Le premier tome de la saga est déjà très intéressant.
J.K. Rowling commence par présenter la famille Dursley, aussi méchante que bête, qui hérite de la garde du petit Harry devenu orphelin à l'âge de seulement 1 an pour des raisons que l'on découvrira.
Ce dernier va alors subir 10 ans de mauvais traitements par ces Thénardier des temps modernes, le faisant loger dans un placard sous l'escalier, le grondant et le punissant sans arrêt. L'auteur évoque aussi le harcèlement physique quotidien exercé par le fils unique Dudley, plus âgé et plus fort que lui.
Ce serait un enfer si Harry n'avait pas déjà une prédisposition à se sortir des pires situations en ridiculisant parfois cette terrible famille. La référence au conte de Cendrillon m'a semblé plausible.
Harry a donc de l'entraînement et un cuir déjà épais quand, à l'école des sorciers, il rencontre les dénommés Drago Malefoy et le professeur Rogue. A Poudlard, leurs harcèlements sont tout aussi intenses. Mais, à cette déjà longue liste de harceleurs, j'allais oublié le pire d'entre tous: le sorcier noir que ceux qui ont peur ne nomme pas, Voldemort.
Le sujet m'a intrigué dans ce roman et l'on voit bien que le jeune Harry, tout héros qu'il puisse être, ne s'en sort pas tout seul. Il peut compter sur ses amis Ron et Hermione et aussi, dans une moindre mesure, sur des adultes qui sont Hagrid et Dumbledore pour se tirer d'affaire.
Ce sujet bien qu'important n'est pas le principal de ce roman mais je voulais simplement le souligner.
Sinon tout a déjà été dit sur ce récit dynamique, parfois drôle et riche de nombreuses légendes que je n'ai commencé à lire que depuis peu.