Les Contes interdits : La reine des neiges

Ma lecture d'halloween pour le #scaryspookychallenge de @celinelecture ! Mon tout premier conte interdit avec celui de la reine des neiges de @simonrousseauauteur !

Mon avis : Wahouuuu !!! 😍😍Mais pourquoi n'ai je pas commençais avant les écrits de ce collectif !

Alors j'avoue des que l'on parle de Canada, de Chamane et d'autochtone on m'a déjà un peu conquise .. mais l'histoire est super bien mêlée même si l'on est dans de l'horrifique j'ai vraiment retrouvé l'univers du conte et de la magie !
C'était addictif .. acheté hier soir et fin ce matin 😁😂

Franchement je vous le conseille ! Même si je connaissais l'horreur vécu par les premières nations on est dans un récit contemporain où se mêlent nos deux cultures et croyances dans une sorte de thriller gore où Anna part à la recherche d'information sur la mort de son grand père ..

Nb: beaucoup de dialogue sont en québécois cela ne m'a pas dérangé mais peut être que cela peut perturber certains lecteurs

Et vous avez vous lu des contes interdits ? Lesquels me conseillerez vous ?

Troisième histoire dans la série des Contes interdits que j'achève.
Une légende, à faire froid dans le dos, oubliée, des meurtres immondes et inexpliqués, une femme cherchant à tout prix à découvrir les raisons de la mort de son grand-père, une entité effroyable...
Autant d'éléments qui m'ont donné amplement envie d'entamer ce récit !
Cette fois, ce conte est beaucoup plus soft que ceux que j'ai déjà lu, j'avais plus l'impression d'être dans un roman policier horrifique ( qui tendait de plus en plus vers le récit d'horreur).
J'ai apprécié l'histoire même si j'aurais aimé qu'elle soit plus étayée car trop de passages ont été expédiés à mon goût. La fin m'a laissé perplexe car elle amène quelques questions dont les réponses peuvent être devinées mais sans certitude ( je pense notamment à « l'entité » dont l'origine est assez floue).
Néanmoins, j'ai aimé ma lecture et les images défilaient dans ma tête comme si je visionnais un film d'horreur !

Le seul mot qui me vient en tête quand je vois ce livre et que je dois le décrire c'est, bof.
Je n'ai pas spécialement accroché à ce livre, je l'ai bien aimé, mais sans plus.
L'histoire est très originale, mais je m'attendais quand même à mieux et je trouve cela un petit peu dommage.
J'ai adoré la couverture par contre, j'ai eu un coup de coeur pour cette couverture, c'est ce qui m'a attiré.
Lien : https://leslecturesdangeliqu..

Le dernier Simon Rousseau qui manquait à ma collection. Autant les Peter Pan, la belle et la bête ou la bête originelle m'ont tenu en haleine et étaient de véritable page turner, autant celui ci m'a un peu laissé sur ma faim. J'ai adoré qu'on y intègre l'histoire des pensionnats autochtones, sujet pourtant peu abordé dans la culture québécoise et qui pourtant, laisse encore des séquelles dans la société actuelle. Peut-être le personnage principal, la jeune Anna, manquait-il de coloration? Peut-être la légende autochtone choisit pour le côté un peu fantastique du récit aurait-elle pu surprendre d'avantage ou être un peu plus crédible? Je ne sais trop ce qui a cloché en fin de compte mais il y avait un peu de magie en moins dans ce Rousseau. le fait qu'il soit moins gore ou avec moins de passages d'ébats sexuelles ne m'a pas particulièrement dérangé, il y avait tout de même un bon filon et l'intrigue fût bien mené malgré tout. Peut-être tout simplement que celui ci était bon alors que je m'attendais à du excellent? Bref, je n'ai tout de même pas étiré ce livre tellement longtemps, signe qu'il devait être un des bons contes de la collection des contes interdits finalement. À lire pour passer un agréable moment, maintenant j'ai hâte au prochain Simon Rousseau

Anna, étudiante en journalisme, apprend que son grand père vient de mourir. Quand elle apprend la raison de sa mort, elle ne peut s'empêcher de se poser des questions. Comment un homme peut-il mourir de cette façon ? Elle décide donc de mener l'enquête et ce qu'elle va découvrir risque de détruire tout ce qu'elle connait.

