le pensionnat, avec les enfants Amérindiens ? Et quel mal innommable a finalement été relâché sur les terres gelées du Nord de la Belle Province ?


Vous le découvrirez vous aussi... à vos risques et périls.


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Ce conte n'est pas, comme le précise aussitôt l'auteur dès que l'on passe la première page, une réécriture du film d'animation à grand succès et gros budget des studios Disney, mais bien celle du conte d'Andersen, plus glauque, plus sombre, plus terrible en tous points.


Après Peter Pan j'étais assez fâché avec Simon Rousseau je dois bien l'avouer, mais j'ai décidé à la lumière de mes récentes lectures de lui donner une seconde chance, optant donc pour son second roman dans la collection des Contes Interdits, La Reine des Neiges. Première bonne surprise : le surnaturel et l'horrifique se conjuguent pour nous offrir un récit saisissant où chaque nouvelle révélation est absolument atroce et mène tout droit vers une conclusion inévitable, où comme bien souvent chez Andersen tout le monde est foutu et personne n'y trouve son compte.


Seconde bonne surprise, le personnage féminin principal du récit n'est jamais abusée sexuellement de quelque manière que ce soit, et surtout pas de façon violente et perverse. Ça n'en a peut-être pas l'air mais c'est un vrai bon point, une exception qui mérite d'être soulignée. Cependant ce que le sexe ne prend pas comme place dans cette histoire, il la laisse à l'horreur et à la misère la plus noire qui soit, dans une aventure aux confins du monde dit civilisé, là où les légendes d'antan sont encore bien vivaces et où les esprits sont partout, particulièrement les mauvais.


Je vous laisse à vos suppositions, comme j'ai moi-même pu le faire durant ma lecture à de nombreuses reprises : est-ce une histoire de possession démoniaque ? Est-ce une hallucination causée par le froid et la pauvreté ? Est-ce pire encore que tout ça ? A mon sens, oui, bien pire, de la meilleure des façons.


Cette seconde adaptation de Simon Rousseau me convainc donc de lui accorder une nouvelle chance dans ma pile de lectures, car il y prouve si besoin était (et oui il était besoin effectivement) qu'il a le talent et l'imagination largement suffisants pour écrire de grands récits d'horreur sans tomber dans le vulgaire. Je croise les doigts pour que ma prochaine lecture de lui soit de ce niveau au moins !
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