Glenn erre, sans autre but que celui de retrouver son ex et sa fille ce qui, en soit, peut engendrer une certaine motivation, j'en conviens.
Le monde vient de subir un énième cataclysme.
Il vient de dévisser, laissant ainsi libre cours aux charognards opportunistes et aux faux prophètes vrais dictateurs.
La gamine s'appelle Ann.
Tous deux allaient se trouver puis tracer leur sillon en ce nouveau monde régi par la loi du plus fort.
Librement inspirée de la Route et de Mad Max, on s'en serait bien douté un p'tit peu,
la traversée fait office d'hommage sans véritablement proposer quoi que ce soit de novateur.
Des récits post-apo, on en a désormais plein les tiroirs.
Celui -ci ne viendra qu'alimenter ceux de ma commode d'apothicaire qui commence à crier grâce.
Le trait, minimaliste, n'est pas déplaisant.
Le récit bien trop avare en twists et autres péripéties narratives pour susciter un engouement dépassant allègrement le 6 sur l'échelle de la déconne et du contentement de Droopy.
Sympathique moment.