L'histoire se passe en plein hivers, au Canada. Il fait donc froid, très froid. La reine des neiges débute dans une ambiance qui lui correspond. L'enquête débute quand Anna découvre comment son grand père s'est donné la mort, et pour être franche, c'est vraiment horrible. On va donc suivre l'histoire de son grand père et son enquête. Retour dans les années 70, avec un mélange de fantastique, de mythique et de surnaturel.
Pour ce qui en est de l'écriture, le québécois est plus que présent dans cette histoire et malheureusement m'a un peu handicapé dans ma lecture. Dans certains cas, il m'a été facile de comprendre les expressions, dans d'autres je suis carrément passé à côté ... Je ne me suis pas non plus attaché a Anna, qui est pourtant le personnage principal de cette histoire. Les personnages ne sont pas très creusés et je n'ai eu aucune empathie pour eux. La fin correspond à ce que j'attendais de ce livre et de cette histoire, bien que je n'ayant rien trouvé de très gore dans ce livre je m'attendais à plus de sang.

En bref, bonne histoire, mais toujours pas ce à quoi je m'attendais en terme de conte interdit.

J'avais très envie de faire une lecture effrayante et horrifique, et voyant les avis des lecteurs, je me suis dit qu'un des romans de cette collection pourrait correspondre. Je me suis penchée sur celui de la Reine des neiges, non pas pour le film Disney, mais parce que j'aime ce qui a attrait à un pouvoir lié à la glace.

On plonge ainsi aux côtés de Anna, dont le grand-père s'est retiré la vie de façon effroyable. Seulement, elle ne croit pas un seul instant à cette version des faits et va partir au fin fond du Québec afin de trouver la vérité. Mais comme on peut s'en douter, ce qu'elle va découvrir ne va pas être ce à quoi elle s'attendait. On est alors pris dans quelque chose de fantastique, avec une histoire de mythe, d'esprit et de haine.

L'idée de l'entité est sympathique à suivre, ainsi que les raisons de sa présence et ce qu'elle veut à nos personnages. On est vraiment dans cette idée mystique, avec notamment un peuple amérindien qui prend sa place dans l'histoire, ajoutant au mythe des entités de leur peuple qui bercent nos légendes et la littérature.

En revanche, je ne me suis pas réellement attachée au personnage d'Anna, sa personnalité ne m'a intriguée plus que ça. Il en fut de même pour les autres personnages. C'était sympathique de les suivre, mais je ne peux pas dire que je me suis attachée à eux.

Pour ce qui est de la fin, j'ai apprécié le côté un peu sombre qu'elle possède, et elle correspond totalement au genre du roman. Néanmoins, arrivée à la fin, j'ai eu une impression de trop peu, m'étant attendu à quelque chose de bien plus choquant et sanguinolent que cela.


Pour conclure, j'ai apprécié le roman, néanmoins, c'est aussi une petite déception puisque les avis des lecteurs concernant les romans de cette collection annonçait quelque chose de sanguinolent, affreux, qui retourne l'estomac et c'est donc ce que j'attendais. Je n'ai pas du tout trouvé que cela était le cas ici, j'ai déjà lu pire dans des romans n'appartenant pas au genre de l'horreur, et je suis donc ressortie avec une sensation de pas assez sur ce point. Mais je tenterais un autre roman de la collection avec plaisir, en espérant cette fois-ci trouver ce que j'en attends.

