Harry Potter, tome 1 : Harry Potter à l'école des sorciers

Il aura fallu le besoin de cocher la case "Young adult" pour le fameux challenge Multi-défis de Babelio pour que je m'y colle, mais je dois avouer que, bien qu'ayant plus que passé l'âge d'être amatrice du genre, la lecture de ce premier Harry Potter, en anglais pour ajouter un délicieux piment, a été loin d'être désagréable.
Je comprends l'engouement des enfants pour cette histoire parfaitement menée et surtout a richesse et la cohérence de l'univers dans lequel elle fait plonger. Les premiers chapitres jusqu'à l'arrivée à Poudlard sont particulièrement réussis et l'ensemble est bourré de trouvailles qui nourrissent l'imaginaire. Heureux les enfants qui ont grandi avec !

C'est pas mal, même si, à chaque fois que j'avais essayé de le lire, j'avais abandonné.
Que voulez-vous, la première partie, chez les Dursley, m'agace, voire m'ennuie, et oui, c'est comme ça.

Il ne faut pas oublier que c'est vraiment jeunesse, la psychologie des personnages, pour sympas qu'ils soient, est vraiment légère, alors oui, bon, pour ce premier tome, j'ai peut-être un peu passé l'âge.

Mais il y a de bons passages, surtout une fois arrivé dans Poudlard, l'action est continue et je ne me suis plus du tout ennuyée. Il y a donc un peu d'espoir pour la suite, je devrais arriver à lire toute la série avant Juin (pour l'item 'lire les 7 tomes des HP", coupe des 4 maisons, challenge facebook.).

Harry Potter vit avec son oncle et sa tante car ses parents sont morts. Mais un jour, un demi-géant vient voir Harry et lui annonce qu'il est un sorcier.
C'est le début d'une formidable aventure pour Harry Potter qui doit donc aller à Poudlard, l'école des sorciers, où il apprendra que ses parents ont été tué par Lord Voldemort, le plus grand mage noir de tous les temps, et qu'il a été le premier humain de l'histoire de la Magie à survivre au sortilège de la Mort.
Car Lord Voldemort, Celui-Dont-On-Ne-Doit-Pas-Prononcer-Le-Nom, a disparu, mais un jour il reviendra et Harry sera en grand danger.
En attendant, accompagné de ses nouveaux amis, Ron Weasley et Hermione Granger, Harry essaye de percer les secrets de sa nouvelle école.
Que cache la trappe protégée par un chien à trois têtes?

Le premier tome de la grande série de J.K.Rolling.
Une super lecture pour tout âge.

A supposer que l'on vive dans un monde de sorciers, moldus que nous sommes, il ne serait point étonnant de voir une bouilloire cracher ses bulles par son couvercle ouvert, et sa fumée de son long et fin bec, de voir sa voiture rouler à une étonnante vitesse, filant à toute allure -que l'on imagine équivalente à de multiples chevaux, tous en bonne forme évidemment, d'aucuns ne sont atteints d'une quelconque maladie- afin de se rendre d'un bout à l'autre de la ville, il nous serait cependant étonnant -et le mot reste infime- de remarquer moult créatures, sorciers, balais volants et baguettes, se mouvoir devant nos yeux, qui on s'en doute bien, s'écarquilleraient de stupeur .

A supposer qu'une telle action s'effectuerait devant nous, quelle serait notre torpeur, notre choc vis à vis de cette scène, qui reste des plus banales lorsqu'on s'imagine être à la place de ce vaillant sorcier, chevauchant un balais, accompagné de sa chouette et de ses coéquipiers, jetant des sortilèges à tout va dans l'air, dans l'eau, au travers d'une rue bondée de gens qui s'affairent immobiles en contrebas, tentant de ne rien rater de cette scène aussi inhabituelle -parce qu'en effet, il n'était pas rare de voir des oiseaux voler bas dans cette rue, mais des sorciers, cela n'était jamais encore arrivé au 4 Privet Drive, à moins de souffrir d'hallucinations, ce qu'aucune maladie du quartier n'octroyait à ses occupants-, surtout qu'en réalité, ce sorcier sur son balais n'était nul autre que le célèbre sorcier Albus Dumbledore, arrivant en pleine nuit dans une rue vide et extraordinairement calme, et bientôt dénuée de lumière.

A supposer qu'un enfant, aussi normal et humain que d'ordinaire, à savoir ayant deux bras, deux jambes, une tête surmontant ses deux épaules, sans porter dans ses gènes une quelconque maladie, puisse un jour se retrouver au 4 Privet Drive, déposé devant la porte par un demi-géant portant le doux nom d'Hagrid, était aussi étonnant que de voir un chat se métamorphoser en humain -et non point le contraire- devant la même propriété, servant alors de scène au spectacle des plus époustouflants, entre ce vieillard, cette femme-chat, cet homme plus grand que d'ordinaire, et cet enfant né peu avant la défaite du célèbre mage noir, celui-dont-on-ne-doit-pas-prononcer-le-nom, dont la funeste action, où dû moins celle qu'on pense être la funeste, laissa à l'enfant prénommé Harry une cicatrice en forme d'éclair.