Dans la série des contes interdits, celui-ci est définitivement dans mon top 3.
Il s'agit d'une relecture du conte ORIGINAL dans un contexte québécois moderne.
Alors qu'une jeune étudiante en journalisme apprend la mort de son grand père dans des circonstances troublantes, cette-dernière se rend dans les bas-fonds de l'Abitibi pour en comprendre la raison. Son enquête la mènera dans des bidonvilles reclus des réserves amérindiennes et découvrira des indices sur le passé de son grand père qui finiront par expliquer les circonstances de son décès. Des circonstances qu'elle aurait préféré ne jamais découvrir...
L'atmosphère du récit est écrit de façon a bien insérer son lecteur dans un univers inconnu et troublant. La plume de l'auteur permet au lecteur de presque se sentir aux côtés de la protagoniste durant les péripéties.
Un excellent livre que je conseille a toute personne qui aime un bon thriller original.

Après avoir eu vent de ces contes revisités, je me suis donc penchée sur "La reine des neiges", puisqu'il évoque les premières Nations. Pour nos Lecteurs d'outre-Atlantique, dans l'histoire québecoise, les pensionnats qui ont été ouvert à des fins d'assimilation pour les enfants autochtones sont l'un des sujets les plus horribles de l'histoire de notre jeune Nation.

C'est donc dans un cadre déjà connu pour son "horreur" que prend forme le conte revisité d'Andersen.

Force est d'admettre que ce livre est très bien. Bien monté, imbriquant habilement les éléments du conte avec les couleurs locales québecoises et les éléments des premières Nations, on s'y retrouve sans difficultés. Quoique pour certains, le jargon et les jurons québecois peuvent être un peu embêtant si on n'y est pas initié un temps soit peu.

Les personnages sont crédibles, les évènements narrés sont de douloureux écho d'un passé pas si loin des pensionnats et des abus du clergé chrétien en sol nord-américain ( spécialement contre les enfants amérindiens), et le suspense est présent d'un bout à l'autre.

Je salue l'auteur d'avoir abordé le sujet dans un livre qui combine magie, suspense et première Nations.

P.S Aucune scène explicites de viol d'enfant dans ce livre: ce sont des références et des détails sous-entendus seulement. Je le mentionne au cas où ce genre de scène, même en livre, pourrait heurter la sensibilité de certaines personnes. Après tout, être des amateurs d'horreur ne nous dispose pas tous à ce "genre" d'horreur.

Le dernier des contes interdits (hélas) et une version qui n'a rien à voir avec "Libérée délivrée" lol. L'auteur annonce tout de suite la couleur en précisant qu'il s'est éloigné du conte original même s'il a repris les éléments du coeur et de l'oeil. J'ai beaucoup aimé l'histoire et la manière dont l'auteur en profite pour faire un rappel sur l'évangélisation forcée des amérindiens. le coté abusif des prêtres est aussi très cohérent et ajoute la bonne nuance de glauque à l'histoire.

Le récit est bien structuré et j'aime beaucoup la manière dont le présent d'Anna est influencé par le passé de son grand père. le personnage d'Elsa est très réussi et tranche carrément avec les films quand à l'idée de l'ancien esprit elle est parfaite. le tout est mené tambour battant et se suit avec intérêt


Ce que j'aime : la manière dont l'auteur réinvente l'histoire, le côté très sombre, la fin d'Anna parfaite


Ce que j'aime moins : toujours beaucoup trop d'expressions québecoises à mon gout. Je sature clairement des "crisse" ou "hostie"


En bref : Une version très sombre de la Reine des Neiges bien éloignée de Disney pour mon plus grand plaisir


Ma note


7,5/10
Lien : http://jessswann.blogspot.co..

Après Peter Pan, Blanche Neige, Peau d'Ane, la Belle au Bois Dormant, voici la Reine des Neiges ajoutée à mes lectures des Contes Interdit.
Du même auteur que Peter Pan, je dirais que Peter Pan reste mon préféré et que celui ci arrive à égalité avec Peau d'Ane.
Je préfère ceux qui sont assez réalistes. Assez facile à lire et pas très gore, l'histoire est intéressante. Écrit au Québec, on y retrouve vraiment les façons de parler et les expressions québécoises mais cela ne m'a pas trop gêné dans ma lecture.