A supposer que cette histoire relate l'enfance terrible et insoutenable d'Harry, enfant banal sans aucun doute, hormis son arrivée dans ce lieu -dont charmant ne serait point un adjectif approprié pour décrire cet endroit lorsqu'on connait les supplices que les propriétaires offrent à leur adoptif forcé- , même si à son âge, des éléments sèment la discorde dans son esprit, accablé par certaines facultés magiques qu'il constate mais dénie, certain que son cerveau lui joue des tours, ou que son corps soit atteint d'une étrange maladie, il est nécessaire d'admettre que J. K. Rowling détient les clefs d'un récit fantastique plein d'aventures magiques, d'amitiés complexes mais aussi de suspens et de retournements de situations qui nous font rêver depuis déjà de nombreuses années.

A supposer qu'Harry Potter, le Survivant, L'élu, puisse un jour vaincre une nouvelle fois le seigneur des ténèbres, c'est la lourde tâche que l'auteure lui a conféré, lui dont l'apparence chétive, presque maladive, lui, âgé toutefois que d'une dizaine d'années, serait-il en mesure de vaincre l'un des sorciers les plus puissants de sa génération -bien que son apparence laisse penser, pour tous moldus, à une maladie de peau- , et qui a commis autant de crimes, meurtres, pillages et carnages qu'autant de sorciers le précédant, sans compter les maintes tortures et menaces, ainsi que ses fervents partisans, cruels et perfides.

A supposer qu'Harry Potter ne soit pas accompagné par ses fidèles amis, Ron Weasley et Hermione Granger, dont l'importance est sans conteste, et l'aide qu'ils lui apportent est indescriptible, à la fois sur le plan moral, mais aussi physique, Harry serait seul, abandonné, non point rejeté car sa célébrité lui octroierait des amis et des connaissances, mais il ne disposerait pas de ce soutien sans faille et demeurerait en danger de mort par Voldemort -dont le nez inexistant n'est pas dû à une quelconque maladie- , bien que ce dernier ait disparu lorsqu'Harry avait un an, ne laissant sur son front qu'une simple cicatrice, témoin de son dernier sort.

A supposer, cependant, qu'Il revienne -et il serait réellement dangereux alors pour Harry de rester seul-, Harry peut encore compter sur Dumbledore, ennemi du Seigneur des Ténèbres, qui saura alors l'aider et le soutenir, à condition d'être à Poudlard, et c'est ce que va découvrir Harry, encore novice dans le monde de la magie, sorcier inexpérimenté au destin déjà tracé, qui va devoir, avant d'affronter ce terrible fléau, affronter sa première année à l'école des sorciers, mais il ne faudrait pas que Dumbledore disparaisse … Avada Kedavra et ce serait la fin d'une épopée à peine commencée, ce sortilège ne provoque pas n'importe quelle maladie, mais bien une mort certaine, où du moins, lorsqu'on ne s'appelle pas Harry Potter, le Survivant.
Lien : https://lethesaurex.wordpres..

Relecture avec mon enfant 15 ans après et bien que j'ai vu les films depuis, j'ai toujours autant de plaisir à me plonger dans les aventures de Harry, Hermione et Ron.

J'avais oublié certains passages et les films ont également aidé a les zapper. Pourtant chaque chose est importante et à sa place.

Quelle imagination a J.K.Rowling !

Connaissant maintenant l'aboutissement de toute cette saga et celle, liée, des "Animaux fantastiques". Elle a dû en prendre des notes pour pas si perdre, car il ne manque pas de personnages à imaginer déjà avec ce premier tome. Même mon enfant m'a dit "c'est qui déjà Finigan ?" Vite un petit coup de Google pour se remettre en mémoire l'acteur qui a interprété le rôle en question.

Pour lui ce fût une découverte de tous les éléments qui ne sont pas dans les films, qu'il connait par coeur.

La magie la plus forte est donc, pour nous, de partager un coup de coeur commun sur ce premier opus.

C'était en décembre 2001... alors que je débutais dans l'enseignement, nombreux de mes élèves lisaient Harry Potter. J'étais très sceptique sur ce nouvel engouement.
Je décide alors de "juger" par moi-même... en lisant le premier tome.
C'est alors, qu'en entrant dans le monde des sorciers, j'y ai été absorbée... comme par magie !

Honte aux (nombreux, paraît-il) éditeurs qui avaient refusé ce livre : moi qui n'ai jamais été attiré par ce genre de littérature, j'ai ouvert le premier volume pour me faire une idée de ce que mes enfants pouvaient y trouver de passionnant... et j'ai su au bout de vingt pages que je ne quitterais plus la saga jusqu'à la fin du septième volume, qui est d'ailleurs aussi prenant que les six précédents, ce qui est en soi une performance !

Harry Potter est pour moi un vieil ami et surtout le premier roman à m'avoir fait véritablement entré dans ce délice qu'est le monde des livres...
Un roman incontournable qui a sans nul doute déjà beaucoup de critiques. Je m'en vais de ce pas en rajouter une, l'ayant relu pour la... vingtième fois? Je ne sais plus. L'ayant depuis mes dix ans et le lisant chaque année (ou presque, j'ai attendu trois ans, là...), je ne dois plus en être loin. Je l'ai même lu en anglais, c'est dire mon amour pour ce titre, moi qui ai des sueurs froides à l'idée de m'exprimer dans cette langue... Ce fut une expérience riche en émotions. A ceux qui disent que l'édition française a été rabotée, je ne vois vraiment pas où. Je dirais même plus : chapeau bas au traducteur !
 
Ce roman est un petit bijou à découvrir. Il pose les bases de ce qui va suivre. On y découvre les personnages et leur personnalité, que l'on apprécie ou non, les lieux fantastiques : Chemin de Traverse, quai 9 3/4 et surtout Poudlard où on aimerait mettre les pieds si seulement ils existaient (on en vient à le regretter...). Que ne donnerai-je pas pour manger sous le ciel magique de Poudlard dans la Grande Salle, jouer aux échecs magiques dans la Salle Commune des Gryffondor, sillonner le chemin de Traverse et y faire mes emplettes (notamment une baguette magique de chez Ollivander), prendre le Poudlard Express et déguster patacitrouille, dragées surprises et chocogrenouille...? Une immersion magique dans un monde qui me fait rêver. J.K Rowling, avec ses mots, nous entraîne dans le monde des sorciers et nous offre une histoire sans lenteurs. Harry Potter débarque pour sa 1ere année de scolarité, une année aussi normale que possible dans une école de sorcellerie si on oublie un affreux mage noir dans les coulisses ...
Bien plus que nous faire rêver, J.K. Rowling nous plonge dans une univers qui nous fait sourire : l'honorable Dumbledore en demande de chaussettes, des bonbons à la crotte de nez et le passionnant jeu de quidditch pour n'en citer que quelques exemples . Plus encore, elle nous émerveille, même après avoir lu et relu ce livre tous les ans et en ayant atteint l'âge adulte. Je ne peux que le recommander à ceux ne l'ayant pas encore lu ou même à ceux l'ayant déjà lu! Et surtout, je ferme toujours ce livre en me disant que moi-aussi j'aimerais recevoir ma lettre d'inscription à Poudlard... Ou alors, à défaut, étant prof,une demande d'embauche! On peut rêver non?

Lectrices, lecteurs, bonjour !
📗📘📙
#lectureterminée : "Harry Potter and the Philosopher's Stone", de JK Rowling.

 Je ne vais évidemment pas vous résumer l'histoire mais m'intéresserai plutôt à l'aspect v.o. de ma lecture. Après avoir lu un trilliard de fois les romans et vu presque autant les films, j'ai renouvelé le plaisir en lisant le tome 1 dans sa version originale. Ainsi "Harry Potter à l'école des sorciers" est devenu "Harry Potter and the Philosopher's Stone", ce qui, de fait, spoile quand même pas mal l'intrigue 🤔
J'ai donc eu le plaisir d'entendre parler d'Hogwarts, de Hufflepuff, de Slytherin, de Ravenclaw, etc… mais également la difficulté de comprendre le coup des Chasers qui doivent lancer un Quaffle pendant que des Beaters shootent dans des Bludgers en attendant que le Seeker chope le Snitch (vous voyez de quoi je parle 😉).
Autre problème : le phrasé d'Hagrid. Je n'ai pas bien compris s'il avait un défaut de prononciation ou un accent régional quelconque mais il me fallait d'abord le décrypter en anglais pour ensuite le traduire en français, ce qui n'est pas très immersif.

Ce fut tout de même un immense plaisir de replonger dans cet univers magique, et j'ai maintenant hâte de voir le film en vo, rien que pour entendre Hagrid ! 🤣

-Edouard Jhil-
"Lisez ce que vous voulez, mais lisez !"

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C'est avec un bonheur sans commune mesure que j'ai relu (pour la troisième fois en 11 ans, comme l'âge d'Harry dans ce tome, bizarre vous avez dit bizarre ^^) ce premier tome des aventuriers du petit sorcier. Harry est aujourd'hui mondialement connu, mais je suis heureuse d'avoir retrouvé dans cette lecture la fraîcheur qu'apporte la découverte de ce monde parallèle au nôtre, celui des sorciers.

Tout le battage médiatique et cinématographique autour de Poudlard ne m'aura pas fait perdre de vue l'essentiel : l'écriture de Rowling qui coule de source, son monde original et plein de tendresse qui foisonne de détails mais laisse une grande place à l'imaginaire.

Ce livre est un ours en peluche que l'on câline à l'envi dans les moments de blues. Captivée une fois encore par cette série, le premier tome m'a vraiment donné envie de relire la série complète et de retraverser les péripéties de Monsieur Potter et de ses amis.